Depuis que je m'étais constitué otage afin d'éviter qu'il n'arrive malheurs aux enfants que j'étais venu visiter ma vie n'était plus que l'ombre de ce qu'elle était et voyant que je risquais de mourir j'avais fait un signal subtil à l'agent Reagan afin qu'il me tire dessus mais j'étais loin de me douter des complications qui allaient m'attendre suite à mon élan de bravoure  un acte que certains qualifiaient de téméraire. Bien sur Liam avait tenté de me stabiliser mais la tache s'était avéré des plus difficile et les urgentologues craignant les pire m'avait plongé dans un coma artificiel de crainte de me perdre.

La suite des événements appartenant désormais à l'histoire je n'allais pas tarder à apprendre ce qui s'était tramé à mon insu et je risquais fort de péter un plomb en apprenant mais pour le moment je me trouvais dans une chambre alors que lentement on tentait de me faire émerger de ce coma dans lequel on m'avait plongé pour mon plus grand iben.

De longues heures s'étaient écoulées entre le dénouement de la crise qui avait sévit et celui ou je me trouvais endormi dans ce lit d'hôpital. Inconscient je n'avais pas la moindre idée de ce qui avait pu se tramer à mon insu j'ignorais complètement que mon état s'était aggravé et que j'allais y rester … du moins jusqu'à ce qu'un donneur potentiel se manifeste … un donneur dont l'identité ne pourrait que me bouleverser au plus haut point. Lentement je revenais à moi et mes paupières commençaient à bouger, mes doigts se remuant, alors que je commençais à distinguer la voix de cette femme que j'aimais tant.

Je dois être mort et au paradis car je viens d'entendre la voix d'un ange.

C'est en ces mots que je m'étais exprimé, avec une certaine dose d'humour, bien que ma voix se voulait des plus affaiblie par tout ce que je venais de subir et enraillée par le frottement de ce tube que l'on m'avait inséré dans les voix respiratoire, je tentais de me redresser mais il m'était difficile et pénible de le faire. Étant sous l'effet d'un puissant anesthésiant je n'avais pas la moindre idée de l'intervention chirurgicale que l'on m'avait pratiquée alors que je tentais de me lever je finis par réaliser que je n'en avais pas la force et je me ravisai demeurant au lit … moi qui était plutôt de nature hyperactive je ne pouvais que détester être confiné au lit mais ce n'est pas comme si j'avais le choix. Une infirmière vint m'aider à me relever tout en m'invitant à ne pas trop en faire, ajoutant que le médecin s'étant occupé de moi finirait par venir me faire son compte rendu.

Tu sais quelque chose que j'ignore?

Lui demandais-je alors que je grimaçai quelque peu alors que je sentais qu'un truc tirait à l'intérieur de ma poitrine … une douleur qui était liée aux points que l'on m'avait faits et dont j'ignorais tout de leur existence.

Je me doutais bien qu'elle avait été en proie à sentiment de panique des plus ardent mais c'était plus fort que moi je n'avais pas su résister à faire preuve d'humour … il fallait bien désamorcer l'aspect dramatique de la situation qui prévalait. Sois pas triste mon ange, lorsqu'on est aussi belle que toi il faut rayonner et rien n'est plus éclatant que ton sourire . Tu veux bien me faire cette joie? Cette caresse qu'elle me fit ne fut pas sans me faire frissonner et je ne pus qu'abdiquer lorsqu'elle me suggéra fortement de demeurer calme … après tout il était vrai que je n'avais pas la force de mes ambitions.

Je me laissai aider par l'infirmière et puis je demandai à Allison si elle savait un truc que j'ignorais et dès qu'elle ouvrit la bouche j'eus l'ardent pressentiment qu'elle me cachait quelque chose … mon expérience du milieu des affaires et de la négociation m'avait appris à distinguer le vrai et le faux, cette fois ce que j'entendis sonnais archi faux mais je n'étais pas dans un état pour argumenter à ce sujet. Ma décision était la bonne, la seule qui s'imposait, je n'allais pas le laisser tuer un gamin dont la vie ne fait que commencer. Je soupirai. Mais tu sais parfaitement que je ne parlais pas de ça. Je roulai les yeux. On parlera plus tard pour le moment je veux savoir ce que je fais ici je crois que je suis dans mon droit d'exiger des réponses à certaines questions. Lui dis-je alors que je semblais de toute évidence épuisé par le simple fait de discuter. 

J'ai toujours été ce genre de mec le type de mec à avoir recours à l'humour afin de banaliser l'impact que pouvait finir par exercer certaines situations plus qu'insoutenable mais cette fois je réalisai que mon humour n'avait pas l'effet escompté. L'expression qui pouvait se lire sur le visage d'Allison était éloquent je pouvais parfaitement comprendre que bien malgré moi je lui avais fait peur  et je m'en voulais d'autant plus de lui avoir imposé une telle torture. Je suis désolé chérie , je m'en veux terriblement de t'avoir imposé un tel supplice … tu sais quand j'ai vu le fou avec son flingue tenter de s'en prendre à un enfant je ne sais pas ce qui m'a pris mais d'instinct j'ai fais ce qui me semblait être la chose à faire … je sais c'était fou, stupide, insensé et téméraire de ma part. Je te promets de tout faire pour t'épargner ce genre de frayeur. Évidemment je le lui avais promis car c'était la chose à faire au vu des circonstances.

Allison était une bien piètre dissimulatrice mais bon je n'avais pas la force de me prendre la tête avec elle, je comptais bien tirer cette histoire au clair car il était évident qu'elle me cachait un truc mais toute chose en son temps. Afin d'éviter d'envenimer les choses je décidai de ne pas revenir sur le sujet et je décidai de lui expliquer les raisons m'ayant inciter à faire ce que j'avais fait et je lui souris faiblement lorsqu'elle me dit que j'avais fait preuve de courage. N'ayant pas la force de lui répondre je me contentai de lui sourire tout en fermant les yeux un instant et je l'invitai à s'installer avant de tenter de revenir à la charge afin de tenter de savoir ce qui s'était passé mais encore une fois elle éluda la question. Bien sur que c'est important, j'ai l'impression d'être le seul à ne rien savoir alors que je suis le principal concerné. Je haussai les épaules en soupirant. De toute façon je vais pas vous lâcher tant que je ne saurai pas. Je fermai les yeux pour me remettre de mes émotions et puis je finis par les ouvrir au bout d'une heure. Dites madame mon gros pervers d'enfoiré de géniteur sait que je suis ici? L'infirmière me fit un regard et puis décida de partir … de toute évidence un truc ne tournait pas rond dans cette chambre alors je tournai la tête vers Allison. Dit elles sont toutes aussi folles qu'elle par ici? Dis-je en faisant dessiner un cercle à mon index près de ma tempe l'air de vouloir dire '' C'est une dingue de chez Dingueville celle-là?'' .

Je voyais bien que mon humour n'opérait pas, c'était le moins que l'on puisse dire, il était évident qu'elle avait craint le pire me concernant. Je la regarda et j'écoutai chacun des mots qu'elle prononça en s'adressant à moi, je trouvais insoutenable qu'elle se fasse autant de mal après tout j'étais tiré d'affaires. Non? Sous le choc? Absolument pas, pour moi ce fût rien d'autre qu'une balade dans le parc après tout c'est pas comme si c'était la première fois que l'on me tirait dessus. Je pris une légère pause. Je savais exactement comment gérer la situation, malgré ce que les gens peuvent penser, je ne t'en ai jamais parlé mais j'ai été kidnappé 3 fois lorsque j'étais gamin. Moi ce qui m'inquiète c'est plutôt comment les petits vont le vivre à cet âge c'est difficile.

Déjà que je me doutais qu'elle me dissimulait un truc voilà qu'elle me le confirma il faut dire que j'ai toujours été fort pour lire entre les lignes et ce peut-être qu'elle venait de prononcer n'avait pu que confirmer l'impression qu'elle me laissait. Donc sous prétexte que je suis faible cela justifie que l'on me cache des choses? Je te signale que je suis le premier concerné donc tu n'as pas le droit de me cacher quoi que ce soit on parle tout de même de ma santé, de ma vie, et de ce fait je devrais être le premier concerné.Je croyais qu'entre nous il n'y avait pas de cachettes, que c'était la franchise absolue ? J'affichai une mine qui ne pouvait que démontrer que je n'étais pas heureux de la situation. Là c'est pas sympa j'ai l'impression que tout le monde sait et que je suis le seul à ne rien savoir alors qu'en principe je devrais être le premier avisé … c'est fort inconvenant de me montrer si peu de respect. Peut-être devrais-je menacer l'hôpital et son administration d'une méga poursuite judiciaire? J'étais sérieux je n'appréciais pas que l'on me cache quoi que ce soit, j'avais l'impression que l'on me prenais pour le dernier des cons. M'étant permis de plaisanter quelque peu sujet de l'infirmière je vis que Allison semblait vouloir me parler, je me demandais bien à quel sujet, alors je décidai d'écouter ce qu'elle désirait me dire. Je t'écoute.

Je poussai un soupir de soulagement lorsque je l'entendis me confirmer que les mesures allaient être prises afin de faire en sorte que les enfants ne soient pas traumatisés par les événements, ayant vécu ce genre de choses par le passé je savais qu'il pouvait s'avérer difficile de passer au travers de ce genre d'épreuves. Cependant cet effet plus qu'apaisant s'avéra des plus éphémère c'est le moins que l'on puisse dire.

Subitement je vis Allison s'emporter et haussé le ton s'adressant à moi d'une façon que je n'hésiterais pas à qualifier d'hostile et d'agressive pourtant je n'avais fait que m'exprimer avec fermeté mais je n'avais pas l'impression de lui avoir manqué de respect ce qui ne pouvait qu'ajouter à mon incompréhension. Écoute je n'ai pas l'impression d'avoir été irrespectueux après tout , bien que je me sois montré ferme, je n'ai jamais haussé le ton à ton endroit. Je te considère injuste de me gronder alors qu'en fait je suis celui à qui on cache la vérité. À ce que je sache je suis le premier concerné par mon état de santé et là j'ai l'impression que tout le monde sait un truc que j'ignore. Je poussai un soupire. Tu vois je ne sais même pas ce que je fous ici. Tu sais parfaitement que je déteste que l'on me prenne pour le dernier des imbécile et là je ne peux qu'éprouver cette folle impression d'autant plus que je n'ai jamais mandaté qui que ce soit afin de décider à ma place. Je roulai les yeux. Je te signale qu'il est illégal en vertu des lois américaines d'imposer des soins à une personne sans sa volonté et puisque je n'ai rien signé il est évident que quelqu'un l'a fait pour moi. Crois-moi lorsque saurai qui est responsable je compte bien lui refiler la facture dans un retentissant procès qui le mettra sur la paille. Tout aussi attristé qu'en colère je m'exprimais néanmoins avec un calme plus qu'apparent. Je t'aime Allison mais c'est tout simplement trop me demander , je ne peux pas accepter que quelqu'un peu importe son identité se permette de prendre une décision à ma place et qu'il me refile la facture par la suite. Après tout chaque individu est libre de choisir et on là de toute évidence ce droit m'a été refusé c'est absolument et indiscutablement innacceptable tu le sais tout aussi bien que moi. Alors si on me demandait pourquoi je ne voulais pas que mes proches soient à mes côtés en cas de soucis de santé c'est justement afin d'éviter ce genre de situation, je ne tolérais pas que l'on parle en mon nom.

Je voyais bien qu'elle était dans tout ses états, je me doutais bien que ce qu'elle allait m'annoncer était gros mais jamais je ne me serais attendu à ce qui allait suivre. Non?????? Là j'étais au bord des larmes. Il n'avait pas le droit de me faire ça. C'était plus fort que moi je versai quelques larmes davantage par colère que par réelle tristesse. Cet enfoiré m'a toujours fait chié et voilà qu'il fait un coup décédé j'ai jamais rien désiré de lui et voilà que tu m'apprends que je porte son cœur. Là c'est clair que je ne vais pas accepté ça. Je regardai au plafond tout en soupirant. Pourquoi ne m'as-t-on rien demandé à ce que je sache c'est ma vie donc je suis le seul habileté à décidé.  Il aurait été trop difficile de me relier à un appareil faisant office de cœur artificiel et d'attendre que je sois conscient afin de me demander ce que j'en pensais? J'étais réellement contrarié mais néanmoins je tentais de m'exprimer avec calme afin d'éviter qu'elle ne se braque d'avantage. Je pris le bouton et j'appuyai et lorsque l'infirmière arriva je lui demandai de me faire venir le médecin dans les plus brefs délais. Ça n'en restera pas là. Le médecin arriva, je savais exactement ce que je voulais et il était hors de question qu'une partie de mon père subsiste en moi. Monsieur je ne vous cacherai pas que je suis en colère. Le médecin vint pour parler. Non monsieur laissez moi continuer. Je pris un respire et je continuai. Vous m'avez greffé le cœur de mon père sans mon consentement et vous savez qu'il s'agit là d'un acte illégal je pourrais facilement vous intenter un procès … procès que je remporterais haut la main et à la conclusion duquel vous perdriez votre doit d'exercer. Voilà ce que moi j'exige vous me retirer ce putain de cœur et vous me greffer un cœur artificiel. Le médecin m'interrompit en me disant que le tout était risqué. Pas de baratin monsieur j'ai le cœur d'un vieillard donc c'est tout aussi risqué alors greffer moi ce cœur artificiel et je vous signe une décharge légale ainsi qu'une renonciation. Le choix est simple soit vous obtempérez ou c'est le suicide de votre carrière. Le médecin finit par me dire qu'il était d'accord bien qu'à contrecoeur et puis regardant Allison je voyais bien qu'elle était apeurée. T'en fais pas ça va aller, c'est deux fois rien d'ici deux semaines je serai sorti et on fera la fête. Bien sur c'était surtout pour la rassurée.

Je ne saurais dire ce qui m'énervait le plus dans toute cette histoire. Était-ce le fait que l'on avait tenté de décider en mon nom alors que rien ne leur en donnait le droit ou était-ce le fait que j'avais l'impression d'avoir été trahi par celle en qui j'avais placé ma confiance? Probablement que la vérité se trouvait quelque part entre les deux possibilités. Non mais soyons sérieux comment veux-tu que je me repose et que j'oublie ma colère alors que de toute évidence personne n'a même songé à faire respecter mes droits? Je poussai un profond soupir d'exaspération. Oublie tes prérogatives de médecin , juste un instant, tu sais tout aussi bien que moi qu'en l'absence d'une procuration écrite de ma main il était illégal de procéder à une opération sans avoir au préalable obtenu mon autorisation. Si le médecin désirait mon accord il n'avait qu'à me brancher sur un appareil afin de me maintenir en vie … après tout ce n'est pas ce genre d'équipement qui manque ici. Je la regardai versant quelques larmes. Et puis tu sais très bien que jamais je n'aurais signé une telle autorisation. Porter le cœur de mon père? Cet enfoiré qui n'a jamais rien fait pour moi? Ça jamais, je préférais nettement la mort que de lui devoir mon salut.

Bien que je n'avais pas poursuivi ma pensée mon silence se voulait plus qu'éloquent je préférais prendre le risque de mourir que de laisser cette partie de mon père subsister en moi. Était-ce là l'expression de mes relents d'amertumes et de rancune à son encontre? Assurément. J'entendis Allison qui tentait de me calmer mais cela ne m'empêcha pas de passer un savon au médecin prenant même le temps de le menacer de poursuites légales s'il ne faisait pas exactement ce que je lui dictais.

Je ne voulais pas qu'elle s'en fasse outre mesure, bien sur je savais pertinemment qu'elle n'avait pas tort mais je n'avais pas l'habitude de subir les événements … même que je tentais de me convaincre que je pouvais les contrôler. Je dis simplement que dans deux semaines je ne serai plus ici, il est fort possible que dans deux semaines je sois encore couché, mais crois moi ce ne sera pas dans cette chambre. Il ne faut jamais parier contre Declan Trump. J'avais dit le tout avec humour et puis je me mis à tousser... c'était vachement douloureux et c'est alors que le médecin arriva avec le fameux document sur lequel je devais apposer ma signature afin de le décharger de toutes responsabilités si jamais les choses tournaient mal suite à ce que nous allions faire. Je pris le temps de lire le documents, certains détails me faisaient froid dans le dos mais – bien que j'avais l'impression de signer le décret de ma mise à mort – je finis par le signer. Voilà c'est fait. Faites en sorte qu'on procède rapidement monsieur. Plongeant mon regard dans celui d'Allison je lui dit d'une voix faible que je l'aimais plus que tout et je finis par m'endormir sous la puissance du sédatif que l'on venait de m'administrer … l'opération était donc la prochaine étape … peut-être même ma dernière.

Je trouvais vraiment injuste son attitude et en plus elle en remettait en me demandant d'accepter le fait que mes droits aient été bafoués j'avais l'impression qu'elle voulait minimiser le tout mais par dessus tout c'est mon jugement qu'elle me remettait en cause j'avais l'impression que l'on me traitait comme un enfant et que je n'avais plus voix au chapitre. Permet moi d'en douter car de la façon dont tu agis tu les bafoues ces lois. Et puis ou est donc passé ton discernement? Tu dis que les lois ne s'appliquent pas parce que je suis ton petit ami? N'est ce pas là un joli manquement au professionnalisme dont tu devrais toujours faire preuve? Tu m'accuses de ne pas faire la part des choses relativement à la haine que je voue à mon père , bien que tu n'as pas la moindre idée de ce qu'il m'a fait vivre,  mais pourtant tu es la première à ne pas y parvenir … je suis désolé de te dire ça mais vous n'aviez pas le droit de décider à ma place … tu le sais tout aussi bien que moi et maintenant je vais devoir y remédier. Je la regardai les yeux dans l'eau, Je vais prendre les choses en main et faire ce qui se doit d'être fait. Plus que jamais je comprenais mieux pourquoi je préférais affronter les choses seules … ça m'évitait ce genre de situations.

Ayant signé les documents que le médecin m'avait remis je lui demandai de mettre rapidement le tout en branle et je fermai les yeux m'endormant au gré de ce que me disait Allison. Le sédatif faisant son effet on m'emmena au bloc opératoire et l'on me fit l'opération que j'avais exigée. Le tout fut long et pénible il faut dire que le tout se voulait assez risqué et je sortis du bloc opératoire au bout de 10 longues heures … le personnel médical était sur les rotules et l'aspect expérimental de l'opération y fut pour beaucoup puisqu'ils ne s'entendaient pas sur la marche à suivre. Au moins j'étais débarrasser de ce cœur pourris dont je ne voulais pas … reste à savoir si le cœur artificiel dont on m'a fait don saura être aussi efficace. Je passerai à l'histoire comme étant le premier patient à recevoir ce type d'appareil  reste à savoir si le tout sera un succès … ou un échec. Pour le moment tout ce qui restait à faire était de se montrer patient puisque j'étais de retour dans ma chambre les prochaines heures allaient s'avérer cruciales.