L'ÉCHEC EST UNE DES ÉTAPES AVANT D'ARRIVER AU SUCCÈS.
Ft. Elinor Jones

Aujourd’hui c’était mon jour de repos donc j’avais le temps de faire ce que je voulais après avoir enchainé les gardes. Bon qui dit repos dit quand même sport. Bah ouais un pompier s’entraine toujours. J’avais décidé d’aller à la salle de sport à côté de chez moi. J’étais tranquillement en train de m’installer sur la machine pour me muscler les bras. J’avais ma serviette et ma bouteille d’eau à côté de moi. J’allais remettre ma musique quand j’entends quelqu’un qui m’interpelle en me disant que si je continuais comme ça c’était soit la crampe ou un froissement des muscles qui allé m’arriver. J’ai enlevé mes mains des barres, enlevé mes écouteur et je me suis retourné vers la voix en souriant.

- Je dois vous remercier alors. Vous m’avez évité de me faire très mal. Et ça aurait été très embêtant pour mon travail.



Dis-je plus à moi qu’a elle.

- Merci Madame ou Mademoiselle.

Dis-je en souriant. Je voulais savoir son prénom, en plus elle était ravisante.

L'ÉCHEC EST UNE DES ÉTAPES AVANT D'ARRIVER AU SUCCÈS.
Ft. Elinor Jones

J’étais tranquillement en train de faire mon sport, écouteur dans les oreilles, bouteille d’eau à mes pieds et la serviette aussi. C’est vrai que je faisais du sport tous les jours dus à mon métier, mais jamais en faire. C’est pour ça j’étais là aujourd’hui. J’allais commencer à utiliser la machine quand une voix féminine me parla et me dit que si je continuais comme ça j’allais avoir des crampes. Je l’avais remercié. Ça n’aurait pas été cool d’avoir des crampes ou autres avec mon métier. J’ai enlevé mes écouteurs pour lui parler. Je lui ai remercié, elle venait de me « sauver » si on pouvait dire ça comme ça. Puis elle me dit qu’elle était prof sportif c’est pour ça qu’elle s’y connaissait bien.

- Oooooh je comprends mieux maintenant. Je me demandais aussi comment vous aviez fait pour savoir ça. En tout cas merci beaucoup.

Je souris.

- Enchanté Mademoiselle Elinor. Vous avez un très joli prénom. Je m’appelle Logan.

Lui dis-je toujours en souriant.

- Vous savez quoi ? Vous voulez pas être mon prof sportif particulier pour l’heure? Comme ça je suis sûr qu’avec vous je ferais tout bien. Qu’en dites-vous ?

J’espérais qu’elle accepte.