Certaines choses nécessites d'être dites.

Katherine H. Beckett & Léo Nardraw

 

Toujours autant débordé par le travail, j'avais vraiment du mal à trouver un rythme régulier. J'étais si épuisé, que ma secrétaire, m'avait ordonné de prendre une semaine de congé. Et oui, c'est bien ma secrétaire qui me donne des ordres et pas l'inverse. Du moins elle faisait surtout cela pour mon bien. Comment dire que je ne dormais quasiment plus, que je m'acharné sur un énorme projet que je ne voulais pas voire partir dans d'autres mains que les miennes. Il était important à mes yeux, que je sois reconnu pour mes talents, car oui, je me savais capable de faire des choses que certains grand artistes faisaient bien mieux que moi. Je voulais être comme certains de mes idoles, voire mon nom écrit sur les pages de magazines, être reconnu pour un travail parfait. Mais beaucoup me disait que je m'en demandais bien trop en peu de temps. 

Après avoir céder à ma secrétaire, je me décide enfin de prendre cette fameuse semaine de vacance. Généralement, beaucoup serait partit loin de chez eux, profitez de la plage, du soleil et autre, seulement je ne pouvais me le permettre. Pas que niveau budgétaire c'était trop juste, loin de là. Le bénéfice que je touchais était amplement suffisant pour que je puisse me faire réellement plaisir. Seulement côté santé, je ne pouvais partir. Je tombais très souvent de fatigue, il m'était arrivé plus d'une fois de m'endormir au volant de ma voiture, par chance aucun accident n'avait était crées. Des fois même, je manquais de tombé au sol. Mais j'arrivais toujours à me contenir pour atteindre mon appartement et ainsi m'endormir dans mon lit ou parfois même dans mon canapé. 

Lorsque Kate m'avait annoncé qu'elle passerait cette semaine là, j'avais tout faire pour être présentable, la veille j'avais prévu ma tenue, malheureusement toujours aussi fatigué, j'avais loupé mon réveil. C'est donc torse nu et vêtu d'un short que je viens t'ouvrir la porte, les cheveux en bataillent, les yeux a demi fermé. Cependant lorsque je te vis, je ne pu m'empêche de te faire un grand sourire. 

Salut princesse! Tu es magnifique! Mais oui bien sur entre! 

Je t'aide à porter quelque truc, les plus lourds de préférence que je pose sur la table du salon. une fois tout deux les bras libres, je m'approche de toi te serrant contre moi. 

Tu sais que tu m'as manqué.. 

Certaines choses nécessites d'être dites.

Katherine H. Beckett & Léo Nardraw

 

Je profite de cette étreinte qui me fais un bien fou. Lorsqu'elle se cache dans mon cou, je ne peux m'empêcher de fermé les yeux et de la bercer avec douceur, respirant son parfum. Heureusement qu'elle quitte mes bras assez rapidement, pas que je ne veux pas d'elle! Non, au contraire, seulement, venant tout juste de me réveiller, je n'avais qu'une seule envie. Celle de dormir. ce qui faillit m'arrivé lorsque je l'ai senti contre moi. 

Oui je suis vraiment désolé, pourtant je me suis couché tôt hier! Après avoir finis un dossier important vers 00h.. Normalement c'est pour moi une semaine de vacances, mais j'ai du mal à quitter mon travail ainsi.. Désolé pour la tenue, c'est pas très classe! 
Vraiment! Tu es un amour, je ne sais pas ce que je ferais sans toi! 

Je me retiens de me jetté sur le café, je ne m'empêche pas non plus d'en boire une bonne partie. Je relève le regard vers elle. Elle a quelque chose à m'annoncé. Je me crispe un peu de peur qu'elle me dise qu'elle et son mec c'est terminé, ou qu'elle est malade. Malgré le fait qu'elle essaye de me rassuré à ce sujet je ne peux m'empêché de m'imaginé tout les scénarios possibles inimaginable. Je hoche légerement la tête, me dépéchant de prendre une douche et de m'habiller. A peine 10 min plus tard, j'arrive dans le salon, m'installant à côté de toi. 

Dis moi ce qu'il t'arrive.. Quand tu dis rien de grave, qu'est-ce que tu entends par là ? 

Certaines choses nécessites d'être dites.

Katherine H. Beckett & Léo Nardraw

 

Seulement, j'ai besoin de travaillé pour gagné ma vie, et profité de quoi ? J'ai horreur de sortir du moins rencontré des gens n'est pas tellement mon truc. Bon ok, je me suis autorisé une soirée j'y ai rencontré quelqu'un, mais la photographie c'est plus qu'un job.. Et puis maintenant que tu as trouvé.. Comment il s'appelle déjà ? Peut importe, nos temps passé ensemble sont réduit.. 

Oui, je suis jaloux, jaloux de cet homme qui m'a volé ma soeur. Je suis conscient qu'il l'a rend heureuse, qu'elle est épanoui avec lui. Mais qui n'a jamais voulu garder son fraternel pour soi ? On a déjà perdu temps d'année tout les deux, que voilà de nouveau elle s'éloigne de moi pour lui! Et en plus de cela je ne le connais pas. Raison de plus d'être protecteur. 
Je regarde longuement nos mains, avant de posé mon regard sur elle. L'annonce est tombé, je déglutis, je ne m'attendais vraiment pas à cela. Encore une fois je suis plus qu'heureux d'être tonton, de savoir que Kate a la chance de fondé sa petite famille. Une fois de plus, je passerai à côté. C'est donc sans grande joie que je lui souris. 

Toutes mes félicitations.. 

Certaines choses nécessites d'être dites.

Katherine H. Beckett & Léo Nardraw

 




Ce que tu comprends pas, c'est que je ne l'aimes pas. Je fais semblant pour toi, parce que je sais que c'est vraiment très important à tes yeux. J'ai vraiment envie de partager plus de temps avec toi, mais à chaque fois je le croise et je ne supporte pas le fait qu'il puisse te touché. Je suis peut être trop possessif, mais je suis ainsi, j'ai toujours agis comme cela. Je suis conscient de défaut mais j'y peux rien. Tout ce qui concerne les personnes que j'aime, je ne peux que faire ainsi.. Je passe mon temps au boulot parce que je t'envie.. Je t'envie Kate, je t'aime plus que tout au monde mais te voire avec lui, vous fiancé.. J'ai l'impression que je n'aurais jamais ce bonheur.. J'ai 37 ans Kate, je ne suis plus si jeune que ça.. 

Je plonge mon regard dans le sien les larmes commençant à monté avec rapidité. Je lui disais la vérité, même si j'avais fais la rencontre de Séléna, je ne pouvais que l'envié d'une telle réussite dans sa vie sentimentale. Je n'étais pas jaloux, le mot était bien trop fort pour qualifiais ce que je ressentais.
 Cette annonce m'avait donné fait chaud au coeur, mais il était une fois de plus difficile pour moi de le montré. Je voulais lui montré ma joie mais je ne savais pourquoi, je n'y arrivé pas.
Je ne rompt pas notre seule contact physique, ammenant ma main à mes lèvres pour y déposé un baiser dessus. 

Je suis heureux pour toi. C'est juste que.. Je ne sais pas, c'est comme une sorte de révélation pour moi. Cameron fait partit de ta vie. Un homme de plus que moi, une personne qui m'est étrangére. Je ne connais rien de lui, je ne sais même pas si il est digne de t'avoir. Je suis possessif, je ne le supporte pas, peut être que je devrais apprendre véritablement à le connaitre, pour toi.. Pour cette enfant à venir, mais je n'y arrive pas, je ne peux m'empêcher de lui en vouloir de prendre cette place. Je.. je voulais t'avoir que pour moi, être le seul à te protéger.. Je sais que cette possession est maladive mais.. Putain..Kate! Je suis tellement désolé d'agir comme un con, j'aimerais tellement que tu sois fière de moi comme je le suis pour toi.. 

Je craque littéralement, étant à bout. Surement en grande partie du à la fatigue. Que sais je, je m'en contre fiche, j'ai vidé mon sac c'est ce qui m'importe le plus. Mais je ne voulais pas non plus la perdre. Pas elle. Je m'éfondre dans ses bras, les larmes aux yeux. 

Pardonne moi..