Il n'y a pas d'amour ni d'amitié qui croisent le chemin de notre destination sans laisser de marque pour toujours
Ft. Mégane Winter

Anthony venait de boucler une affaire. Cela avait pris beaucoup de temps à l’équipe pour trouver le coupable. Gibbs avait d’ailleurs était sur les nerfs ce qui ne facilitait absolument pas l’enquête. Malgré tout cela, ils avaient enfin arrêté le criminel est Tony était content. Maintenant c’était la partie la moins amusante du métier d’agent spécial, le rapport. DiNozzo détestait vraiment ce moment, être derrière un bureau, écrire ce n’était pas son truc. Lui préférait être sur le terrain. DiNozzo se rappelait de la première fois qu’il avait écrit un rapport, Gibbs lui avait fait recommencer plusieurs fois. DiNozzo en avait eu marre. Après toute une matinée d’écriture, DiNozzo avait fini son rapport, il l’avait imprimé et l’avait posé sur le bureau de son chef. Gibbs lui avait dit qu’il pouvait prendre le reste de la journée.

Une fois qu’il avait pris ses affaires DiNozzo sorti du bâtiment et regarda son téléphone pour voir l’heure qu’il était. Il vit aussi qu’il avait un message de Mégane, il se demandait ce qui se passait. Les deux ne s’étaient pas vus depuis longtemps à cause de leur emploi du temps. Tony lu le message et vit que la jeune femme lui donnait rendez-vous à 14h30 au parc. DiNozzo répondit au sms en lui disant qu’il la retrouverait là-bas. Le brun rangea son portable et pris la direction de sa voiture, et rentra chez lui. Une fois chez lui il prit vite fait quelques chose à manger et se changer dans des vêtements plus décontracté, en jeans,-t-shirt et sweat et des chaussures de ville.

DiNozzo regarda sa montre et vit qu’il était presque l’heure du rendez-vous. Tony prit ses clés d’appartement et son portable. Il mit un manteau et une écharpe pour ne pas attraper froid. Tony marchait tranquillement dans la rue, une fois le parc en vu il vit sa meilleure amie qui se tenait là. Il espérait qu’il ne l’avait pas fait attendre longtemps. Il s’avança avec un grand sourire sur ses lèvres.

- Bonjour !

Lui dit-il joyeusement. Puis il la prit dans ses bras.

- Comment vas-tu ?

Lui demanda-t-il en s’éloignant d’elle.

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Tony avait rendez-vous avec sa meilleure amie en début d’après-midi. Il se demandait d’ailleurs pourquoi ce rendez-vous. Cela faisait longtemps qu’ils ne s’étaient pas vus et Tony était content de la voir. Il arriva donc un peu en retard, comme à son habitude. Il prit la jeune femme dans ses bras, elle lui avait manqué. Tony la regarda avec un sourire. Il lui demanda s’il allait bien et elle lui répondit qu’elle allait bien.

- Je vais bien aussi.

Lui répondit-il toujours avec le sourire. Après ce petit échange la jeune femme proposa à Tony de se balader dans le parc. Le brun fronça légèrement les sourcils, c’était pas vraiment son habitude, mais l’agent hocha la tête.

- Bien sûr avec plaisir. Ca va faire du bien de marcher un peu.

Lui dit-il avec un sourire.

- Alors quoi de neuf depuis tout ce temps ?

Lui demanda-t-il ?

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Tony était vraiment content de voir Mégane, cela faisait un long moment qu’ils ne s’étaient pas vus. Le brun adorait la jeune femme et aimait sortir avec elle. Il passait toujours de bons moments avec elle. Quand la jeune femme lui reprocha gentiment qu’il ne l’avait pas appelé, le brun lui fit un regard d’indignation.

- Comment ça c’est de ma faute ? Toi aussi tu pouvais me mettre un message et me demander des nouvelles. On n’est pas tous là à se la couler douce. Tu sais très bien que je n’ai pas beaucoup de temps à moi avec le travail, puis en plus avec la fête de fin d’années.

Dit-il en la taquinant. Même s’il savait qu’elle bossait pas mal elle aussi. Tous les deux avaient un métier très prenant et ils avaient souvent des horaires qui n’étaient pas fixe.

Les deux jeunes gens commencèrent à marcher tranquillement, il faisait frais et Tony mis ses mains dans les poches de son pantalon. Le brun avait demandé à sa meilleure amie ce qu’il y avait de nouveau dans sa vie. Tout en écoutant Mégane, Tony la regarda et ne comprenait pas trop ce qu’elle voulait dire par là. Qu’es-ce qui pouvait bien lui arriver. C’est quand elle ouvrit son manteau qu’il comprit aussitôt qu’elle était enceinte.

- Tu es enceinte !!

Lui dit-il tout excité. Avant de la prendre dans ses bras en faisant attention à son ventre.

- Wooow, toutes mes félicitations à toi et au papa ! Un ou une petite Winters, au secours !

Dit-il en rigolant.

- Tu es enceinte de combien de mois ? Comment à réagit Mac ? C’est une fille ou un garçon ?

L’agent commença à lui poser des questions.

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Tony la regarda en levant un sourcil.

- Mais comme tu es la femme et que les femmes n’oublient jamais rien et appelle toujours pour ne rien dire la plus part du temps, c’était a toi de venir vers moi et de prendre de mes nouvelles.

Dit-il avec un grand sourire.

- Ca n’aurait pas dû tout fait la « femme collante et harcelante » Tu es ma meilleure amie tu as bien le droit de prendre de mes nouvelles. Puis si je t’envoie trop de message Mac va penser que je te drague et après il va me jeter en prison et tu sais très bien que je ne supporterai pas la prison.

Dit-il en essayant d’être le plus sérieux possible.

Tony ne s’attendait absolument pas à ce que Mégane lui montre qu’elle était enceinte. D’ailleurs l’agent spécial était vraiment content pour elle. Il savait que la jeune femme ferait une excellente mère et que Mac ferait un excellent père. Le petit allait avoir de la chance d’avoir deux parents comme eux. DiNozzo l’enlaça quand il apprit la nouvelle.

- Je suis vraiment content pour vous. Vous n’avez pas trainer pour en faire un, félicitation. Oh pardon un ou une petite Taylor. Je veux être le parrain ! Je vais lui apprendre pleins de choses magnifique. Tu verras ton enfant sera en sécurité avec moi.

Dit-il avec un grand sourire. Après cela Tony s’était mis à lui poser des questions. Déformation professionnel.

- 5 mois. Woow, la date de l’accouchement se rapproche de plus en plus. Ça va tu ne stress pas trop ? Mac sera un bon papa, j’en suis sûre et puis s’il ne l’ai pas je lui en toucherai deux mots. Tu ne veux pas savoir si tu auras un garçon ou une fille ? Mais comment vous allez pouvoir décorer la chambre du petit si vous ne savez pas.

Demanda-t-il.

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DiNozzo regarda la jeune femme en rigolant doucement.

- Tu es sérieuse ? Et le « L’égalité entre homme et la femme » vous en faites quoi ? Vous sortez ça que quand ça vous arrange ? Donc non je le répète tu pouvais aussi m’appeler. Et tu connais mon emploi du temps. Gibbs me laisse même pas limite aller au toilette.

Dit le brun avec un léger sourire. Après tout c’est vrai elle pouvait l’appeler aussi. Il aimait bien recevoir ses appels.

- Je pense que nous pouvons argumenter pendant un moment, mais pourquoi gâché cette petite sortie. Profitons un peu pour parler et s’amuser.

Dit DiNozzo. En entendant que la jeune femme parlait de deux blondes plutôt belle l’agent spécial leva la tête.

- Ah la discussion devient intéressante. Deux bombes blondes ? Rappelle-moi où il travaille, ou alors tu penses qu’il pourrait me les présenter ? Non plus sérieusement, ne soit pas jalouse, Mac n’a d’yeux que pour toi et tu le sais bien.

Le brun voulait rassurer son amie. Il savait très bien que Mac n’irait pas voir ailleurs.

- Et puis s’il fait une connerie ou s’il te fait du mal je m’occupe personnellement de lui.

Dit-il. Après la jeune femme lui dit qu’elle était enceinte. DiNozzo fut vraiment très content pour elle. Elle allait faire une merveilleuse maman. Puis il écouta la jeune femme parler.

- Je reconnais qu’il fallait que vous fassiez un enfant rapidement. Quoi ? Tu ne veux pas que je sois le parrain ? Tu me blesses la.. Je pourrais lui apprendre un tas de choses super.

Dit-il en la regardant tristement.

- Non tu n’as aucun raison de stresser, tout va bien se passer. Puis vous serez de magnifique parent, cet enfant sera pourri gâté donc tout va bien. Un enfant c’est déjà beaucoup de travail alors imagine deux comment ça doit être. Vous avez déjà pensé au nom que vous allez lui donner.

Demanda Tony.

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Le brun sourit.

- Non, non, je reste sur ma position aussi. Tu aurais pu m’appeler, je ne dois pas toujours être le premier à faire le premier pas. Tu vas te croire trop importante après.

Lança-t-il en la taquinant un peu.

- Au moins nous sommes d’accord au moins sur une chose c’est que nous ne changerons pas d’avis. Alors là pour Gibbs, c’est toi qui lui dis. Si tu as des envies de suicides vas-y je t’en prie dit lui. Je t’aimais bien.

Sourit-il.

- Ah nous parlons ? Je pensais que nous étions en train d’argumenter.

Dit-il toujours avec un sourire taquin.

- Quand elles me verront elles changeront vite d’avis je pense.

Dit l’agent sûr de lui.

- Je suis d’accord avec toi, c’est beau et très rare aussi. Ils méritent le bonheur. Oui tu as le droit d’être jalouse, mais tu sais très bien que Mac n’a d’yeux que pour toi. Encore plus maintenant que tu es enceinte donc ne t’inquiète pas.
Le brun voulait rassurer son amie.

- S’il fait une connerie il aura affaire a moi.

Le brun bouda.

- Je sais que je ne suis pas le seul sur la liste, mais tiens moi au courant. Ca me ferait vraiment plaisir.

Sourit-il.

- Des jumeaux ? Ca fait deux fois plus de travail. Et oui ça doit vraiment être catastrophique. Peut-être par magie tu seras la première a en avoir. Lucy Taylor ? Ca sonne pas mal. Pour le garçon je propose Anthony ou Tony. Ce sont deux très bons prénoms.

Dit le brun en souriant.

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Tony sourit, aucuns des deux n’allaient plier et changer d’avis.

- Bien tu sais quoi ? Nous sommes en faute tout les deux. Ha Ha Ha je ne me crois pas important. Je suis juste inoubliable voilà tout.

Dit t’il avec un grand sourire avant de rire quand la jeune femme lui dit qu’ils étaient deux têtes de mules. Il ne pouvait qu’être d’accord avec ça.

- Je me souviens très bien que tu étais sa compagne, ne t’inquiète pas pour ça. Pas besoin de me le rappeler. Tu connais le « doux » Gibbs, il y a le « Féroce » Gibbs aussi.

Dit-il sérieusement.

- Qui est le gamin maintenant? Et ta langue est pas belle.

Sourit-il.

- Je pense que tu dois revoir la définition de parler mademoiselle!

Lui dit-il en faisant un clin d’oeil.

- Je ne suis pas prétentieux. Je dis juste la vérité que ça plaise ou non. Alors la tu me fait tellement de peine en disant ça. Et moi qui pensais que je te faisais craquer.

Il fit semblant d’être triste.

- Cela n’empêche rien au fait que tu peux être jalouse, mais il y a pas de quoi l’être. Tu ne risque rien.

Lui dit-il pour la rassurer.

- Ecrire une lettre de candidature, carrément ? A la question « pourquoi on doit te choisir » c’est tellement évidement pourquoi ça serait moi et pas un autre. Mais s’il le faut, faisons ça dans les règles, je vais écrire une lettre et je te la donnerais.

Sourit-il.

- Un c’est bien aussi, c’est beaucoup de travail. Lucy c’est pas mal. Mac Taylor Jr, pauvre enfant. Non il lui faut un nom cool. Non pas que Mac est pas cool.

Dit-il rapidement.

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Il se mit a rire. 


- Ah ? Je ne pense pas que ça soit plus grave, c’est peut être à la même hauteur. Modestie ? Elle est italienne ton amie ? Si elle est belle je veux bien la rencontrer.



Dit-il en rigolant, il savait très bien ce qu’elle voulait dire, mais c’était plus fort que lui de la taquiner. Peut être un jour DiNozzo sera modeste, mais ce n’est pas pour aujourd’hui.

- Tu sais très bien que je n’oublie rien, surtout pas que tu sois sorti avec McGeek. Je ne sais pas ce que tu trouvais au bleu. Mais bon tout les goût sont dans la nature.

Tony sourit quand la jeune femme lui dit qu’elle connaissait Gibbs et qu’elle ne l’aimait pas.

- Crois moi vous êtes pas mal a ne pas l’aimer.

Dit-il en souriant.

- Je n’allais pas dire gamine vu que je parlais pour moi aussi. Non elle est pas belle!

Il fit un clin d’oeil.

- Ah tu la connais ? Je vais peut être pouvoir faire quelque chose de toi alors. 



Dit-il en plaisantant.

- Aww désolé, mais toi et moi je ne pense pas que ça aurait collé. Tu imagines si on avait été ensemble?

Il se mit a rire doucement.

-Comme on dit jamais deux sans trois, mais je pense que ça n’arrivera pas. Mac t’aime et votre couple va durer longtemps. J’en suis sûr. Et puis tu sais que je ne me trompe jamais quand je dis quelque chose.

Ce vante-t-il.

- Je l’écris dans la semaine et je l’envoi. Tu n’auras jamais vu une lettre aussi parfaite que la mienne.

Dit-il fière de lui.

- C’est pas que c’est pas cool, mais y’a déjà un Mac. Faut changer un peu. Y’a pleins de noms. 



Sourit-il.

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DiNozzo se mit à rire quand la jeune femme lui dit qu’elle saurait lui remettre les idées en place. Ca il le savait, mais ce n’est pas pour maintenant que Tony aller être modeste. Peut être un jour qui sait.

- J’ai vraiment hâte de la rencontrer alors. Ca promet de belle discussion.

Il lui fit un clin d’oeil. Le Brun redevient sérieux quand Mégane et lui parlèrent de Tim McGee. DiNozzo aimait le jeune homme comme collègue et ami, mais il n’avait jamais compris se que Mégane pouvait trouver d’attrayant chez lui. C’était un grand mystère. Tony ne pu s’empêcher de retenir un rire en entend Ménage citer ce qu’elle trouvait de bien chez lui. 


- Bon gentil, je suis d’accord. Beau… Beau et le bleu ne vont pas dans la même phrase. Adorable… Oui des fois ça lui arrive. Et le « pratiquement parfait » non là c’est pas possible. Il a peur de Gibbs, il bafouille quand il est stressé. Tu as dû confondre avec moi pour ça.

Lui dit-il. DiNozzo n’en croyait pas ses oreilles quand elle lui avait d’il qu’il était presque parfait. Il est tout sauf parfait.

- Peut être qu’un jour il changera de caractère. Non je ne suis pas pire qu’un gamin. Et puis c’est celui qui le dit qu’il l’est. 



Oui bon okay, là ça faisait gamin.

- C’est vrai je reconnais qu’il y a une certaine intelligence en toi. Ce que j’admire vraiment.

DiNozzo hocha la tête quand elle se mit à côté de lui et lui dit qu’il aurait été chou. Il mit son bras autour de ses épaules.

- C’est vrai qu’on aurait été bien tout les deux. Viens, partons loin d’ici rien que toi et moi.

Dit-il avec un grand sourire. Bien sur qu’il ne le ferait pas, il savait qu’elle était heureuse avec Mac est c’était tout ce qui comptait.

- Ravi d’entendre que vous vous aimez. Tu sais très bien que l’âge ne veut rien dire. Ce qui compte c’est que vous vous aimiez et que vous soyez heureux. C’est tout ce qui compte. Comme quoi on fini toujours par trouver l’amour un jour ou l’autre. 



Lui dit-il en souriant. 



- Ne t’inquiète pas pour mes chevilles, elles vont très bien. Elles sont parfaite.

Répondit le brun en souriant.

- C’est pas bête comme idée, je vais faire ça. Je vais l’adresser à Monsieur Mac Taylor, c’est lui qui doit la lire. Enfin je veux dire, je sais que tu es pour que je sois le parrain donc c’est Mac qui doit encore dire oui.

Sourit-il.

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Tony se mit à rire.

- Un gros challenge ? En même temps je suis un DiNozzo est tu sais que nous ne faisons rien comme les autres. Donc ouais elle aura du fil a retordre avec moi. Ca peut être très amusant.

Sourit-il.

Le Brun hocha la tête quand elle lui dit que lui le trouvait pas parfait. Bien sur que Tim n’était pas parfait. Mais bon Tony aimait quand même son collègue. Tout ce qu’il peut dire sur lui c’est juste pour le taquiner, même si des fois il y va un peu fort.

- Il est pas parfait, rien que le fait de voir son appartement tu vois qu’il est bizarre. Mais c’est bien si tu le trouve parfait. Je suis d’accord sur le fait que nous ne pouvons pas aimer tout le monde, c’est bien vrai.

Tony sourit quand elle dit que tout le monde avait peur de Gibbs. C’est vrai que le vieux marin faisait peur parfois.

- Pour Gibbs c’est juste que parfois il fait légèrement peur et je comprends bien Tim et les autres d’avoir peur. Mais sous cette brute sans coeur ce cache un petit être sensible.

Tony rigola quand elle lui dit que son « c’est celui qui dit qui est » faisait gamin. Elle avait raison, mais il avait trouvé ça marrant à dire.

- Nous avons tous une part d’enfant en nous tu sais. 



Lui dit-il sérieusement.


- Un peu d’intelligence ou alors être passé sous le bureau. Ce qui peut aider grandement aussi. Enfin je ne remets absolument pas en cause ton intelligence bien entendu. 


Il hocha la tête.

- Bien sûr, peut importe je l’élèverai comme le mien.

Sourit-il. Bien sûr qu’il ne partirait pas avec elle ni rien. Elle était bien où elle était dans les bras de Mac.

- Un accident est vite arrivé tu sais. Y’en a qui ne voulait pas d’enfant avec une personne et hop elles en ont eu un. Mais je sais très bien que tu voulais un enfant avec lui.Ton enfant ne pourrait pas rêver mieux comme père.

Lui dit-il sincèrement.

- Moi prétentieux ? Jamais, c’est pas possible.

Il lui fit un clin d’oeil.

- Ni pour ni contre ? Tu peux être un peu plus de mon côté quand même. On voit l’amitié..

Il sourit.