Un ennemi s'acquiert comme un ami, en lui faisant du bien

Friedhelm restait presque bouche bée quand Nikki lui annonçait ne plus avoir de sentiment pour lui et que affaires était régler. Lui aussi avait plus aucun sentiment pour la jeune femme ? Au contraire... mais a présent cela semblait être terminer enfin presque puis qu'ils furent interrompu par la sonnerie. Restant dans le salon, Friedhelm laissait Nikki parler a son soit disant frère. Qui celui-ci ne comprenait pas la réaction et le comportement de Nikki mais comme elle lui disait si bien c'est sa vie et elle fait se qu'elle veut. Mais la révélation de la futur grossesse lui fit un choque.

Bon d'accord... comme tu voudras !

Dit-il dans un soupire en quittant la pièce pour revenir dans le salon. Voyant la mallette poser, le jeune homme se doutait que celle-ci devait appartenir à Friedhelm puis qu'elle ressemblait a d'autre mallette de nazi qu'il avait déjà pus voir. Se dirigeant vers la porte pour les quitter, il attrapait la mallette et quittait l'appartement au pas de course.

Merde... Salopard...

Lançait Friedhelm en quittant l'appartement aussi rapidement se lançant à la poursuite du jeune homme dans les ruelles glissante de Paris en bousculant certaine personnes. Le cœur battant, il s'arrêtait à un croisement et regardait autour de lui se demandant où l'homme avait pus partir quand il entendit du mouvement dans la ruelle et reparti a sa poursuite dans un grand escalier. Le jeune homme glissait sur les marches et tombait se qui donnait l'avantage à Friedhelm de l'attraper mais l'homme lui balançait un coup de pie au visage avant de se redresser et reprendre sa course folle. Se redressant,  Friedhelm passait sa main son son nez qui saignait et se lançait a nouveau à la poursuite du jeune homme qui le conduisait à la gare de Paris. Tombant sur un groupe de militaire il leur demandait d'attraper le jeune et de l'arrêter et ensemble ils poursuivaient leur course folle dans la gare jusque sur les quais

Arrêter-le !

Hurlait-il alors qu'il s’appétait a sauter sur un train en marche. Sortant son arme il tirait plusieurs coup qui atteignit l'homme qui tombait sur la voie ferre avec la mallette qui s'ouvrit sur le choc laissant s'envoler les billets tout le long du quai de la gare.

Ramasser les billets... schnell !

Hurlait-il sur les hommes qui couraient après tout les billets pour les replacer dans la mallette. Friedhelm s'avançait vers le jeune homme mort et commençait a lui faire les poches et trouvait certain documents. Quand les hommes eurent couru après tout les billets, Friedhelm puis quittait la gare retournant chez Nikki. Frappant à la porte il attendit que la demoiselle ouvre puis forçait le passage en entrant chez elle et posait la mallette sur la table avant de la fixé froidement.

Depuis quand tu travailles pour la résistance ?

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Un ennemi s'acquiert comme un ami, en lui faisant du bien

Friedhelm était furieux d'avoir été mener en bateau, et d'ailleurs qu'est ce qui lui avait prit de tomber amoureux d'une américaine ? Bon c'était ainsi et il ne pouvait faire marche arrière se qui était fait été fait ! Écoutant Nikki, il eut un sourire nerveux surtout quand elle parlait de « peu être » porter son enfant. Parce que il y avait 50% e chance que ce bébé ne soit même pas le siens. Et qu'est se qu'il fera après ? Une fille Américaine qui de plus résistante et un enfant qui est même pas a lui. Bonjour le tableau familiale ! Alors que elle lui montrait la porte et faire son rapport a son père cela l'amusait vraiment. Comme si il allait téléphoner a son père de cette histoire cela ne lui préoccupait pas plus que son dernier mouchoir.

Non je vais pas aller voir mon père... je vais faire autrement.

S'avançant vers elle, il lui saisissait le bras.

Tu vas venir avec moi.

Dit-il en la traînant vers la sorti.

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Un ennemi s'acquiert comme un ami, en lui faisant du bien

La mort du jeune résistant à la gare était rapidement arriver aux oreilles de tout le monde et surtout aux oreille du petit groupe de résistant dont fessait parti Nikki. Sachant que celui-ci devait aller voir la jeune femme il en déduisait que elle devait elle aussi avoir des problème et se sont quatre personnes qui se rendaient à l’appartement de la jeune femme. Quand il furent arriver sur le palier ils entendirent la dispute entre Nikki et Friedhelm qui tentait d’emmener la demoiselle avec lui ne voulant pas attendre que cela dégénère, les quatre personne fit irruption dans l'entrée se qui surprenait Friedhelm qui ne s'attendait pas a se que une personne ou un groupe débarque. Un des jeunes fit feu sur deux fois sur Friedhelm qui s'écroulait au sol. N'attendant pas de voir si il était vivant ou mort le petit groupe s’emparait de Nikki pour fuir hors de l'immeuble et se mettre à l’abri.

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Un ennemi s'acquiert comme un ami, en lui faisant du bien

Allonger sur le sol, Friedhelm y restait un long moment quand  des personne se penchait sur lui en l’appelant.

Sturmbannführer... Sturmbannführer Du hörst uns ?

Revenant a lui, Friedhelm essayait de se redresser mais la douleur était horible. Les hommes prit chacun un brs puis le soulevait du sol avant de le sortir de l'appartement pour le trainer jusqu'à l'hopital le plus proche.  Heureusement les balles avait évité de peu le coeur mais Friedhelm devait rester quelque jour à l'hôpital ayant perdu beaucoup de sang. Quand il fut rétabli il reprit son travail et ne se consentait a présent plus que sur son travail essayant d'oublier Nikki et le reste. Deux mois étaient passer depuis sa dernière rencontre avec Nikki, alors que Friedhelm revenait des sous sol avec une malette un camion se garait dans devant l'entrée du camps fessant descendre des personne qui venaient de se faire arrêter.  Friedhelm regardait les hommes et les femmes descendre du camion quand il vit Nikki sortir à son tour. La regardant au loin, il hésitait un instant puis préférait ne pas aller la voir de toute que pourrait-il dire? Marchant vers la sorti il ne tournait pas la tête ne voulant aps croiser son regard quand le garde de l'entré l'interpellait.

Sturmbannführer ! Vous n'avez pas signer le registre de sorti !

Soupirant, Friedhelm se retournait puis s'avançait vers le garde et signait le fameux registe.

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Signant le registre, Friedhelm suivait des yeux Nikki qui passait derrière lui avec les autres personnes du groupe puis déposait le bic près du registre.

Depuis quand vous arrêter les femmes enceinte ?

L'homme haussait les épaules.

C'est pas à moi que vous devez pose la question, aler vous renseigner auprès de l'Oberstleutnant.

Soupirant, Friedhelm allait voir l'homme et attendit que il termine sa converstion avec une autre personne.

Pourquoi vous interné les femmes enceinte ?

En quoi cela vous regarde ? Nous ne fessons que suivre les règlement : toute personne arrêter est amenée directement ici. Et puis en quoi cela vous concerne ?

L'état major réclame des personne bien portante pour le travail et je ne vois que des vieillards, enfants et femmes enceinte.

Vous savez quoi Sturmbannführer, faite votre travail et mêler vous de vos fesses d'accord ? De toute façon ces personnes vont être transférer en Allemagne. Bientôt cela ne sera plus de notre resort.

Dit-il fièrement en s'allumant une cigarette.

Autre choses Sturmbannführer ?

Friedhelm fit un signe négatif puis quittait l'homme en se dirigant vers la sorti puis fit demi-tour.

Attendez j'ai oubliser quelque chose...

Posant sa malette, Friedhelm retournait vers les bâtiments puis traversait les couloir où se trouvait les différent appartement où étaient entasser les gens  parfois par 5 ou 10 personnes. Certain endroit étaint plus ou moins propre et d'autre cela donnait l'envie de vomir. Ne trouvait pas Nikki, Friedhelm reprit l'escalier central et descendit a nouveau l'escalier. Traverçant la grande cour, il attrapait sa valise et quittait le camps. Mais arriver à son bureau il n'était pas tranquille. Il se demandait se que les hommes du camps trafiquaient et surtout quel était ce transfert et pour aller où ? Friedhelm passait une grande parti de la nuit a comprendre d'où venaient les transferts de personnes et se qu'ils devenaient une fois que il ne servaient à  rien. A présent il compris pourquoi il y avait autant de nouvelle main d'oeuvre. Endormi sur son bureau, c'est la claquement de la porte du bureau dus à un courant d'air qui le fit sursauté. Regardant la pendule accrocher au mur celle-ci indiquait 7h35. S'étirant, il fit un rapide saut à sa chambre pour se doucher puis enfilant son uniforme il se rendait à nouveau au camps où plusieur camion était garer devant l'entrée.

Qu'est ce qui se passe ?

On vous là dis, il y a un transfert vers l'Allemagne.

Même si Nikki avait menti à Friedhelm celui-ci ne se voyait pas envoyer la demoiselle dans un camps de la mort. Attrapant la liste des mains du soldat il parcourait les feuilles.

Il y a des femmes qui on été embaucher pour le ménage à la Kommandantur.

On ne m'as rien dis.

Vous refuser de me croire soldat ?

Oh non  Sturmbannführer ! Qui dois-je appeler ?

Friedhelm parcourait rapidement la liste et chosisit quelques jeunes femmes.

Anna Traube, Nikki Monroe, Hélène Timonier, Charlotte Jousse.

Deux soldat marchait le long des camions en hurlant les noms et prénoms des jeunes femmes et quand l'une l’entendait elle fit signe afin que on lui ouvre la porte et la fasse sortir.

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Un ennemi s'acquiert comme un ami, en lui faisant du bien

Les femmes regrouper dans la cour Friedhelm fit un signe a l'un des soldats de les faire grimper à l'arrière d'un camion vide. Regardant passer les femmes passer devant lui, Friedhelm ne disait rien. Quand Nikki s'avançait avec son ventre bien arrondi, il lui tendit la main pour l'aider a gripper sur le marche pied. Un simple geste que il aurait fait même à une autre femme enceinte après tout elles étaient des femmes, des êtres humain et non des animaux. Le jeune homme s'avançait vers Friedhelm lui demandant une signature sur un document. Regardant le document, Friedhelm le lue rapidement puis plaçait sa signature.

Où allons nous ?

A la  Kommandantur.

Les femmes se regardaient intriguer.

Et on y fera quoi ?

On vous expliquera sur place.

Dit-il en fessant signe s'abaisser la bâche arrière puis prenant place dans le camion celui-ci quittait le camps.

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Un ennemi s'acquiert comme un ami, en lui faisant du bien

Accouder à la portière, Friedhelm restait silencieux en regardant le paysage défilé sous ces yeux et réfléchissant de se qu'il allai faire des femmes à l'arrière du camion. Après un long trajet, celui-ci s’immobilisait angle de la rue du 4-Septembre et de l'avenue de l'Opéra où siège la Kommandantur. Friedhelm jetait un œil sur le grand bâtiment puis fit un signe que l'on ouvre la bâche arrière pour y faire descendre les femmes. Celle-ci descendu on les firent entrées puis les conduisaient avec leur baluchons dans une pièce sous les toits qui était aménager en dortoirs. Elle était loin d'être une chambre du Ritz mais plus confortable du camps d'où elles venaient.

Bon vous allez loger ici.

Dit-il alors que une femme posait son sac puis regardait Friedhelm.

Que va t-on faire ?

Vous allez travailler. Ménage, cuisine, service...

On va jouer les larbins ?

Vous préférez peu être retourner d'où vous venez ?

La femme fit un signe négatif.

Parfait. Laquelle de vous sait cuisiner ?

Deux femmes levait la main, Friedhelm fit un signe au deux femme de suivre un des soldats vers la cuisine. Friedhelm je tait un œil sur Nikki et sur l'autre femme.

On vous appellera quand on aura besoin de vous. En attendant vous restez ici.

Dit-il avant de quitter le dortoir pour descendre.

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Friedhelm était au début de l'escalier quand Nikki s'adressait à lui. La main sur la rampe il écoutait la jeune femme en lui tournant le dos. Bien sure que non pour lui elle n'était pas indifférente sinon il ne l'aurait faite sortir de ce camion qui l'aurait emmener à la mort. Alors que elle lançait que il s'était foutu d'elle pour couche ensemble et que il avait aucun sentiment pour elle, Friedhelm se retournait vers Nikki.

Non, au contraire c'est toi qui a rien compris ! Je suis amoureux de toi mais depuis que tu as sus qui était mon père tu m'as éviter comme si j'étais la peste ! Moi j'étais prêt a faire des sacrifice et...

Il ne pus continuer quand un homme arrivai dans l'escalier en l’appelant. Regardant l'homme il annonçait en allemand que il arrivait puis regardait Nikki qui partait vers le dortoir. Soupirant, il décidait de descendre rejoignant la personne qui l'avait appeler.

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Quand Friedhelm entrait dans la pièce il fut attirer violemment à l'intérieur avant que la porte ne claque derrière lui.

Mais... qu'est ce qui te prends ?

Demandait-il en voyant l’homme totalement affoler comme si il venait de voir un fantôme.

C'est la fin... c'est fini on... on va se faire arrêter...

Friedhelm fut intriguer par ces paroles.

Attends calme toi, qu'est ce qui ce passe ?

Tu as pas compris !!! Les Français son avec les américains ils viennent d'entrer à Paris d'ici une heure ils seront ici !

Attrapant le téléphone,Friedhelm téléphonait à un autre poste de commandement puis après une discutions rapide et entendant les cri affoler des hommes et des coups de feux Friedhelm regardait l'homme qui fessait du sur place comme un ressors et raccrochait le téléphone.

Attrape les documents... il faut tout brûler descend le tout à la chaufferie.

Et les femmes ?

On verra cela plus tard, occupe toi des documents il ne doit rien rester.

Avec l'homme Friedhelm remplissait des dossiers dans plusieurs boite en carton et les fit descendre dans la cave puis allait chercher les deux femmes à la cuisine leur demandant de monté dans leur chambre et y resté. Les femmes intriguer fit se qu'il demandait même si elles trouvait cela étrange. Dans les bureau les hommes se débarrassaient des nombreux documents pour ne laisser aucune trace. Entendant des coup de feu dans l'entrée, Friedhelm levait la tête et quittait le bureau passant pas une autre porte et montait à l'étage rejoindre les femmes. Ouvrant la porte il leur fit un signe de quitter la pièce et de descendre mais arriver dans le grand escalier qui donnait sur le hall d'entré Friedhelm fit face à un groupe d'hommes armés. Les femmes derrière lui il sorti son arme et braquait avec son Luger l'un d'entre eux qui n'était autre que le fameux américain ex-fiancé de Nikki qui lui aussi braquait Friedhelm avec sa Thompson et aucun des deux ne savaient que ils étaient amoureux de la même femme.

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Quand Nikki parlait à l'homme, Friedhelm fut surprit.

Tu le connaît ?

Demandait-il alors que David qui tenait toujours Friedhelm en joue comprit que lui aussi était le fameux boche que Nikki lui avait parler.

Alors c'est toi le boche qui était amoureux d'elle.

Cette annonce le fit sourire.

Je vois que elle t'as parler de moi c'est bien... comme je vois on est tout deux dans le même panier. Alors on fait quoi ? Un combat à la duel ou on sort dehors et on va se frapper dessus ?

Cela le fit sourire.

J'vais pas perdre mon temps à te casser la gueule, a la fin de la guerre tu seras fusiller. Autant aller plus vite tu crois pas ?

Quand Friedhelm vit que il allait appuyer sur la gâchette les coup de feu raisonna dans le hall du couloir. La balle de Friedhelm était passer a quelque centimètre de la tête de David alors que celui-ci l'avait toucher en plein torse. Friedhelm s'accrochait au bras de Nikki avant de s'effondrer au sol.

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Allonger au sol, la douleur était extrêmement douloureuse. Posant sa main sur celle de Nikki, Friedhelm regardait la demoiselle en sentant sans sa bouche le goût du sang qui commençait à l'étouffer. Penchant la tête, il crachait du sang avant de pencher le tête vers Nikki alors que David s'avançait vers lui. Le regardant, Friedhelm eut un fable sourire.

Va y... descend moi... Tu... tu attends que ça...

David fit un signe négatif et prenant Nikki sous les bras il la fit redresser debout.

Non... J'vais simplement te laisser te vider de son sang. Allez vient Nikki.

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Un ennemi s'acquiert comme un ami, en lui faisant du bien

Les paroles de Nikki étaient touchante dommage que elle ne lui dise cela alors que il allait rendre l'âme. Quand David la prenait elle se débâtie pour restée seule avec lui. Elle voulait faire quoi ? Reste avec lui jusqu'à se qu'il pousse son dernier souffle ? Non, Friedhelm ne voulait pas que elle reste ici a lui tenir sa main alors que il agonisait il préférait que elle s'en aille avant que cela ne soit fini. Serrant sa main dans la sienne il l'attirait à lui et lui fit un dernier baiser sur ces lèvres avant de dire a David que il s'en aille avec Nikki. C'est avec difficulté que il la fit sortir du couloir pour quitter le bâtiments alors que les autres soldats avaient déjà fait sorti les autres femmes. Restant allonger sur le sol, il pouvait entendre au loin les coup de feux qui raisonnaient et se rapprochait. Avec les dernière force qui lui restait, Friedhelm se basculait sur le côté et a quatre pattes il rampait le long du couloir jusqu'à se qu'il soit arriver à son bureau. Se hissant sur sa chaise avec difficulté il  y prit place et attrapant un stylo et un papier il fit quelque notes avant que se force ne l'abandonne pour de bon.

C'est quelque jour avant noël en décembre 1945 que un postier arrivait chez Nikki en lui tendant son courrier et une enveloppe. Une fois que elle eu poser sa signature il lui tendit avant de partir, à l'intérieur de l'enveloppe se trouvait une lettre ainsi que droit de succession au nom de Friedhelm qui lui léguait ses biens d'une valeur de 1,65 million de Reichsmarks (843 631€).

Lettre:

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