Aucune classe n'est aussi stupide que cette prétendue bourgeoisie dans les affaires politiques

Depuis que Friedhelm avait gagner malheureusement pour lui il n'était plus un inconnu parmi tant d'autre à Londres mais heureusement il avait pas une horde de fan qui lui courait après comme les Beatles. Il s'y fessait avec le temps et restait lui même ne voulant pas jouer la star et avoir la grosse tête et puis Ingrid veillait au grain. Ce soir il y avait eu une réunion dans le sous sol avec leur groupe néo-nazi et comme d'habitude celle-ci s'était éterniser. Dans la salle Friedhelm discutait avec trois membres en terminant leur bières et fumant leur cigarettes. Mais ils étaient rester c'est parce qu'ils voulait aussi lui parler d'une chose sérieuse. A la demande des hommes, il fut choquer par leur demande.

Quoi ? Pas question je ne le ferais pas ! Je risque ma peau en fessant cela...

Oh mais arrête, tu risques rien je te dis et il y a que toi qui y sera au plus prêt.

Lançait l'homme en regardant Friedhelm qui fit les cent pas sur place en grattant sa nuque. Il y a quelques jours le groupe « I Salonisti » qui allait jouer au palais de Buckingham comme chaque année devant la Reine pour le traditionnel concert de noël avait contacter Friedhelm pour la suivre au violon. Friedhelm s'en fichait un peu de devoir jouer devant la Reine il était pas royaliste mais bon cela sera la seul fois que il pourra mettre les pied à Buckingham Palace alors autant en profiter. Mais quand le groupe apprit que Friedhelm ne sera a que quelque mètres de la Reine, du premier ministre et du reste de la brochette royale cela serait le meilleur moment pour frapper. L'homme sorti son portable de sa poche puis montait quelques photos à Friedhelm de la fameuse bombe.

Elle sera glisser dans l’étui de ton violon c'est l'endroit parfait et personne ne verra rien.

Friedhelm n'était pas vraiment rassurer, et si on lui fouillait l'étui et si cela allait pas marcher et si... Une par de lui voulait dire non mais d'un autre côté il voulait accepter rien que pour montrer a son père que il n'était pas un faible et un minable comme il ne cessait de répéter. Prenant le téléphone en main, Friedhelm accouder à la table regardait les différentes photos en réfléchissant où il pourrait la glisser sans que personne ne la repère. Ingrid qui les rejoignit, Friedhelm tournait la tête vers elle puis se redressait.

Il va le faite...

Lançait l'homme ce qui surprenait Friedhelm.

Quoi ? Tu lui lui en avait déjà parler ?

Je lui ai juste dit ce que nous avions en tête et que on allaient t'en parler.

Friedhelm tendit le portable à l'homme puis regardait Ingrid.

Et toi t'en penses quoi ?

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C'est vrai que niveau filles il y en a beaucoup au bar mais surtout pour l'écouter jouer et lui faire du rentre dedans mais de toute façon Friedhelm a son cœur réserver à Ingrid et heureusement que elle lui fat confiance sinon tout les jour il y aurait une scène de ménage.

Regardant comment était fabriquer la bombe, Friedhelm réfléchissait il se demandait même si cela ferait autant de dégât que on lui disait mais bon il était pas spécialiste en bombe. Alors Ingrid le rejoignit, il souriait à sa remarque et quand elle fut près de lui, Friedhelm passait son bras à sa taille en lui souriant quand elle annonçait de garder son uniforme. Rare il s'habillait en costard cravate sauf lors des réunions ou pendant les fêtes, le plus souvent Friedhelm traînait en chemise et jeans.

Quand il eut demander à Ingrid se qu'elle pensait, elle voulu que il réfléchi avant de répondre rapidement et elle avait raison il ne voulait pas répondre a chaud puis regretter.

J'vais y réfléchir et j'te recontacte.

Dit-il comme seul réponse pour le moment. Quand les hommes eurent terminer leur bière et cigarette ils quittaient le sous-sol. Pendant que Ingrid fermait le bar, Friedhelm rangeait le bordel de la salle vidant les cendriers, plaçant les bouteilles dans les cassiers et rangeant les chaises tout en réfléchissant à la discutions. Il savait se que Ingrid pensait de cette situation mais il verra demain la nuit porte conseil comme on dit. Prenant les dernière bouteilles, il les plaçait dans le casier et enfin la salle était ranger même si elle était encore pleine de fumé de cigarette.

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Pencher sur le casier, Friedhelm rangeait les bouteilles le cassier vide il le plaçait en arrière et le nouveau cassier plein en avant. Il en profitait pour mettre un peu d'ordre rapidement puis se redressait en regardant Ingrid qui l'observait.

Terminer de ranger chef, on monte.

Lançait-il en lui souriant. Fermant les dernières lampes et plaçant l'alarme ils montaient dans leur appartement. Fermant la porte derrière eux, Friedhelm s'asseyait au bord du lit et commençait à enlever ses chaussures. Une fois fait, il se mit debout en regardant Ingrid.

Ça paraît dingue comme truc mais... une parti de moi a envie de le faire même si je sais que c'est prendre un énorme risque.

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Debout il écoutait Ingrid tout en commençant à enlever son uniforme. Même si il fessait se qu'il voulait comme d'habitude vu que c'était une tête de mule il aimait tout de même avoir l'avis de Ingrid. Elle avait peur que il se fasse attraper ou blesser et il la comprenait mais si il fessait comme il en savait parler avec les deux autres normalement il ne lui arrivera rien. Enlevant sa veste, cravate et chemise il des déposait au pied du lit puis encore vêtue de son pantalon et singlet il s'avançant vers Ingrid et posait ses mains à sa taille.

Je comprends que tu ne veuilles pas que j'y ailles... mais si tout le monde réagi ainsi jamais il ne se passera quelque chose. Et il est temps de faire quelque chose, les immigrants commence a prendre de la place et se sentir comme chez eux.

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Debout il écoutait C'est vrai que il ne l'était pas obliger mais une part de lui voulait le faire rien que pour prouver que il en était capable et gagne le respect des autre et de son père. Regardant Ingrid il lui fit un signe positif puis la laissait aller fermer les volets avant de se déshabiller et de se mettre au lit.  

Friedhelm avait accepter de faire sauté les explosifs à Palais de Buckingham et beaucoup avait confiance en lui même si Ingrid ne suivait pas trop son choix. Alors que il terminait de s'habiller, il prit l’étui de son violon puis descendit l’escalier et entrait dans le bar qui était encore fermer seul les membres du groupe qui avait planifié le coup était sur place. Alors que Friedhelm entrait dans la pièce le groupe ne pus se retenir d'éclater de rire en le voyant habiller en le traitant de pingouin.


Sympa... vraiment sympa. Ben votre bombe vous pouvez vous la coller au cul !

Oh c'est bon te fâche pas on plaisante. Aller vient on va t'expliquer comment faire.

Lançait-il en entraînant Friedhelm vers le comptoir. Posant son étui dessus il l'ouvrit puis prit le dispositif qu'il plaçait à l'intérieur en écoutant l'homme lui donner les dernière mise en garde. Une fois cacher il fermait l’étui puis regardait Ingrid qui restait silencieuse. S'avançant vers elle, il l'embrassait tendrement puis posait son contre contre le siens.

Ça se passera bien.

Dit-il en lui souriant. Quittant le bar, il fut conduit par un ami jusque devant  Buckingham puis se dirigeait vers l'entrer et rejoignit l'un des musiciens. Ensemble ils entraient dans le grand hall est passait à la fouille comme tout le monde. En vu des dernier événement la sécurité ne voulait rien laisser passer et Friedhelm fut mal à l'aise quand on ouvrit l’étui de son violon mais la personne regardant rapidement avant de le refermer. Suivent les autres musiciens, Friedhelm entrait dans la grande salle de bal et fut surprit de la voir aussi belle et grande. S'installant sur l'estrade il écoutait le chef d'orchestre puis celui-ci voulu commencer afin de régler les instruments. A coter de lui une jeune femme au violoncelle qui avait pas de pupitre, Friedhelm lui annonçait aller lui chercher et entrait dans l'arrière salle où se trouvait les instrument de musique et autre objet. Ouvrant son étui il glissait la bombe sous sa veste puis se retournait vers une personne qui demandait se qu'il fichait là. Annonçant se qu'il cherchait on lui annonçait que il fallait en chercher un au sous-sol. Descendant, Friedhelm cherchait le pupitre puis regardait l'endroit essayant de visualiser se qui se trouvait au dessus et devait être au bon endroit. Il réglait le dispositif puis remontait rejoindre le groupe pour le réglage de son violon et à 20 heures le spectacle pus commencer. Commençant par la « Valse Septembre » Friedhelm jetait un œil vers la grande salle où se trouvait de nombreuse personne qui les regardaient jouer mais au côté de la reine le siège du premier ministre était vide. Quand la pétition fut terminer, Friedhelm demandait à la jeune femme a ses côté pourquoi le premier ministre était absent et celons une source il était clouer au lit avec une grosse grippe. Bon et bine il a eu chaud aux fesses... reprenant son violon ils se mirent a jouer « Songe d'Automne » puis « On the Beautiful Blue Danube ». Mais quand ils furent a la moitié une explosion se fit, des femmes criaient ainsi que des hommes beaucoup de paroles et discutions on fit évacuer les musiciens ainsi que les invités vers la cour extérieur. La police arrivait sur place et beaucoup de badaud se plaçait devant les grilles se posant beaucoup de question.

Il est une heure du matin quand Friedhelm pus enfin revenir chez lui. Le bar était encore ouvert, quelque personnes discutait en écoutant de la musique sur le vieux juke-box mais beaucoup avant le nez sur leur téléphone portable a écouter les nouvelle au sujet de l'explosion à Buckingham. De loin, Friedhelm saluait Ingrid qui était au bar puis passait la porte montant à leur appartement pour se changer. Une fois fait, il la rejoignit au bar et se prit une bière avant de l'embrasser. Assit devant lui, il regardait l'un de ses potes et lui adressait un sourire.

Tu as entendu les nouvelles ?

Lançait-il en souriant alors que l'autre souriait à son tour.

Ja... félicitation mein Führer.

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Friedhelm bus sa bière en discutant avec son pote puis se retournant il ne vit pas Ingrid. Demandant a l'une des filles celle-ci annonçait que Ingrid était sorti. Prenant une veste il sorti dehors et trouvait Ingrid dehors a fumer. S'avançant vers elle il plaçait son torse contre son dos et l'emballait dans sa veste. Lui déposant un baiser sur la nuque, il remontait ses lèvres à son oreille.

Tu es toujours fâchée ?

Demandait-il en penchant la tête pour la regarder.

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Écoutant Ingrid, Friedhelm penchait la tête pour la regarder et l'écoutait quand Ingrid annonçait que elle était encore fâcher. Friedhelm ne disait rien mais elle était tout de même contente que il était rentré cela était une bonne chose. Souriant faiblement, il la gardait contre lui avant de lui dire :

Qu'est ce que je peux faire pour me faire pardonner ?

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Il fallait que il attend que sa colère s'en aille et que cela passe. A ces mots Friedhelm ne disait rien puis quand Ingrid demandait la raison pour laquelle il avait faire cela et les risque que il avait encouru Friedhelm ne répondit pas et regardait Ingrid lui prendre la main. Les risques il savait que il y en avait mais il avait prit les précautions. La raison de le faire, oui cela était pour prouver a son père que il était pas un minable comme il ne cessait de le dire. Regardant la main d'Ingrid, il levait son regard vers elle.

Je sais que j'ai pris des risque mais... mais j'ai pris toute les précautions et tu vois cela s'est bien passer.

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Cela fessait un bon moment que Friedhelm était avec Ingrid et connaissant la demoiselle il savait aussi que quand elle était fâchée cela était pour longtemps.Mais avec le temps il s'y était fait... regardant leur main, Ingrid lui confiait que elle appréhendait que il se fasse arrêter mais Friedhelm était certain que personne ne le balancera et la police ne saura jamais que c'est lui qui a déposer la bombe.

Ne te fait pas de mauvais sang.

Dit-il en lui caressant son visage.

J'irais jamais en taule.

L'embrassant tendrement, il quittait l’extérieur pour rentré au chaud. A l'intérieur il ne restait plus que son pote les autres clients étaient rentré. Prenant sa bouteille de bière, Friedhelm en bus une gorgée en regardant son pote qui regardait les info sur son téléphone.

Pourquoi tu fais la gueule ?

La reine est toujours vivante... c'est la vieille qui à claquer.

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Friedhelm sait que l'on ne peu faire confiance en personne mais si l'un le balance il tombe aussi donc voial pourquoi tout le monde la boucle sur cette affaire. Et de toute façon Friedhelm fera tout pour ne pas y aller il ne veut pas moisir en cellule.

Dans le bar il discutait avec son pote et intérieurement il râlait d'avoir raté la reine alors que la vieille se trouvait juste à côté. Selon certain média elle était aussi blessé mais en disait pas plus. Son pote parti, Friedhelm aidait les filles à ranger puis montait dans l'appartement. Arriver dans leur chambre, Friedhelm prit son oreiller sous le bras.

Bon, je dors dans le canapé ce soir ?

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Après s’être changer pour la nuit, Friedhelm avait embarquer son oreiller et allait quitter la chambre alors que Ingrid se plaçait au lit. Annonçant que il y avait la chambre d'ami il souriait avant de lui répondre à sa question.

Et bien comme tu es fâchée contre moi je pensais que tu préférerais dormir seule.

Dit-il sur un ton amuser.

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Entre la chambre d'amis et leur lit il y avait pas photo ! C'est sûrement leur lit, et c'est se qu'il fit après y avoir sauter dedans. Avant de fermer la lampe, il déposait quand même un baiser à Ingrid puis fermait la lampe pour dormir. Cette nuit Friedhelm dormait bien, il pensait que avec se qu'il avait fait ce soir il ne serait pas tranquille mais au contraire il dormait comme un bébé.

Le lendemain, il sorti en ville pour chercher le journal par simple curiosité savoir se qu'il racontait puis achetait le petit déjeuner pour adoucir la nervosité de sa chérie. Arriver sur place, il préparait la table, le café et chocolat chaud tout en lisant le journal et apparemment la police avait aucun indice se qui était rassurant.

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Quand il avait sauter dans le lit, Friedhelm avait fait attention tout de même de ne pas y aller trop fort quoi que quand ils fessait l'amour ils étaient plus sauvage que cela enfin bref... c'est sans Ingrid dans les bras que il dormait et cela fessait... étrange.

Le lendemain après avoir été en ville et préparer le déjeuner, Friedhelm relevait la tête vers Ingrid quand il l'entendit entré dans la cuisine. Se levant de sa chaise, il allait à sa rencontre pour la saluer et eut un sourire quand elle lui déposait un baiser.

Oui je suis passer en ville chercher les croissants. J'ai fait aussi du chocolats chaud si cela te dis.

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