Ça faisait maintenant 3 semaines que Becky avait quitté la maison de John. Sa rage avait diminué, mais encore là, elle était toujours enragé et ne faisait que faire des contrat et chercher les problèmes partout où elle allait. Si elle n'était pas sur un contrat elle était dans un bar en train de chercher à ce bagarrer avec n'importe qui. Elle en était à accepter tout et n’importe quoi comme contrat, espérant sans vraiment en avoir conscience ne pas en revenir. Pour l’instant, elle s’était tirées inextremiste de certains contrats et en avait réussi d’autre beaucoup trop facilement. Elle avait plusieurs ecchymoses ainsi que plusieurs coupures visibles. Son blouson de cuir qu’elle adorait et mettait pour chacun de ses contrats était déchiré par endroit. Elle avait eu un contrat pendant la journée ou elle était presque certaine de ne pas revenir en vie. Une gagne de rue, en temps normal, elle n’aurait jamais accepté de faire ce genre de mission seule, mais là, elle se balançait totalement de ne pas revenir en vie. De plus que cette gagne s’amusait à refiler de la drogue au enfants. Elle partie donc du bar ou elle se trouvait à la recherche de gens avec qui ce bagarré pour partir à moto trouver ses salopard. Elle les retrouva assez facilement et commença son carnage.

Trois semaines, trois semaines que je n'avais pas revu Becky. J'étais mal, je savais combien j'avais été salopard avec elle alors que j'avais passé une nuit mémorable et rempli d'amour et de tendresse. Mais je me devais de la tenir loin de moi, de la protéger. Elle serait en danger à mes côtés. Cependant la perdre de vue ainsi, ne même pas trouver où elle est me rongeait. D'ailleurs je trouvais la maison trop silencieuse, mes entrainements trop monotone. Moi qui est ordonné, où tout est rangé à sa place j'avais laisser sa chambre dans l'état où elle l'avait laissé. C'est à dire le lit défait, les tiroirs à moitié ouverts. J'avais même retrouvé le chandail que je lui avait prêter dans un coin de la chambre. Loin d'être un sentimental j'avais pris le bout de tissu et avait serré mes doigts dessus en ravalant ma peine et ma déception.

Je travaillais ce jour-là quand je reçu un appel sur mon portable. Un gang de rue revendait de la drogue dans les rues mais en distribuait dans les écoles ou même en revendant à de jeunes enfants. Ceci me mit dans une rogne pas possible. Je disparut dans le sous-sol du resto pour parler librement. Ou? Quand? Qui? Quand j'eus les informations je me changeai, m'armai de tout ce que je pouvais avoir. Couteaux, fusils tout, tout ce que je pouvais mettre sur moi. Je m'habillai de noir comme à mon habitude et me dirigeai vers le Queens. Je repérai la bande et me dit que mon "employeur" était un pur connard! Ils étaient trop nombreux même pour moi seuls. Ok je devais me cacher et au moins en buter quelques-uns. Je montai mon fusil d'assaut et me plaçai mais que vois-je? Une fille dans cette cohue pendant que MA bande s'attaque à une autre. Merde! Il ne fallait pas que je merde sur ça! Serrant les mâchoires et en visant bien j'en fis tomber un, un autre. Il fallait que je touche simplement MA bande et pas l'autre et pas la cinglée au milieu de tout ça

Elle était arrivé à eux et avait tout simplement attaqué. Alors qu'elle se battait contre un nombre déjà trop élevé de personne pour elle seule, voilà qu'une autre bande arriva sur les lieu en se mêlèrent du carnage. Prise au milieu de tout ce jolie petit monde Elle tentait de faire tomber ceux du gagne pour lequel elle était venue jusque là, lorsque soudainement certain du gagne adverse se mirent à tomber. Elle jeta un rapide coup d'œil cherchant d'où venait les balles, mais n'eu pas vraiment le temps de voir quoi que se soit avant de devoir retourner au combat. La rage au corps, elle se battait comme jamais elle ne s'était battu, ce qui lui promettait pleines de blessures à soigner à son retour, enfin si elle s'en sortait. Elle jetait des regards un peu partout cependant, croyant savoir qui était derrière sa, mais ne voulant pas trop y croire. Elle se donnait corps et âme dans se combat, mais le nombre était beaucoup trop élevé avec le deuxième gagne qui était arrivé et ce même malgré les balles qui semblaient venir de nul part.

Cache je tentais d'atteindre que mes cibles mais c'était un bordel incroyable. La jeune femme au centre de tout ça allait se faire buter si elle ne faisait pas attention. Quand elle se retourna je crus reconnaître... non c'était impossible! Pas Becky! Mais elle foutait quoi là? C'était pas un contrat pour elle.

- C'est pas vrai bordel!

Je maffairai à en tuer le plus possiblepour éviter qu'elle ne soit touché. Une fois que je fus certain que tout allait quand même bien et pour elle que pour moi je m'avançai tel un changement entrant dans la bande. Tuant un, recevant un coup d'un autre. En gros... Les coups pleuvaient de partout. Je la vis vite fait et mon coeur se serra en voyant dans quel piètre état elle était. Malgré qu'elle ai foutu le camp n'en reste pas moins qu'elle restait ma petite protégée. Quelle ne fut pas ma stupeur de voir quelle se battait n'importe comment.

- Ta droite Becky bordel!

Ça m'avait échappé, vieux réflexes. Mais comme je lui disait ça je reçu un coup dans le ventre qui me fit plier en deux

Donnant et recevant des coups à n'en plus finir Becky commençait à fatigué et à faire n'importe quoi. Elle voulait peut être bien y laisser sa peau, mais pas à n'importe quel prix. Elle remarqua qu'étrangement les balles tirés d' elle ne savait trop ou semblait abbatre les hommes près d'elle, tout en l'évitant. Elle enregistra l'information, mais était beaucoup trop occupé pour s'en préocuper. Les balles finirent de pleuvoir, et elle entendit une voix qu'elle aurait préféré ne pas entendre.Fou moi la paix Néro! Cependant elle changa de position, elle ne voulait peut être pas entendre la voix, mais il lui restait assez de jugotte pour écouter le conseil. Elle voulait peut être y laisser la peau, mais encore là, elle voulait la perdre en beauté.

Elle m'avait bien dit de lui foutre la paix? Oh! Que non brunette! Le coup au ventre me fit plier en deux et couper le souffle mais je lui saisi une cheville et le cou j'ai au sol violemment de ce fait on entendit le.fracassement du crâne sur le sol.

- Pas quand tu te bat comme une merde!

Je tentais de m'acquitter du contrat sans buter ceux de l'autre bande, qui d'ailleurs ne me concernait pas, mais je ne pouvais laisser Becky se laisser taper dessus sans que je fasse rien. Je cassis le cou à un quand on me donna un coup derrière le genoux me faisant crier de douleur. Merde cet employeur devait savoir que c'était trop pour une... enfin deux personnes. Je ne pouvais faire se co trait sans en sortir avec des séquelles merde! Et elle? Si elle ne se concentrait pas un minimum elle serait morte avant la fin. L'idée que c'est peut-être se qu'elle cherchait ne me traversa même pas l'esprit une seconde.

Becky avait crié de lui foutre la paix et avait tenter d'oublier le fait que John était dans les parages. Elle tourna cependant la tête en l'entendant dire qu'elle se battait comme une merde, ce qui lui valu un joli cou à l'épaule. Grognant elle se debarassa rapidement de l'imbécile qui l'avait frapper. Lorsqu'elle entendit John crier elle prit son revolver et instinctivement tira sur l'homme près de John qui l'avait frapper. Elle réalisa alors qu'ils risquait d'y rester tout les deux et pas seulement elle si sa se poursuivait ainsi. Une dose d'adrénaline monta à cette penser en même temps que son coeur se serrait. Merde! Elle se traca un chemin jusqu'à l'homme qu'elle voulait tellement ne plus jamais revoir et se plaça près de lui. Elle reprit le combat, mais cette fois avec plus d'ardeur. Il etait hor de question qu'ils y reste tout les deux, elle c'était une chose , mais pas lui.

Comme toujours et ce depuis nombres d'années quand un tombait l'autre était la pour le relever. Enfin. .. le llus possible. Cependant orgueilleux comme je suis je refusais de me.laisser abattre par une blessure. De ce fait quand je vis Becky tuer un de MON contrat je voulais lui dire de foutre le camp. Je devais oui me.protéger et cette fois j'en ne serait pas lent. Je vis un arrivé derrière la.jeune femme et sans attendre je sortis un couteau et lui lançais en plein dans l'épaule.

- Ne prends pas de.risque inutile pour moi Becky

Becky qui n'utilisait presque jamais son revolver, elle le gardait en urgence, mais la plupart du temps elle n'y touchait pas. Par chance elle tirait régulièrement pour ne pas perdre la main. Si elle finissait par le sortir, habituellement ça voulait dire qu'ils étaient vraiment dans la merde. Elle n'avait pas trop le choix de faire équipe avec lui si elle voulait que lui s'en sorte. Elle roula des yeux pour toute réponse lorsqu'il lui dit de ne pas prendre de risque inutile. Ce demandant s'il l'avait vraiment bien regardé, des risque elle ne faisait que sa en prendre depuis un certain temps. Près de lui elle savait qu'ils seraient tous les deux mieux placé pour couvrir l'autre, ou du moins elle serait mieux placée. Revolver dans une main, elle frappait de l'autre et tirait une balle de temps en temps derrière John. Petit à petit, le nombre de personne dans le carnage diminuait, pour enfin ne laisser qu'elle et lui. Becky rangea son arme et leva les yeux vers John. Si après tous les contrats qu'elle avait exécuté elle était toujours debout, elle savait très bien qui pouvait y remédier. Elle lança un regard de défi à l'homme qui l'avait brisé. À toi maintenant. Sur quoi elle fonça droit sur lui et frappa, pas comme un entrainement, pas comme une fille ayant besoin de se défouler, non elle frappa comme s'il était sa prochaine cible.

Merde qu'elle était mule cette fille!! Cependant le mieux que je pouvais faire était justement de la garder près de moi pour oui lui sauver les fesses et venir à bout de cette bande qui se fonçait dessus et sur nous. C'était quoi ce contrat de merde d'ailleurs? J'étais suppose tuer des dealers pas une gang de rue au complet! Oui je me battais pour oui ne pas crever ici mais aussi elle. Lentement ils tombaient un à un j'étais dans un sale état. Probablement une côte fêlée, un genou en bouillie et ke ne sais combien d'éraflures et de coups qui faisait enfler un oeil ou la lèvre.

Debout le souffle court je voulu m'informer qu'est-ce qui lui prenait our être ainsi mais la simple phrase et son élan sur moi tut toute question. Hé oh la.folle! Mais à voir la fureur dans ses yeux, ce désir de me réduire en bouillie me fit comprendre que ce que j'avais fait trois semaine plus tôt était loin d'être une bonne idée. Je me défendais tout aussi férocement qu'elle. Elle s'attaquait vraiment à moi la?

Ils étaient tous tombés les uns après les autres. Becky et Jonh était les deux seuls encore debout. En piètre état oui, mais ils avaient quand même à eux deux décimé 2 gagne de rue. Couvertes de blessures, son poignet gauche probablement foulé, mais elle s'en foutait, elle ne voulait pas retourner dans l'hotel ou elle logeait, elle voulait que la colère, la rage et la douleur cesse. Elle savait qu'en affrontant John elle n'avait aucune chance, même si lui aussi était dans un piteux état. Elle combatait avec lui comme elle combatait quelques instant plus tôt contre les gars de la gagne de rue. Il combatait férocement, mais encore la se n'était pas assez pour elle. Elle voulait y rester, elle voulait qu'il finisse se que ses cibles n'avait pas reussi a faire. Aller Hunter, merde! Vas-y tu sais se que tu as à faire.

Elle se battait comme une lionne, elle se battait contre moi. Je parais les coupsais pas tous tellement j'étais amoché. Pliant sous un coup, la faisant reculer sous les miens. C'était un combat pur et dur. Elle pensait quoi la? Que j'allais la réduire en bouillie? Ok je n'avais pas été le plus gentlemen des hommes... non j'avais été le pire salopard de la terre en fait. Mais jamais je ne lui ferais mal, jamais je ne serais capable de la tuer simplement.

Après plusieurs minutes, le genou en bouillie et les mains fendues je me reculai d'elle une jambe légèrement relevée pour éviter le poids sur ma jambe. Je ramassait un de mes flingues qui était tomber quand elle m'interpella. Hunter? J'avais vraiment entendu ça? C'était son signe de provocation. Lentement je relevai mon regard vers elle. Longtemps je la regardai ne comprenant pas vraiment ce qu'elle voulait.

- Non Becky.... tu sais quel genres de gens je tue.

La tuer elle serait me tuer moi. Si je me pensais mort à l'intérieur la je le serais totalement. Des regrets j'en avais peu mais la mon plus grand regret était de la voir aussi mal devant moi. D'avoir dit ses paroles assassines trois semaines plus tôt.

Elle avait la rage au corps et plus rien à perdre. Voilà pourquoi elle voulait qu'il termine le travail. La seule chose qui lui restait il l'avait réduit en bouillie après l'avoir lui même créer. Cette petite lueur d'espoir, ce sentiment d'avoir enfin trouvé sa place l'espace d'une nuit. Il lui avait donné pour ensuite lui reprendre. Voila pourquoi elle voulait y rester, comment continuer après avoir goûter a sa en sachant qu' elle n'y aurait plus droit?

Tentant de le provoquer sans résultat, elle le regarda supliante maintenant, avant de retomber dans la fureur. Si se n'est pas toi, John, ce sera quelqu'un d'autre. Ses pas si compliquer d' appuyer sur la foutu détente... Elle était briser, en furie et... Complètement perdue.

Je savais que je n'aurais pas dû flancher cette nuit là! Mais la peur de ce rêve, la proximité de sa personne m'avait fait flancher. L'odeur de sa peau, la douceur et la brutalité mélangé. Oui elle me manquait dans ma grande maison. Tranquillement je m'étais habitué à sa présence qui apportait un peu de couleur à ma vie terne. Encore elle me demandait de la tuer avec un mélange de furie, de colère et de désespoir.

- Non Becky. Tu ne peux pas me demander ça

Je rangeai mon flingue simplement la regardant franchement une pointe de regret dans le regard. J'allai tourner les talons ramasser mes choses mais c'était mal connaître la.jeune femme ai elle me laissai aller comme ça.

Becky regarda John, tentant de le provoquer, de presque le supplier de tirer, de terminer ce qu'il avait inconsciemment commencé. Il lui avait fait voir le paradis pour ensuite la retourner en enfer et elle ne l'acceptait pas. La réponse qu'il fit ne plus pas du tout à Becky. Bouillante de rage elle retourna à l'attaque, se disant qu'il finirait par ne pas avoir le choix tôt ou tard de le faire, ou du moins rendre les coups assez fort pour lui faire perdre conscience et qu'elle ai enfin quelques instant de paix. Aller John, termine ce que tu as commencé! Tu n'as pas le droit de me laisser comme sa.

Je lui avais dit non tout simplement. Elle ne pouvais pas me demander de la buter comme ça. C'était contre mes propres règles. Malgré tout le mal que je lui avais visiblement fait, elle ne répondait à aucun "critères" pour que je la flingue. Je lui jetai un dernier regard avant d'aller ramasser mes choses clopin-clopan. Cependant elle me sauta dessus me faisant tomber avec le peu d'équilibre que j'avais.

Elle me gueulais dessus de finir ce que j'avais commencé pique au vif je me battais avec elle simplement pour lui faire entendre raison. Elle me m'était ses coups que j'encaissais en grognant comme une bête blessée... quoique je l'étais déjà pas mal. On roulais sur le sol entre les douilles et le sang et je fini au -dessus d'elle la plaquant violemment par les épaules le regard fou de rage.

-- ARRÊTE BYCK!MERDE! Tu sais que je ne le ferais pas!! Qu'est-ce qui te prends bordel?

Becky avait tout simplement perdu les pédales et avait attaqué John lorsque celui ci lui avait tourne le dos. Lui criant qu'il n'avait pas le droit de faire ce qu'il faisait. Ils roulèrent sur le sol un moment avant que John me la plaque au sol. Elle poussa un rugissement, rageuse qu'il soit incapable de l'achever, seulement la blesser. Elle ferma les yeux tentant de refouler les larmes de rage qui montait.Tu n'avais pas le droit Néro, tu ne peux pas me prendre et me rejeter comme tu le fais. Elle parla d'une voix douce, malgré la fureur qui brillait toujours dans son regard. Elle tenta de le repousser, maintenant qu'elle était certaine qu'il ne ferait pas ce qu'elle voulait, elle ne voulait plus le voir.

La plaquer aussi durement au sol rageur que j'étais avait du lui faire mal mais... c'était une femme blessée à qui j'avais fait mal. Mais elle avait rien compris. Elle n'avait rien compris. Elle ferma les yeux un moment et j'eus espoir qu'elle avait compris, qu'elle abdiquait de son plan de merde. Mais je pus vor toute la tristesse d'une femme qui a le coeur en miette dans ses yeux. Ceci me fit l'effet d'un coup de poignard direct dans le coeur. Ma colère descendit d'un coup la pression sur ses épaules relâcha mais ses phrases me firent froncer les sourcils.

- Tu n'as rien donc pas compris....

Je me relevai difficilement les sourcils toujours un peu déçu qu'elle n'ai pas compris que JE DEVAIS la tenir loin de moi.

- Après tout ce que je t'ai dit...

Encore heureux qu'elle n'ai pas pris un de mes flingues sur moi pour se donner la.mort!

L'idée de le faire elle même lui avait traversé la tête des centaines de fois pendant les 3 dernières semaines, mais elle n'avait pas été élevé ainsi. Temps qu'à mourir valait mieux que se soit en faisant son travail. Seulement en voyant John, elle n'avait pus résister, c'étant sortie à toute les fois des situations dans lesquelles elle c'était foutue. Lorsqu'il se leva elle fit de même, mais faillit retombé en entendant ses paroles. Fronçant les sourcils, elle réfléchissait à vive allure. Tu n'es pas en train de me dire que ses pour la même raison que la dernière fois lorsque tu es partie? Tu n'est pas en train de me dire que ses pour me protéger? La rage en elle jouait les montagnes russe, ne sachant plus comment prendre cette nouvelle information. Elle avait cru plein de chose, mais elle jamais seulement même été prêt de penser que ce soit ça. Ses toi qui n'as rien compris alors... Sur ce elle se leva afin de ramasser ses chose pour pouvoir fuir cet endroit le plus rapidement possible.

J'étais debout amoché mais debout. Ce me prendrais bien des semaines me remettre de mes blessures. La jeune femme se redressa suite à ce que j'avais dit. Son regard sur moi m'accusai de tout les maux de la terre. Quand elle me dit que c'était par rapport à ce que je lui avais dit, par rapport au passé je ne dis rien relevant simplement le menton. Je lui disais comment que j'étais un danger pour elle?

Elle s'apprêtait à quitter quand je vis un de ses couteaux je le ramassait et rejoignit en la prenant par le bras. Je lui remis directement dans sa main

- Un jour tu comprendras...

Et je quittai dans l'autre direction ramasser mon Je d'assaut