À pein arrivé en ville, Becky débarqua à son hotel, se changea et armée d'un couteau dans chanque manche et de son fidel revolver bien caché à la cheville prit le chemain conduisant à sa cible. Le travail de se soir là serait simple, il 'y avait qu'un seul homme. Le pauvre mec devait de l'argent à des grosses têtes et le boulot serait bien payé, en gros ce que la brune aimait. Elle pourrait ensuite aller boire une bière tranquille et se trouver un autre contrat pour le lendemain. Lorsqu'elle arriva sur les lieux, elle gara sa moto un peut plus loin, et fit le restat du chemin à pied. Alors qu'elle avançait dans l'allé, elle su immédiatement que quelque chose n'allait pas. L'espace à traverser pour se rendre jusqu'à la porte était beaucop trop dégagé et elle voyait bouger derrière les rideaux. Un sourir froid apparut sur les lèvres de la jolie brune. Hey ho, il y a quelqu'un? J'aurais besoin d'aide s'il vous plait.

L'avantage d'être une femme, et petite qui plus est, était que personne n'avait vaiment peur d'elle et tous le monde la sous estimait. Elle avait vite découvert ce truc et ne ce gênait pas pour s'en servir. 3 hommes, dont sa cible, sortie de la maison. Souriante, elle fit quelques pas vers eux en se passant la main dans les cheveux. Une fois à leur hauteur, elle fixa sa cible droit dans les yeux. Jessie, j'ai un message pour toi. Il est temps de payer. En disant ses mots, elle lanca un couteau dans la gorge de l'homme à droite et s'élanca pour trancher la gorge de l'homme à gauche. Le tout fut fait rapidement   L'homme voulu s'enfuir mais un genoux par terre la brunnette lui balança le couteau qui se figea dans la nuque. Elle allait se relever lorsqu'elle entendit un léger bruit derrière elle. Instinctivement, elle agripa son revolvère et le pointa en direction du bruit, de l'autre côté de la rue.

Encore une journée qui commençait. Le soleil se levai sur la ville et mon regard blasé se posa sur mon quartier. Tranquille, paisible. Depuis 5 ans je vivais ici à New York menant une vie somme toute "normale". Enfin... en apparence normale. Je tenais un resto qui était bien coté et avec une bonne réputation mais je gardai mon côté underground. J'avalai un café noir et amer pour me réveiller avant de manger un petit-déjeuner. Il y a longtemps que je n'ai as été faire de jogging dans Central Park. De ce fait je mit un pantalon sport et un survêtement. Je descendis mon allée et sorti ma voiture car c'était quand même à un peu loin de chez-moi. N'aller pas croire que je sors sans arme, que nenni mes chers! Un tueur à gage se protège toujours les fesses. Donc sous mon survêtement j'avais une arme, discrète mais là quand même. Arrivée à destination je me garai non loin et commençai mon jogging.

Je me perdis dans les rues la tête vide, pour une rare fois. Les maisons étaient tout de même jolies ici mais qui sait combien de canailles, de voleurs et autre se tenaient derrière ses portes? D'ailleurs il ne fallu pas longtemps que j'entendis du bruit. Vous savez ce bruit qui met vos sens en alerte? Lentement je ralentis mon pas de course et avançai ma main se posant sur mon arme caché sous mon pantalon. Bon le quartier était tout sauf accueillant. En tournant le coin je vis... Non sérieusement là? Becky? Je fronçai les sourcils un moment certain d'Avoir une hallucination. Je ne pouvait croire qu'elle était là. Cependant... malgré ce que je vis je dus constater qu'elle se débrouillait plutôt pas mal! Je m'adossai à un arbre et caché dans son ombre je la regardai faire. Pourquoi maintenant elle arrivait à mettre trois hommes à terre en à peine 2 minutes alors qu'avec moi je me devais de lui protéger les fesses? Les bras croisés je la regardai faire plutôt content de ce qu'elle était devenue.

- Dommage, que tu ne faisais pas ça quand tu étais avec moi.

Phrase dites durement, froidement. Fidèle à mon habitude. Je me redressai le regard noir posé sur elle. Même pas un sourire, ou un semblant de joie de la revoir. Ok oui au fond très très au fond de moi j'étais très content de voir qu'elle n'était pas morte mais... Je voulais la tenir quand même loin de moi. La dernière fois elle avait failli y rester.

Becky avait terminé le travail, pourtant un léger bruit la fit dégainer son revolver et le pointant vers la source du bruit elle figea. Pendant quelques secondes elle du se retenir pour ne pas tirer. Elle rengaina presque à contre cœur son arme. Elle eut plusieurs souvenir qui la frappa de plein fouets en même temps. Malheureusement celui qui persistait en revenant la tourmenter était le regard froid qu'il lui avait jeter avant de l'abandonner. Me laisser crever seul à du m'aider à m'endurcir John.

Le regard froid de rage elle se releva lentement, pris son portable, photographia les trois hommes et composa un numéro après avoir envoyé la photo. C'est moi. le boulot est fait... En effet une petite surprise m'attendait, tu sais ce que sa veut dire Joshua?...Exactement, et tu sais que je déteste que l'on se foute de ma gueule... D'accord Elle jeta un coup d'œil à l'écran de son portable. C'est Parfait, tu sais ou me joindre si besoin, mais je ne penses plus trop m'attarder en ville... Comme tu dis oui, une autre surprise.  

Elle raccrocha, jeta le l'appareil par terre, le cassa du talon et alla chercher ses couteaux, les essuyas et les rangeas. Elle retourna ensuite son regard sur son mentor. La rage n'avait fait que monter en elle à chaque actions plutôt que de se calmer comme elle l'aurait espérer. Elle voulu continuer son manège de l'ignorer et simplement partir, mais ses pas déviairent du chemin qu'elle voulait prendre et lentement au départ et courant à la fin elle se dirigea droit sur lui en rugissant. Elle fonça presque dans son torse, s'élança et frappa, visant d'abord le visage puis laissant simplement ses points frapper sans même prendre la peine de les diriger. Elle ne réfléchissait plus, laissant sortir tout simplement toute la rage accumulé dans les dernières années, ne pouvant empêcher des larmes de rages et de tristesse couler sur ses joues.

Je la vis se retourner au quart de tour en se mettant un genoux au sol en dégainant l'arme qu'elle avait à la cheville, ah bien elle m'avait écouter finalement. Instinctivement je pris la mienne en haussant un sourcil. Sérieusement là elle voulait vraiment me pointer un flingue sur moi? Lentement je remis l'arme en place quand elle replaça la sienne mais le regard penché elle me lança une phrase assassine qui me figea quoi un gros 10 secondes avant que je remonte le regard vers elle. Elle pensait vraiment que je l'avait laissé crever là? Je senti mon coeur se tordre et un semblant de regret me passa dans le regard. Je ne m'habituais pas à ce qu'elle m'appelle John trop habitué d'avoir des surnoms. Mais cette phrase me fit mal et comme réflexe de défense je la piquai en retour.

- Ou peut-être parce que tu n'avais plus personne à impressionner.

Non mais j'étais pas con non plus. J'avais bien vu qu'elle tentait de tout faire pour être mon égale me montrer qu'elle était aussi talentueuse que moi. Je ne dis rien restant de mon côté de trottoir et je l'écoutai en regardant ce qu'elle avait fait comme boulot. Mes vieux réflexes de mentor revint et j'étudiai la scène en fronçant les sourcils. Cependant l'oreille toujours tendue je captai la dernière phrase et je levai un regard vide. La surprise c'était moi. Mais je n'eus pas le temps de réagir qu'elle fonça sur moi tentant.. ah non elle avait réussi à me cogner le bord de la mâchoire. Elle se mit ensuite à me frapper le torse de toutes ses forces de femmes me faisant grimacer un peu. Elle avait gagner en force depuis 5 ans. Elle pleurait, grognait, et frappait... un vrai petit chien enragé. D'un geste rageur je lui saisit les poignets en la toisant durement.

- Ok Lutine! Ça va là? Tu t'es bien défoulée?

Le regard noir, froid, tueur quoi sur elle je maintenais ses poignets fermement entre mes mains le temps que la rage, la colère et la tristesse se calme... si ça se calmait. Stoïque, sans un mince geste de visage je la regardais s'énerver comme un petit diable.

Elle sera les dents après avoir entendu la pique de son mentor. Malheureusement il avait raison c'était toujours ce qui arrivait lorsqu'il était près d'elle. Serrant les dents, elle marmonna plus pour elle même que pour lui. Plus de danger que ça arrive!

Elle termina son boulot, vite fait, bien fait, puis la colère gardé au fond d'elle fini enfin par sortir. La satisfaction de l'atteindre en plein visage ne la calma pas. C'était même le contraire qui se produisait. Elle frappa de toute ses force, serrent les dents pour ne pas hurler. Elle sentit soudainement les mains de John saisir ses poignets. Son regard la frappant de plein fouet. Elle se débattit un certain temps, mais fini par se clamer manquant d'énergie. Les dents toujours aussi serrés, elle releva un regard remplie de trop d'émotions en même temps pour qu'elle y comprenne quoi que ce soit. Non Néro, je ne me défoulerai jamais assez. Lâche moi! Tout de suite! Elle était folle de rage contre lui, mais savait que le frapper de nouveau serait une très mauvaise idée, aussi voulait elle simplement partir. Cette fois, ses moi qui fou le camps, comme ça tu n'auras même pas à attendre que je sois par terre.

De l'autre côté de la rue je la vis bouger des lèvres mais ne sus exactement ce qu'elle disait. Mais ça sembla faire son effet. Tu attaque, je réplique. Ok peut-être durement mais bon. Elle me connaissait assez que je ne me laissais pas faire comme un vulgaire gamin. Cependant son regard changea quand elle fonçait sur moi.

Malgré le fait qu'elle réussit à me cogner, j'encaissai le coup sachantée que j'aurais un ecchymose tout au plus, je ne pus que prendre toute cette colère et cette peine sur moi. C'était ma faute si elle était ainsi. Elle n'était plus la petite pleine d'énergie que j'avais connu jadis mais tout ça par ma faute. Elle frappai mon torse de toutes ses forces jusqu'à ce que j'en ai assez et que je lui prenne les poignets fermement le regard dur sur elle. Je restai sourd à ses demande de la lâcher. Ah tiens elle était vraiment fâchée elle m'avait appelé Nero. Je fis un petit rire narquois mais je ne la laissai pas pour autant.

- Non tu ne t'en iras pas.

En gardant ses menus poignet entre mes large mains je lui fit un signe de la tête.

- Oui tu as fais un bon travail mais ton téléphone n'importe quel bon informaticien peut remonter à ton employeur. Donc à toi inévitablement de plus en laissant les corps là tu exposé de jeunes enfants à cette vue.

Je replantai mon regard dans le si distant encore une fois.

- Maintenant si je te lâche c'est seulement pour que tu nettoie les preuves. Il me semble que je t'avais appris cela non?

En entendant les paroles de John sur le gâchis qu'elle s'apprêtait à laisser par terre due à l'émotion, Becky de figea. Malgré les larmes, son visage redevint celui de l'étrangère qu'elle était devenue. Son corps tout entier devait transpirer la colère, seul émotion resté visible sur elle.

Soutenant son regard elle fini par soupirer Crois-tu sérieusement qu'en temps normal je fasse une tel connerie? Si j'ai réussi à survivre seul pendant 5 ans, je ne dois pas être si idiote. Aujourd'hui ce doit être à trop vouloir t'impressionné que j'ai oublier. En temps normal elle n'avait pas de fantôme qui venait la provoquer en plein milieu du boulot.

Désormais "en temps normal" pour elle signifiait exécuter le contrat, ramasser le carnage, aller se nettoyer et enfin aller prendre une bière. Presque calme, elle bougea ensuite doucement les poignets pour se libérer. Lâche moi, que j'aille terminer mon boulot. Elle détestait l'avouer, mais il avait raison, elle ne pouvait et surtout ne devait pas partir avant d'avoir tout nettoyé.

Je me doutais que j'étais méchant et bête avec elle mais m'avait-elle connu autrement. La petite princesse des motards étaient loin de la femme que j'avais en face de moi. Mes paroles la figerent un instant et je senti qu'elle c'était calmée... un peu du moins. Elle fini par soupirer et soutenir mon regard bravement. Elle me rappella qu'elle avait quand même survécue pendant mon absence. Cette fois se fut mon tour de me détendre un peu.

- Oui tu absences survécue mais je t'ai aussi appris à ne pas laisser tes émotions te dévier de ton objectif.

Pourquoi je ne pouvais pas simplement lui expliquer, lui dire que pendant 5 ans je me suis totalement tout mis sur le dos. Quand elle me demanda de la lâcher je pris plusieurs minutes et je l'observais. Elle semblait plus calme sauf cette colère que je voyais dans ses yeux.. J'ai toujours aimé ses grands yeux expressifs. Lentement je défis mes mains sans un mot pour la laisser faire ses choses. Cependant il y avait les deux colosses. Bonne ou non je parti derrière elle et alla vers un des corps du colosse et le prit sous les épaules

- Je vais t'aider. Ils sont imposants tu seras encore ici demain.

Le regard déjà noir de colère de Becky s'obscurcie encore plus. Son regard toujours encré au sien, elle lâcha un petit rire sarcastique. Ravale tes émotions pendant plusieurs années et quand viendra l'occasion de les laisser enfin sortir, tente de te retenir? Et si tu y parviens on n'en reparlera. Ses yeux plongé dans ceux de Jonh elle lui demanda ensuite de lâcher ses poignets. Il resta ensuite ainsi fixant son regard noir qu'elle avait toujours trouver attirant, presque hypnotisant, attendant qu'il la libère.

Lentement elle senti ses mains être libérer. Sur quoi elle se dépêcha de détourner la tête et de retourner à sa besogne, espérant que lorsqu'elle aurait terminé, il serait partie. Elle ramassa les débris du téléphone, puis s'attaqua à transporter sa cible et ses deux gorilles ailleurs. Lorsqu'elle entendit John lui dire qu'il allait l'aider avec les deux colosses, elle ne le regarda pas, ayant peur de laisser sortir ce qui lui restait sur le cœur. Si tu veux. C'était la partie qu'elle détestait le plus et il devait surement s'en souvenir. Elle qui était toute petite avait eux de la difficulté à prendre le tour de déplacer les corps, ce qui était toujours le cas d'ailleurs. Elle s'acharnait à déplacer le petit Jessie lorsque sa curiosité fut piquer et que comme toujours, elle ne pu retenir sa question. Au fait, étais-tu ici pour eux toi aussi?

Ses yeux s'assombrirent un peu plus et toujours bien planter dans les miens. Je fouillai ses prunelles cherchant cette étincelle qu'il y avait jadis. Celle de la petite boule d'énergie qui m'exaspérais mais que j'avais appris à aimer. Sa phrase courte mais assassine je fis avaler difficilement et froncer des sourcils.

- C'est ce que je fais depuis plus de 20 ans. Et JAMAIS je n'ai laissé de preuves. C'est ce qui fait ma réputation.

Oui bon mis à part le mépris et la froideur j'aurais pu montrer plus d'émotions mais... j'étais ainsi.Je relâcha ses poignets pour qu'elle aille faire son boulot. J'allai lui donner un coup de main mais elle me dit juste de le faire si je le souhaitais. Je relevai un regard vers elle mais n'ajoutais rien m'apprêtant à le trainer.

Arrivé près de la porte je l'ouvris quand elle me demanda si j'étais là pour eux aussi. Je ne répondis pas tout de suite voulant cacher le corps du colosse. Quand il fut à l'intérieur je me relevai bien droit et je la regardais tentant d'ignorer le mélange de culpabilité et d'attirance qui me tournai en dedans de moi.

- Non je me faisais une session de jogging.

J'allais sortir mais arrêtai sur le pas se la porte cherchant quelque chose à dire mais ne trouvant rien je retournai chercher l'autre molosse et en quelques minutes il était à l'intérieur avec les deux autres.

- Et toi lutine... tu es à New York simplement pour trois petits caïds?

Becky le dévisagea cherchant un signe d'émotion quelconque mais comme d'habitude n'y trouva rien et poussa un soupire lasse, épuisé de se battre contre lui. On n'a pas tous une carapace aussi solide que la tienne Néro. Tu devrais essayer de temps en temps tu sais, montrer que tu ressent quelque chose n'est pas si dangereux en temps normal.

Une fois libéré, elle alla terminer son travail en nettoyant la scène. Elle lui demanda ensuite la raison de sa présence, la curiosité gagnant sur ses émotions. Cependant elle évitait son regard, évitent même de le regarder. Il fini par rentrer les deux costaux qu'elle avait eu facilement, trop même à son goût, pendant qu'elle ramenait la cible principal et ramassait ce qui pouvait retomber sur elle. Sa réponse lui apprit donc qu'il habitait la ville. Évidemment, il lui retourna la question, elle fit le tour de la pièce des yeux évitant surtout de le regarder lui... Le mélange d'émotion en elle ne faisait qu'augmenter, ce qui n'était pas arrivé depuis très longtemps. Non, je venais passer un certain temps ici, me faire un nom, mais je ne suis plus certaine que ce soit une bonne idée... Elle ne disait pas sa méchamment, simplement que la douleur quelle ressentait la poussait à vouloir quitter la ville le plus rapidement possible pour être certaine de ne pas le recroiser. Elle tourna finalement les yeux vers lui, lui jetant un regard terne et triste, celui qu'elle avait depuis qu'il l'avait abandonné. Merci pour le coup de main.

Elle allait sortir et enfin partir lorsque son portable personnelle sonna. Fronçant les sourcils elle regarda le numéro et répondit. Oui? ... Oui c'est moi ... Elle écouta quelques secondes fronçant les sourcils de plus en plus. Non, vous vous foutez de moi? Elle poussa à nouveau un soupire, cette fois de découragement. Et qu'est ce qui arrive maintenant? Elle écouta haussa les sourcils. D'accord, mais pour cette nuit je fais quoi là? Je dort dans une boîte de carton et garde les mêmes vêtements sans les laver? Son regard exaspéré se tourna vers John. Et j'en ai pour combien de temps?... 2 Jours... Une semaine tout au plus... Oui je sais que ce n'est pas votre faute, mais vous n'avez vraiment aucune place ou me loger en attendant?... Ses bon je vais me débrouiller... Oui j'attend votre appelle. Elle raccrocha et rageuse remis le portable dans sa poche. Tu connais une bonne hôtel qui aurait une chambre de libre maintenant?

Je serrai les mâchoires à sa phrase. Sérieux la? Elle me balançait sa comme ça sachant ce qui est arrivé? Je redressai droit comme un chêne le visage dur et mes iris s'assombrirent un instant.

- Oui justement. Ça failli te tuer.

Je l'aidai comme à chaque fois que nous nous croisons. Eliminer les preuves, partir sans éveiller les soupçons. Cependant ici dans ce quartier personne ne parlerait trop habitués aux coups de feu, de la violence. Je m'informait si elle était venue ici seulement pour trois petits caïds et elle certifia qu'elle était ici pour se faire un nom. Mais quand elle me dit qu'elle n'était plus certaine si c'était une bonne idée je soutint soutint son regard me disant qu'il y avait de la place pour deux. Quand elle me remercia pour le coup de main je lui fis un petit signe de tête gentil.

Quand son téléphone sonna je me remis en mode mentor et je parcourait le pièce lentement regardant chaque petit recoin être certain qu'il n'y avait rien qui pourrait remonter à elle. Je compris que son hôtel avait brûlé et quand elle monta le regard vers moi en disant qu'elle trouverait une solution je croisai lentement les bras en la regardant un coin de ma bouche se relevant un peu et une lueur moqueuse passa dans mes yeux. Quand le sort s'acharne.

- Attends je vérifie au Continental.

Malheureusement non aucune place. Je remerciai la réceptionniste et fermai mon téléphone.

- Je connais une autre place...

Je fis une pause et prit une respiration.

- Chez-moi. J'ai une chambre libre. Viens.

Pas plus pas moins. Je lui prêterait une chambre tout le temps qu'elle voudra.

Les yeux de Becky revinrent immédiatement sur ceux de son mentor et le peu de couleur qui devait rester sur son visage disparue. Elle avait voulu une émotion, elle l'avait eux. Elle ne c'était pas du tout attendu à cette réponse et plusieurs émotions l'envahir en même temps en réalisant la signification de ce qu'il venait de dire. Elle du se retenir pour ne pas simplement rugir à nouveau et recommencer à ce débattre. Elle ferma les yeux, tentant d'encaisser le coup, se mordillant la lèvres inferieur comme elle le faisait chaque fois qu'elle tentait de se calmer. Elle fini par secouer la tête. Si tu crois que ses à cause de sa que j'ai faillis me faire tuer, tu es vraiment bête alors. J'ai fait une putain de connerie John, ses tout.

Alors qu'elle parlait se retenant de maudire tous les dieux et disant qu'elle trouverait bien quelque chose, elle eux la surprise de voir son mentor réagir. Elle échappa presque son portable, mais se rattrapa à temps. Elle hocha la tête trop surprise pour dire quoi que ce soit. Elle soupira en comprenant qu'il n'y avait plus de place là bas non plus. Elle commençait à se dire que finalement elle dormirait réellement dans une boîte de carton lorsqu'il lui dit connaître un endroit. Elle haussa les sourcils, une lueur d'espoir passant dans son regard, en attendant qu'il parle. Elle voulu protester, mais savait que ce serait complètement stupide, elle n'avait pas d'autre choix. Elle soupira, rendant les armes contre le destins. Merci... Mais fait gaffe, je crois que je suis maudite...

Bon une autre pique. Je n'étais pas bête je savais bien qu'elle avait tenté une nouvelle fois de m'impressionner et que j'avais été trop lent à la protéger mais ça c'est aussi parce que je commençais à éprouver ce frisson, ce papillonnement quand elle était près d'elle. Mais pour toute réponse je pinçai les lèvres vraiment en rogne contre elle... non plutôt en réaction à ses attaques. Je préférais mettre fin à cette joute verbale qui n'allait pas aller en s'améliorant.

Donc nous avions nettoyer la scène et j'avais entendu que son hôtel avait été la proie des flamme et oui... je me réjouissais de ce coup du destin. Mais je fis quand même un appel pour elle, a sa demande. Mais bon je lui offris ma cabré libre et ce sans discutions aucune, sans négociations. Je passai donc devant elle et je l'entendit dire qu'elle était maudire. Je stoppai net Le coeur battant la chamade je me tournai vers elle les yeux noirs de frustration.

- JAMAIS! Tu m'entends Becky! Je ne veux plus jamais entendre ça dans ta bouche! S'il y a un de nous deux qui est maudits ce n'est pas toi. Maintenant suis-moi je dois aller prendre ma voiture.

Je me de tournai d'elle et accéléra le pas. Pourquoi penaait-elle ça? MOI moi j'étais maudit, j attirail la mort, le sang. J'avais tellement vu de mort et de sang dansà vie que je pense que j'étais mort à l'intérieur moi-même

Si elle avait su ce qui l'attendait cette journée là, Becky n'aurait jamais débarqué à New York. Il y eu un temps ou elle n'aurait pas été déçu de devoir dormir chez son mentor. Maintenant tout ce qu'elle désirait c'était fuir le plus loin possible, ne plus croisée ce regard qui lui procurait encore aujourd'hui ce petit quelque chose au creux du ventre malgré toute la colère qu'elle pouvait ressentir. Elle ne voulait plus ressentir cette attirance qui la ferait étouffer et souffrir lorsqu'il l'abandonnerait à nouveau. Elle se figea à la réaction de John face à son sort. Je... Pour une rare fois, elle ne savait pas quoi dire. Elle fini par se demander ce qui pouvait bien lui être arriver pour réagir ainsi. Elle fini par sortir de la maison derrière lui perdu dans ses pensées lorsque son portable sonna à nouveau. Elle s'arrêta afin de vérifier l'appelant. Attend John ses mon hôtel. Elle décrocha. Oui ... Heu... Elle jeta un coup d'œil vers son mentor avant de soupirer. Je vous remercie, mais je me suis débrouillé ... Parfait, j'attend votre appelle. Elle raccrocha et rangea son portable. Elle reprit sa marche, jetant à nouveau un coup d'œil vers John. Je sais que ses certainement une mauvaise idée, mais s'il te plait, ne dit rien.

J'avais peut-être eu une réaction trop vive pour elle quand elle me parla de sa "malédiction" mais jamais je ne l'ai considéré ainsi. Non elle était plutôt mon porte-bonheur. Oui dire ceci de quelqu'un était une lourde charge mais sans elle je ne serais pas ainsi ou du moins je ne serais peut-être plus en vie. Pendant le temps de l'entraînement elle m'exaspérait, me faisait soupirer. Sur les missions, même si elle tentait de m'impressionner, j'espérais la voir car on ne se le cachera pas elle m'avait sauver les fesses à moi bon moins que moi mais elle l'avait fait. Je ne l'avais jamais vraiment remercié et c'était peut-être ma plus grande faute. Alors suite à mon explosion pour la première fois depuis que je la connais, elle resta sans voix. Je restai un moment à la fixer avant de me retourner et me remettre en marche. Quand elle me dit d'arrêter je tournai la tête à demi captant son regard. Elle avait décidée tout de même de venir chez-moi. Dire que ceci ne me faisait rien était faux. J'étais quand même fou de joie... mais à l'intérieur. Sa dernière parole me fit froncer des sourcils. Je me tournai totalement vers elle en me passant une langue sur les lèvres.

- Si tu pense un jour que se n'est plus une bonne idée tu sais ce que tu as à faire. Allez... viens.

Le ton que j'avais employé était plus doux, direct mais plus doux. Un des rare ton de voix qu'elle avait entendu depuis qu'elle me connaissait.