Comme tout les jours Loréna est a son travail. Même si en ce moment ca ne va pas bien dans la tête de la jeune femme, elle se force à sourire et a faire son travail aussi bien qu'elle peut.
Au téléphone pour renseigner une personne qui cherche à joindre une personne hospitalisée, elle salue et sourit les personnes qui passent malgré tout devant son bureau.

Après avoir raccrocher, elle termine son travail et quand vient l'heure de sa pause, une petite heure pour manger un casse dalle afin de tenir le reste de la journée , la jeune femme monte prendre un petit casse croûte a la cafétéria avec un café puis décide d'aller monter se restaurer sur le toit. En prenant l'ascenseur, celui si s'arrête à tout les étage quand il s'arrête en oncologie, la jeune femme descend tout de même. D'habitude quand le jeune homme descend, il passe toujours lui dire au revoir, mais cette fois si elle ne l'as pas vu aussi elle décide d'aller voir si il est toujours dans le service. En jetant un coup d'oeil par la petite lucarne, elle voit la dame allongée dans le lit entrain de dormir et le jeune homme à côté qui dort aussi en lui tenant la main, elle sourit et entre doucement dans la chambre pour prendre la couverture et couvrir le jeune homme.

Il était là, à dormir comme un bébé auprès de sa mère, depuis presque deux heures. Habituellement il ne restait qu'une heure environ, enfin, sauf quand il s'endort... Il lui arrive même parfois de passer une nuit entière à dormir sur ce même fauteuil, tout simplement pour être près de sa mère.

C'est lorsqu'il sentit quelque chose le recouvrir qu'il ouvrit les yeux, et en voyant la jeune femme de la réception, il la regarda, se redressa et lorsqu'il regarda l'heure à sa montre, il passa ses mains sur son visage et dit tout bas, pour ne pas réveillé sa mère. "Désolé je... je me suis endormit..." dit-il. Il se leva doucement et regarda quelques secondes sa mère avant de regarder la belle blonde. "Je vais y aller..."

D'habitude le règlement de l'hôpital interdit que les visiteurs restent après la fin de l'heure des visites, mais a certaines exceptions ils acceptent. Notamment pour les personnes très âgées ou malheureusement celle en fin de vie ce qui est bien triste.

La couverture en main, elle s'approche sur la point des pieds du jeune homme et pose doucement la couverture pour ne pas qu'il prenne froid mais en le voyant ouvrir les yeux. Loréna fait un bond sur le côté effrayée.

Non c'est moi qui m'excuse je ne voulais pas vous réveillez je suis désolée.

Elle regarde la dame endormie avec un sourire puis reporte son attention sur le jeune homme.
Vous pouvez rester vous savez, l'heure des visites n'est pas encore finie et quand bien même vous pouvez largement rester plus longtemps.

Marcus lâcha un léger sourire à la jeune femme quand elle s'excusa elle puis, lorsqu'elle lui dit qu'il pouvait rester, il fit un léger non de la tête. "Je sais bien mais, je vais la laissée se reposer, elle en a besoin..." dit-il en regardant sa mère. Il s'avança d'ailleurs vers elle et déposa un baiser sur son front. "Bonne nuit maman..." dit-il doucement avant de se redresser. Il posa ses yeux sur Loréna, lâcha un léger sourire avant de se diriger vers la porte et de sortir, puis, il regardant pendant quelques secondes sa mère par la lucarne.

Le laissant se lever et aller saluer sa mère, Loréna quand à elle, pli à nouveau la petite couverture qu'elle avait piquer sur le lit voisin et l'y repose. Bon elle ne l'as pas plier comme les aides soignants le font, tant pis, ils s'en occuperont eux même.
Lui emboîtant le pas, elle sort également de la chambre.
En le voyant regarder sa mère, un sourire apparaît sur le visage de Loréna. Elle trouve cela tellement touchant la façon dont il prend soin de sa mère, l'amour qu'il ressent pour elle.

Ici elle est bien vous savez. Ce n'est pas le Plaza Hotel c'est vrai, mais les infirmières s'occupent bien de toute les personnes qui sont à cet étage.

Elle lui sourit.

Un café ca vous tente pour vous réveillez ? Vous avez l'air totalement fatigué, au bord de l'écroulement.

La jeune femme sortit de la chambre après lui et ferma la porte derrière elle. Alors qu'il regardait sa mère, il tourna la tête vers elle en entendant sa voix. En écoutant ce qu'elle dit, un léger sourire s'installa sur ses lèvres, il reporta son regard sur sa mère avant de répondre. "Je sais qu'elle est bien, que les infirmiers prennent soins d'elle. Elle mérite qu'on prenne soin d'elle, elle a fait tellement de choses pour moi, pour ses enfants, sa famille... Et maintenant, avec ce cancer..." Sa voix tremblait légèrement, il se racla la gorge avant de poser son regard sur Loréna. "Elle est forte, elle a eu une belle vie, maintenant il faut qu'elle se repose..." dit-il.

Lorsqu'elle lui proposa un café, il hocha de la tête. "Je veux bien oui." dit-il avec un léger sourire aux coins des lèvres.

Elle sourit. Vous dites de belles choses sur votre maman, on sent a vos paroles combien vous m'aimez et combien vous la respectez. C'est vraiment touchant combien vous tenez à elle.
Continuer de venir la voir et de l'aimer comme vous le faites, ca ne peut que lui faire du bien. Une maman c'est la personne l'as plus importante de votre vie.  

Elle soupire doucement. Le cancer, c'est vraiment une saloperie de maladie. Votre maman à l'air de tenir le coup malgré tout. Elle est très courageuse c'est le moins qu'on puisse dire.

Loréna à bien vu qu'il était fatigué et même si le café n'est pas la meilleure des solutions, parfois ca peut aider à tenir réveiller encore un peu, voilà pourquoi elle lui proposait d'aller en boire un.
Alors je vous propose sois le café du distributeur de la salle d'attente qui soit dit en passant est complétement dégueulasse, sois de descendre à la cafétéria et d'en prend un qui sois buvable. Quel est votre choix ?

Il lâcha un sourire en l'entendant. Tout ce qu'il disait sur sa mère, il le pensait.

Elle lui proposa alors deux sortes de café : soit le distributeur de la salle d'attente qui d'après elle, est dégueulasse, ou alors le café de la cafétéria qui se laisse boire. Il la regarda. "Et bien, je vais prendre le buvable." dit-il avec un léger sourire. Il suivit la jeune femme jusqu'à la cafétéria où les deux jeunes gens eurent leur café. Bien que le café ne lui remontera pas le morale, au moins, ça lui permettra d'être un peu plus réveillé.

Comme il choisit le café buvable et heureusement d'ailleurs, ils quittent le service oncologie et prennent l'ascenseur pour descendre a la cafétéria.
Après avoir patienter quelques minutes et que ce fut leur tour, ils ont pris leur café, du sucre et du lait pour la blondinette et vont s'installer à une table de libre où la jeune femme prend son gobelet de café pour y verser les suppléments avant d'en boire une gorgée.

Je peu me permettre une question très personnelle sur votre maman ? Si jamais vous ne souhaitez pas me répondre, vous pouvez me le dire, je ne me vexerais pas.
Son cancer, il en est à quel stade ?

Elle se permet de demander afin de ne pas faire de gaffe, mais une chose est sur, elle n'oblige en rien le jeune homme à lui répondre. Oh bien sur elle pourrait demander a ses collègues réceptionnistes de l'étage, mais elle ne le fera jamais.

Arrivé à la cafétéria, Marcus prit un café noir avec deux sucres et alla s'installer à une table libre avec la belle blonde. Il posa son gobelet et y mit les sucres avant de touiller. Puis, il releva la tête et regarda Loréna quand elle prit la parole. La question qu'elle lui posa le fit bloquer quelques secondes. Puis, il se remit à touiller son café et lâcha un soupiré. "Ma mère est en phase terminale..." Rapidement, il sentit ses yeux devenir humide. "D'après les médecins, il ne lui reste plus qu'un moins, peut-être un peu moins." Il soupira une seconde fois et passa l'une de ses mains sur son visage avant de boire une gorgée de son café.

A peine la question eut elle franchit ses lèvres que tout de suite Loréna s'en est voulu de l'avoir poser et pourtant elle est loin d'imaginer la réponse qui va suivre.
Elle qui pensait qu'il lui dirait qu'il y a encore un espoir. En entendant la réponse de Marcus, elle a autant envie de se mettre des baffes que de se cacher dans un trou de souris, honteuse de le blesser.
Un peu mal à l'aise, mais voyant qu'il est encore plus triste, elle tend la main et la pose sur son bras.

Je suis vraiment désolée, je n'aurais pas du poser la question.
Il faut espérer que ce sois un mois et peut être plus. Que vous puissiez encore passer du temps avec elle, même si c'est à l'hôpital. Tant que vous êtes ensemble votre maman et vous.

Il avait sa tête légèrement baisser mais il la redressa en sentant la main de la jeune femme se poser sur son bras. Il posa ses yeux sur elle et l'écouta. "Vous ne pouviez pas savoir." dit-il. Puis, en entendant les phrases qui suivirent, il eut un léger sourire au coin. "Je l'espère déjà..." dit avant de boire une seconde gorgée de café. Puis, après avoir réfléchit, il se rendit compte qu'ils ne s'étaient pas présentés l'un à l'autre. Alors, il la regarda dans les yeux. "En faite, je m'appelle Marcus." dit-il en lui tenant sa main, histoire de serrer la sienne comme il a l'habitude de faire en se présentant.

Sans arrière pensée, une main sur un bras, peut toujours être un geste réconfortant et Loréna espère que Marcus ne prendra pas mal ce petit geste. En même temps même si la jeune femme est souvent froide ou à l'ouest, quand il s'agit d'une maman. Elle redevient la jeune fille gentille qu'elle était avant de perdre la sienne.  Je ne pouvais pas savoir mais j'aurais pu m'en douter. Elle hausse doucement les épaules espérant qu'il ne lui en tiendra pas rigueur non plus d'avoir poser la question.
Elle esquisse un petit sourire. Je l'espère pour vous aussi, de tout mon cœur.

Quand il lui serre la main et se présente elle sourit à nouveau. C'est vrai ca fais un petit bout que vous passez devant mon bureau et a part une salutation et un sourire, on ne s'est jamais présenter.
Enchantée de vous connaitre officiellement Marcus, je m'appelle Loréna et c'est un plaisir de discuter avec vous.

Voir cette jeune femme aussi compatissante lui faisait plaisir ! Après tout, certaines personnes se foutraient certainement de tout ça, n’essaieraient même pas de l'écouter...

Après s'être présenté, il l'écouta. C'est vrai que depuis qu'il vient dans cet hôpital, ils n'ont qu'échangés des sourires et de simples salutations, à aucuns moments ils ne s'étaient vraiment présentés l'un à l'autre. Cette jeune femme se nommait Loréna, un prénom simple et assez original. Il lui répondit avec un léger sourire. "C'est un plaisir pour moi aussi." dit-il. Il but une autre gorgée de café. "Ça fait longtemps que vous travaillez ici ?" Il ne sait pas pourquoi, mais il avait envie d'apprendre à la connaître, il avait envie de développer de nouvelles relations car ici, dans cette immense ville, il ne connaissait personne, il était seul.

Pourtant ce n'est pas le genre de la jeune femme de l'être, mais comme on dit, il y a parfois des exceptions et pour coup s'en est une.

Une nouvelle fois un sourire apparaît sur le visage de la jeune femme, après tout ca fais toujours plaisir à se faire entendre dire qu'une personne est ravie de nous connaître.
A la question qu'il lui pose, Loréna secoue la tête doucement de façon à dire non.
A vrai dire ca ne fais pas longtemps que je suis à New York. Peut être bien 5 ou 6 mois à tout casser. Je travaille aux urgences depuis 4 mois, je suis arrivée au bon moment, ils recherchaient une réceptionniste et j'ai tenter ma chance. Dit elle en souriant. Et comble de chance comme ils leur fallait quelqu'un en urgences et malgré le peu d'expériences de Miss Seaver, ils lui ont tout de même donner sa chance
Et vous ? Que faites vous dans la vie ?

Tout en buvant son café, il écoutait la jeune femme répondre à sa question. Il apprit alors que cela ne faisait que 5 ou 6 mois qu'elle était à New-York, et 4 mois qu'elle travaille ici. Il n'est pas le seul nouveau en ville, en quelques sortes...

La belle Loréna lui retourna la question. "Je suis dans la police scientifique depuis sept ans, je suis spécialisé dans la biologie. J'ai demandé à me faire muter à New-York quand j'ai apprit l'état de ma mère, et je suis arrivé en ville en début d'année." explique-t-il.

Eh non, il n'est pas le seul. Depuis l'été 2015, il y a pas mal de nouveaux habitants à New York, a croire que tout le monde se donne rendez vous pour s'installer dans cette belle ville, dans lequel il faut reconnaître qu'on s'y sens plutôt bien.
En l'entendant lui répondre qu'il est de la police scientifique, elle le regarde surprise. Non seulement elle ne le voyait pas en flic scientifique, mais en plus il va bosser avec sa frangine, pauvre de lui.

Vous bossez au labo de la police scientifique, je vous préviens, vous risquez fortement d'y rencontrer une nana qui me ressemble comme deux gouttes d'eau, physiquement parlant je veux dire parce que caractériellement, c'est pas la même chose du tout entre elle et moi. Elle soupire. C'est ma sœur jumelle, Luna Seaver.
Puis il verra aussi Dale, ah Dale, le pauvre petit nain sur lequel Loréna à sauter et qui n'as rien vu venir. Elle y sourit en y repensant.

Et vous étiez où avant NY ?

Il lâcha un sourire en voyant la réaction de la jeune femme. Peu de personnes s'attendent à ce qu'il soit dans la police scientifique, souvent, les gens pensent que ceux qui font ce travail ont est des lunettes, portent des lunettes etc... Et en l'entendant lui dire qu'il allait travailler avec sa jumelle, il écarquilla les yeux. "Votre jumelle ?" dit-il. Il mit alors le prénom qu'elle venait de lui donner dans un coin de sa tête, au moins, il ne fera pas de gourde en rencontrant Luna.

Il termina ensuite son café avant de répondre à la nouvelle question. "J'étais à Seattle, j'y ait toujours vécu. Et vous ? Vos étiez où avant ?"

Elle hoche la tête. Oui ma sœur jumelle, grande, blonde, les yeux bleus, la même voix que moi, bref, ma copie conforme en tout point. Mais vous verrez je suis plus gentille qu'elle.
Même si ce n'est pas vraiment le cas, Ce que Loréna ne dit pas surtout c'est que comparer à elle, sa sœur est en tout point normal surtout. En même temps ce n'est pas faux ce qu'elle dit, habiller les pareils, placé les côte à côte et bon courage pour trouver qui est qui.

A la suite elle sourit.
Seattle c'est une belle ville, même si il pleut souvent. Dit elle en riant légèrement.
Un peu partout en faite. Je suis originaire d'Alaska, mais depuis 10 ans, je suis une globe trotteuse, j'ai visiter pas mal d'endroit. Avant de venir à NY, j'étais au Sri Lanka.

Comment vous est venu l'envie d'être flic scientifique ?

Il se contentait de sourire et de l'écouter, rien de plus. Il apprit alors que cette jeune femme était originaire d'Alaska mais qu'elle était depuis près de dix ans, une globe trotteuse. Un léger sourire au lèvres, il prit la parole. "Une globe trotteuse ? Ça doit être génial, de voir différents pays, de découvrir de nouvelles cultures..." dit-il en passant sa main dans sa chevelure brune. Elle rajouta alors qu'elle était au Sri Lanka avant d'être à New-York. Marcus éprouvait alors une sorte d'admiration, après tout, être globe trotteuse, ça ne doit pas tout le temps être facile.

Elle lui posa alors une question qui le fit sourire. Il s'enfonça dans la chaise et haussa des épaules. "J'ai toujours voulu faire quelque chose en rapport avec la biologie. J'avoue que je n'avais aucunes idées de ce que je voulais faire. Mais c'est grâce au père d'un ami que j'ai décroché un petit boulot dans la police scientifique de Seattle, et faut dire que j'ai adoré, alors je me suis orienté vers ce travail." dit-il. "Devant toutes ses choses à analyser, tout ses matériaux, j'suis comme un enfant.".

'Et vous ?" repris-t-il "Vous vouliez faire quoi plus jeune ?"

Elle hoche la tête. C'est vrai que c'est plutôt pas mal. Bon c'est pas toujours la joie non plus, entre les différences de cultures justement, les décalages horaires mais aussi la mentalité de certaines personnes. Mais … ca reste de très bons souvenirs.
Au Sri Lanka elle y était surtout allez pour suivre son mec du moment, mais une fois arrivée la bas, leur couple a spliter, mais ca n'as pas empêcher la jeune femme de trouver un boulot pendant plusieurs mois. Et vous a part Seatttle et NY ? Avez vous visitez d'autres endroits ?

La question du pourquoi avoir choisit ce métier posé, Loréna écoute la question et le moins que l'on puisse dire c'est que Marcus parle de son métier avec amour. Vous avez trouver le métier de votre vie, celui qui vous conviens le mieux comme on dit.

Moi ? Elle sourit. Comme toute les filles je voulais être princesse, mais j'ai vite repris la réalité. Peut avant de quitter l'Alaska j'étais au lycée à Kodiak, dans la section spéciale pour l'apprentissage pour entrer dans une école pour être USCG, hum Garde Côte en faite.

Le jeune homme s'amusait à tripoter son gobelet vide tout en écoutant la belle blonde. Puis, elle lui demanda si il était déjà allé autre part que Seattle ou New-York. "Malheureusement non." dit-il. "J'aimerais beaucoup visiter des pays d'Europe comme l'Italie, la France, l'Allemagne... Mais le temps me manque, et puis, j'aimerais faire ça avec quelqu'un."

Il l'écouta ensuite lui parler de ce qu'elle voulait faire petite. Et lorsqu'elle lui parla d'être princesse, un sourire s'afficha sur les lèvres du beau brun. Il se montrait attentif. "Garde Côté ? Ça doit être un métier... excitant..." Il n'en avait aucune idée mais peut-être que cela l'était. Bref, il continuait de parler avec la jeune femme sans se rendre compte que le temps passait.

Elle réfléchit un instant. Si je peut me permettre, je vous conseille aussi vivement de visiter l'Ecosse qui est un pays magnifique et également l'Irlande, les Highlands tout ca, si vous cherchez et que vous aimez les endroits calmes, dieu sait que vous vous y plairez. En Italie bien sur, il faudra allez à Venise vous vous en doutez, qui est un endroit vraiment magnifique aussi.
Après quand il s'agit de visiter, je pense que vous trouverez vite quelqu'un qui aimerait vous suivre.

C'est le rêve de toute les filles d'être Princesse et encore elle passe la période où elle voulait aussi être chanteuse et mannequin, ca ferais trop cliché de le dire.
C'est un métier où on ne s'ennuie jamais c'est sur. Ca en serais rester un beau métier, mais finalement je suis pas mécontente d'avoir changer d'avis. L'eau glaciale ce n'est pas vraiment pour elle. Voyant que son café est vide, elle relève les yeux et le regarde. Vous voulez un autre café ?