La femme est comme une ville : Quand la prise en est si facile, Elle est difficile à garder
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Sujet: La femme est comme une ville : Quand la prise en est si facile, Elle est difficile à garder 15th Janvier 2018, 00:43
La femme est comme une ville : Quand la prise en est si facile, Elle est difficile à garder
Comme tout les soirs Hailey travaille. Mais en ce moment il fait froid, aussi c'est dans un bar miteux que la jeune femme ramasse ses clients. C'est triste à dire mais dehors il fait trop froid, elle n'a pas envie de se geler les fesses. Qui voudrait d'une prostituée qui à la chair de poule, les tétons qui pointent et les cuisses qui claquent telle des castagnettes. Elle à quand même hâte d'être à ce weekend où elle sait que samedi soir, elle jouera avec son groupe dans un bar un peu plus loin et qu'ils gagneront un petit quelque chose. Ça lui permettra d'avoir une soirée de repos.
Assise au comptoir, elle à déjà envoyer balader des lourdeaux qui sont venus la draguer, qui étaient prêt à faire une séance très sportive avec elle, mais quand elle à commencer à parler de son tarif, ils ont préférer s'en allez. Pourtant Hailey est l'une des professionnelles les moins chères. Elle finit son verre et en demande un second au barman quand elle voit un homme prendre place à quelques tabourets d'elle et mettre la main dans le ravier de cacahuètes. Elle l'interpelle.
A votre place je ne ferais pas ça. Le bol est là depuis l'ouverture et avec tout les gens qui sont passé, forcément certains ont du postillonner dedans.
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Sujet: Re: La femme est comme une ville : Quand la prise en est si facile, Elle est difficile à garder 20th Février 2018, 18:39
La femme est comme une ville : Quand la prise en est si facile, Elle est difficile à garder Ft. Hailey Donovan
Ce soir Tony et ses coéquipiers avaient finis tôt. Après avoir rassemblé ses affaires et éteint son ordinateur, Anthony avait dit au revoir a tout le monde et était parti limite en courant. Une fois au garage le brun mis ses affaires sur le côté passager et il commence a conduire. Il y avait quelques personnes dehors. La circulation n’était pas si mauvaise que ça et DiNozzo rentre chez lui en trente minutes. Une fois dans son appartement, Tony pose son sac près de la porte d’entrée et pose son manteau sur le porte manteau à côté. Le brun se dirige vers sa salle de bain pour prendre une bonne douche chaude. Une fois douché il prit la direction de sa chambre pour se changer dans des vêtements décontractés. DiNozzo ne savait pas vraiment ce qu’il allait faire ce soir. Il hésitait entre regarder un ou deux films ou bien aller dans un bar, trainer un peu. Quelques instant plus tard Tony prit la décision d’aller dans un bar. Il allait boire un bon whisky pour se réchauffer un peu. Il mit un sweat plus son manteau, il prit aussi son téléphone et ses clés de voiture.
Une fois arrivé au bar Tony rentre. Il y avait pas mal de monde, mais bon les bars sont pratiquement toujours bondés. Il se dirige vers le comptoir. Il y avait quelques personnes qui était là. Certains discutés d’autres buvaient. DiNozzo se dirige vers un tabouret vide puis il commande un vers de whisky. En attendant d’être servie Tony mit sa main dans le bol de cacahuètes. Il fut surpris quand une jeune femme l’interpelle. Il tourne son regard vers elle et se mit a sourire en entendant ce qu’elle dit.
- Je pense que certains n’ont pas fait que postillonner dedans.
Dit-il en souriant encore plus avant de lâcher la poignet qu’il avait dans la main.
- Vous êtes là depuis l’ouverture ?
Questionne-t-il. N’avait-elle pas autre chose a faire ? Se demande-t-il.
La femme est comme une ville : Quand la prise en est si facile, Elle est difficile à garder