Aujourd’hui, Bianca allait avoir sa petite protéger. Elle sait pas pourquoi mais très vite elle avait adoré cette gamine d'ailleurs elle lui avait pas vraiment demander de cv pour l'embaucher et puis il ne faut pas être blonde pour décrocher le téléphone et taper quelque mail. Bianca avait une très belle galerie mais cette galerie renfermait ne nombreux secret. Arriver à la galerie elle s'était diriger a l'arrière dans la grande remise pour y constater que le travail demander n'avait pas été fait.

Ma che cazzo?

Hurlait-elle sur les hommes assit dans un coin a se tourné les pouces.

Le consegne sono a mezzogiorno ! Sbrigatevi, non abbiamo tempo tutta la notte!

Les hommes se levait et s'exécutait sur une grande statuette et commençait à la démolir morceau après morceaux sous les yeux satisfait de Bianca. Celle-ci fut appeler par une personne et elle quittait la pièce bruyante. On lui annonçait que Maéva était arriver et la jeune femme allait l’accueillir.

Maéva. Désoler j'étais occuper.

Lançait-elle en lui souriant avant de remarquer un bleu sous son épais maquillage.

Apparemment ton week-end ne c'est pas très bien passer.

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Alors que Maéva lui annonçait qu'elle imaginait comment la cambriolé, cela ne choquait pas Bianca au contraire cela la fit plutôt sourire. Il est vrai qu'elle renfermait beaucoup de belle pièce d'ailleurs elle était souvent en conflit avec Sotheby's qui eux aussi recherchait des pièces exceptionnelle et souvent Bianca devait se fâcher avec le fameux Simon Newman. Et une fois sur deux la jeune femme arrivait à avoir le dernier mot ! Maéva fut surprise que l'on avait découvert son bleu et de la façon comment était étaler le maquillage il était normal que cela se voyait. Mais la jeune fille la rassurait en annonçant que son week-end s'était très bien dérouler et que son adversaire était bien plus amoché se qui fit sourire Bianca. Ouvrant un tiroir, elle sorti une pochette en cuire et s'avançait vers Maéva lui arrangeant son maquillage.

Voila qui est fait. Bon, et si on commençait à travailler ?

Lançait-elle en souriant.

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Bianca était satisfaite de se petit maquillage. Rangeant le maquillage elle rejoignit Maéva et lui fit signe de la suivre vers l'arrière de la galerie.

Ton travail ? Et bien cela sera un peu de tout. Réception des commandes, surveillance des employée, surveillance de la galerie... Tu sera mon bras droit, mes yeux et mes oreilles.

Dit-elle en lui adressant un sourire. S'avançant, elle s'arrêtait près d'un groupe d'homme qui cassait une magnifique statue et en sorti des paquet de résine de cannabis. Bianca fit un sourire et en prit une brique et la tendit à Maéva.

C'est plus facile pour la livraison et sans aucun problème. Les pièces d'art son très rarement contrôlé.

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A l'évocation du « demi-chef » la fit rire et quand elle parlait de zigouiller elle écarquillait les yeux.

Hors de question ! Tu sais se que c'est que trouver du personnel compétent ? Enfin... on ne peu pas dire que celui-ci en ait !

Lançait-il en fessant un signe de la main vers les hommes.

Mais tu as le droit de les corriger.

Elle fit un clin d’œil puis contrôlait la marchandise avant de s'éloigner avec Maéva.

Certaines de ces œuvres ne sont que des copies, nous conservons les vrais que nous fessons arriver clandestinement. D'ailleurs je suis en conflit avec la maison Sotheby's et un certain Simon Newman qui ne fait que s'accaparer des plus belles pièces du moment.

Bianca entrait dans la galerie avec Maéva.

Toute nos pièces son vrai et aucune ne quitte la réserve sans être vidé. Si tu as des doute il y a un dossier sous le meuble de l’accueille qui est sans cesse remit a jour.

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Bianca avait vu la grimasse de Maéva et cela l'avait fait sourire.

Le jour ou il faudra coupé des tête je ferais appel à toi. Mais ne fait pas fuir mes clients...

Lançait-elle en lui souriant en marchant dans le couloir. Quand Maéva lui parlait de Simon elle fit un signe positif.

Oui exacte sauf que lui il travail pour une maison mois c'est mon propre compte.

A la seconde question de Maéva, Bianca fit un arrêt et passait sa main dans ses cheveux.

Avec les Corleone's cela est... un peu compliqué. J'ai disons... flirté avec Gabriel et cela n'as pas vraiment plus à Rebecca.

Un homme s'approchait, Bianca signait le registre puis poursuivit son chemin avec Maéva. A son annonce de pochette surprise et le mit a rire.

Oui on peu dire cela. Ce dossier tout le monde le gère a chaque fois que une pièce passe entre tes mains tu doit le signaler dans le registre.

Fessant une pause, elle s'adossait au mur et regardait Maéva.

Tu sais je te laisse le choix : si tu préfère Corleone je ne t'en voudrait pas si tu veux bosser sur les deux tableaux cela ne sera pas un problème pour moi.

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Simon si j'en ai fait mon quatre heur ?

Elle se mit a rire.

Bon il est pas mal mais... trop conservateur a mon goût je penses qu'il n'est pas né a la bonne époque lui cela sera plus le moyen age.

Lançait-elle amuser. Alors que Maéva parlait de Gabriel cela la fit sourire.

D'accord, je vais que tu connais la machinerie mais effectivement c'est un très bon coup.

Elle souriait puis rejoignit le hall d’accueil en écoutant Maéva.

C'est comme tu désire je ne t'oblige en rien. Tiens voilà un client !

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Elle se mit a rire.

Exactement ! Mais bon je me pleins pas il me laisse tranquille. Et j'en fait autant.

Le client entré, Bianca lui adressait un sourire avant de pousser Maéva en avant.

C'est simple tu t'occupe de lui !

Bianca laissant Maéva se débrouiller avec l'homme et cela se passait très bien. Et puis la jeune femme savait de quoi il s’agissait, son client était venu récupérer une pièce qu'il avait commander qui lui venait d’Asie. Une fois payer le client quittait la salle ravi de son achat.

Et bien tu vois ça se passe bien.

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De qui ? De Simon. Non, Gabriel ! Si il me cour après cela ne me dérangerais pas.

Dit-elle en souriant. Avant de laisser Maéva avec son client une fois fini elle vit qu'elle savait se débrouiller donc pour elle cela était parfait.

Tu as fait bonne impression donc a partir de cette minute je te garde !

Lançait-elle en lui souriant et regardant sa montre.

On va déjeuné ? C'est la patronne qui offre !

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Bianca écoutait Maéva en lui souriait et quand elle parlait d'un garçon pas mal cela attirait sa curiosité.

Ah bon raconte moi cela...

Dit-elle curieuse, les potins de cœur elle aime aussi tout comme le shopping ! Elle est mafieuse mais une femme avant tout ! Maéva fut choqué qu'elle aurait pus être mit a la porte et cela fit rire. Non elle avait dit cela pur plaisanté quand elle engage se n'est pas pour changer d'avis. Voyant Maéva a la fois surprise et heureuse du repas la fit sourire.

Je t’emmène dans l'un des meilleur restaurent italien de la ville ma chérie.

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Ah toi aussi tu aimes les mecs spéciale moi qui pensais être la seule.

Dit-elle en souriant. Bianca prit son sac et allait sortir avec Maéva de la galerie.

Je t’emmène au Da Silvano Restaurant un restaurant typique de Toscane sur la 6ème avenue tu vas te régalée.

Bianca ouvrit son sac et cherchait ses clés de voiture tout en marchant dehors ou se trouvait sa BMW décapotable.

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Bianca écoutait son ami et dans un sens elle la comprenait elle aussi avait quelque difficulté avec certain homme et elle se demandait si elle n'allait pas finir vieille fille sans enfant et sans mec. Une fois qu'elle arrivait au font de son sac, elle trouvait enfin ses clés ! Comme dirait son frère : plus ton sac est grand plus il contient de bordel et... il avait raison. Comme Maéva était d'accord pour le restaurent elle lui souriait et allait monté en voiture quand elle vit une personne arriver vers elle qu'elle n'aurait pas voulu voir aujourd’hui.

Simon... Maéva je te présente le fameux Simon Newman. Que me vaut ta visite ?

Lançait-elle sachant que cela n'était pas une visite de courtoisie.

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Bianca regardait Simon de bas en haut puis fit un sourire à Maéva avant de le regarder.

Je n'avais pas le droit ? Non mais pour qui tu te prends mon bonhomme ? Je prends les pièces comme je le veux, qui va à la chasse perd sa place ! Tu n'avais qu'à mettre un acompte dessus peu être que là je ne te l'aurais pas soufflé sous le nez !

Dit-elle en le regardant avant de placer son sac sur son siège arrière de sa voiture décapoter et faire signe à Maéva de prendre place dans la voiture.

Si tu veux Simon, tente moi un procès.

Lançait-elle avec amusement.

Mais je ne suis pas sur que ton histoire passera devant un juge.

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