Mais quelle phrase de merde! Ok je lui avais dit mais je DEVAIS ABSOLUMENT le lui rappeler? Oui je me sentais mal, honteux car à cause de moi elle se trouvait en miettes. Jamais ils ne l'auraient eu si j'avais agi en homme responsable. Je ne savais pas comment agir avec elle... enfin une femme. D'habitude s'il y avait des femmes c'était des aventures d'un soir ou je leur demandais de quitter après. Mais là difficile, Becky restait avec moi et étrangement LÀ je ne voulais plus qu'elle parte. Hors de question que je l'éloigne de moi, surtout si c'est pour la retrouver ainsi. Me passant une langue sur les lèvres je gardais le regard sur elle vraiment mélangé dans ce que je pouvais ressentir.

- Ouais... je sais je m'excuse

Pour la première fois depuis des années je venais de lui dire "je m'excuse" et vraiment parce que je pense que je lui devais avec la phrase de merde que je venais de lui balancer. Quand elle tenta de se lever j'avançai d'un pas et quand son regard se leva sur moi je compris que LÀ elle avait ses esprit, les effets de la drogue étant dissipé... du moins je l'espérais. Je l'aidai à se lever quand elle me dit qu'elle voulait vraiment voir mes côtes et me soigner.

- Non ça va je te....

En voyant son regard je ne dis rien et soupirai longuement. Elle ne me lâcherai pas donc sans rien dire je la pris pour éviter qu'elle marche sur sa cheville cassée et la réinstallai dans le divan lui approchant la table de salon. J'allai à la cuisine chercher jus et quelques victuailles le temps que je sois dans la douche. Encore une chose inhabituelle dans mon cas: Défaire mon ordre presque maniaque pour elle. enfin pour au moins elle soit bien. Sans un mot ni un regard je retournai à la salle de bain. En refermant la porte, la main sur la poignée je poussai un soupir en fermant les yeux. Ça bougeait trop dans ma tête je devais prendre du recul, prendre conscience de ce qui c'était passé. En ouvrant les yeux je vis l'amas de lambeaux à côtés du bain.

- Merde. dis-je tout bas.

Je me déshabillai et entrai dans la douche. Je ne sais combien de temps je restai immobile sous les jets chauds. Je me lavais lentement car blessé, faible et surtout en manque de sommeil je n'étais pas le plus rapide. Après une trentaine de minutes je fermai l'eau et me séchai. Je pris les lambeaux les mis dans le sac poubelle et le fermai. Je remis seulement mon pantalons de pyjama et sortit non sans avoir été balancé le sac dans le garage. Je revins au salon et fouillai dans le sac que le soigneur m'avait donné et vit un grand bandage élastique.

- Bon madame l'infirmière. Tu devrais avoir tout. Mais je te dis que ça va.

Becky releva rapidement le regard sur John lorsqu’elle l’entendit s’excuser. Elle fouilla son regard, le monologue qu’il lui avait fait plus tôt lui revenant en tête. Elle fronça les sourcils et après une vaine tentative de se relever demanda l’aide de John. Il tenta de s’échapper des soins de Becky, mais elle lui sortit son regard de princesse auquel pour une fois il céda. Lorsqu’il déplaça la table et lui apportait à manger et à boire, elle le fixa surprise, mais il fila sous la douche.

Elle profita de ce moment seule pour réfléchir à cette journée plus qu’étrange. Lentement, elle se repassa la journée. Lorsqu’elle arriva au moment où John répondait à ses questions, elle réalisa ce qui lui avait tiqué à l’oreille. Ajouter au comportement qu’il avait eu dans la journée et qu’elle avait trouvé étrange… Elle se trouvait stupide d’avoir été autant à côté de la plaque. Elle se creusait maintenant les méninges pour faire revenir le sujet. Elle repensa aussi à la conversation avec son père et se promit de le rappeler et le plus tôt serait le mieux selon elle.

Elle sourit en le voyant revenir avec le nécessaire. Elle se poussa comme elle put pour qu’il s’installe dos à elle afin de l’examiner et de lui faire le bandage. Elle passa doucement ses doigts sur chacune de ses côtes jusqu’à ce qu’elle touche celle cassé. Ses doigts se firent alors plus doux ne voulant pas faire plus de mal à John. Au moins elle n’a pas cassé de façon à te perforer un poumon. Elle profita du fait qu’il soit dos à elle, et pendant qu’elle lui faisait le bandage elle lui posa la question qui lui trottait dans la tête depuis ses réflexions. John, peux-tu me redire pourquoi je suis ici, je crois que lorsque tu l’as expliqué j’ai mal comprit. Elle espérait ainsi ramener le sujet, mais n'avait pas grand espoir en ce qui était de la coopération de John.

Quand je revins avec l'attirail, elle se redressa du mieux qu'elle pu et je m'assied dos à elle tentant de comprendre encore ce qui se passait en moi. Ses doigts effleurèrent mes côtes et je grimaçaI quand elle toucha celle sensible. J'avais même tresailli la douleur me vrillant le côté. C'est gestes se firent plus doux me rappelant une certaine nuit qui me semblait à des années lumières d'aujourd'hui.

- Alors j'ai été chanceux.

Quand elle commença le bandage je l'aidai ses petites mains tentant de faire le tour de mon torse. Quand elle me demanda une nouvelle fois pourquoi elle était ici prétextant qu'elle avait mal compris, je me figeai. Pendant de longues minutes je ne dis rien. Avait-elle vraiment mal compris ou c'était encore une tentative de me faire parler? Elle continua de faire le bandage pendant que je jonglais encore..

- Pourquoi tu me demande ça Lutine?

Je tournai la tête vers elle, enfin comme je le pus et captais son regard. Je pourrais lui dire mais j'étais certain qu'elle avait compris.

- Tu as bien compris.

Je tournai la tête vers l'avant sans rien dire de plus. J'étais tellement à bout de forces que je ne voulais pas me lancer une nouvelle fois dans une explication.

Tout en faisant le bandage, elle avait posé la question dont elle pensait connaitre la réponse. Elle espérait le faire parler un peu, le faire exprimer clairement quelque chose. Lorsqu'il fini par lui demander pourquoi elle demandait, elle releva le regard en le voyant bouger et ne pu soutenir son regard bien longtemps. Alors qu'un peu d'espoir s'installa en elle, il fut accompagné de deux image qui lui fit froncer les sourcils. Elle le revoyait partir, le regard froid, et lorsqu'il lui avait dit que c'était une erreur et qu'il lui demandait si elle avait besoin d'aide pour faire ses sacs. Elle savait la raison qui l'avait poussé à agir ainsi, mais est ce que sa allait la reprendre. Elle espéra qu'il avait comprit cette fois. Elle termina le bandage dans ses réflexions. Montre moi ton sourcil maintenant, et ne tente pas de t'en sauver, tu vas te faire mal aux cotes de toute façon en levant les bras pour te soigner. Elle lui avait lancé ça d'un ton presque amusé, sachant qu'il aurait certainement voulu le faire lui même. Le soignait l'occupait et l'obligeais à mettre sa douleur de côté, chose qu'elle aimait bien. La drogue qu'ils lui avait donnée la bas avait fait en sorte que Becky se rappelle ce que c'était être dans la brume et elle devait avouer qu'elle ne détesterait pas avoir une dose pour ne plus avoir mal. Secouant la tête elle regarda John et décida de poser sa question. Donc si je comprends bien, tu veux me garder près de toi? Elle avait posé sa question lourde de sens d'un ton qu'elle voulait léger. Je veux être certaine de bien comprendre cette fois. Plus de départ, plus de je te repousse, plus d'erreur, juste nous deux qui laissons les choses aller? Son cœur battait la chamade alors qu'elle regardait les yeux de John, cherchant la vérité cette fois.

J'aimais pas m'ouvrir. De toute façon on m'avait jamais vraiment appris. Mon père qui avait vendu de la drogue et qui se faisait prendre au 6 mois m'avait donner quelques conseils pour survivre dans ce monde de brute. Cache ce que tu ressens sinon ça deviens une arme pour les autres, fait profil-bas, parle peu observe beaucoup et surtout ne fais confiance à personne tu ne sais pas qui te trahira. Cependant la loyauté je l'avais appris. Avec le père de Becky entre autre. Une collaboration et un profond respect nous unissaient simplement par la femme qui me soignait.

Quand je répondis la jeune femme devint étrangement silencieuse mais bon... je me plaignais pas vraiment j'avais besoin de calme. Je voulais me soigner seul mais l'entaille au sourcils aurait demandé des exploits de soigneur alors dans un soupir je me tournai face à elle en fermant les yeux pour qu'elle examiné la plaie. Quand elle me dis que je voulais qu'elle reste. Aussitôt mes yeux s'ouvrirent et je plantai mon regard dans le sien. Mais qu'est-ce qu'elle ne comprenait pas? D'ailleurs elle repris en me remettant sur le nez mes départs, et le fait que je la repoussais. Un éclat d'irritation passa dans mon regard. Elle s'attendait à quoi la? Que je sois un romantique cucul?

- Qu'est-ce que tu comprends pas Becky?

Irrité je me saisi de son visage oubliant ma douleur et ses bleus et plaquai mes lèvres sur les siennes. Je l'embrassait peut-être un peu sauvagement mais quand je la lâchai je plantai mon regard dans le sien agacé.

- Là c'est clair?

Lorsque Becky vit l'irritation dans le regards de John, elle regretta d'avoir parler. Elle avait encore tenté de le forcer à parler. Cependant d'un autre côté il commençait à lui faire un peut peur à être aussi gentil. Elle c'était habitué à son côté grognon et qu'il fasse preuve de petit geste gentils parfois était super, mais le voir aussi gentil était... étrange. Au moins la il revenait à la normal. Il la surpris à nouveau en lui saisissant le visage et en plaquant ses lèvres au siennes. Lorsqu'il planta son regard dans le sien demandant si cette fois elle avait compris, Becky ne put s'empêcher de lui faire un demi sourire, et de répondre d'un ton mi rieur. Je ne suis pas certaine, peut tu me redire ça? Petit éclaire de l'ancienne Becky, celle qui riait et blaguait constamment, celle qui n'avait jamais connue la douleur. Elle fini par redevenir sérieuse et retourna au sourcil de John.

Replongeant dans ses réflexion elle repensa à son père et à ce qu'elle lui avait dit plutôt. Elle s'en voulait de lui en avoir autant dit, elle devait corriger le tir, le rappeler et le rassurer, et au temps qu'elle avait mis avant de le rappeler, elle devrait probablement parler au club complet pour les calmer. Il y avait aussi le visage qu'elle avait devant elle. Il avait prit soin d'elle toute la nuit, il avait veillé sur elle sans se préoccuper de lui, et maintenant il semblait sur le point de tomber. Elle termina de soigner sa blessure puis sa main alla caresser sa joue. Va dormir John, ça va aller pour moi maintenant, si tu peux juste me laisser ton téléphone que je rappelle mon père... Lui dire que tout allait bien n'était pas réellement vrai, mais pour l'instant elle semblait aller mieux que lui. Elle tentait d'ignorer la douleur que plusieurs blessures lui procurait, mais plus le temps avançait, plus la douleur augmentait. Pour l'instant cependant elle pensait plus aux deux hommes qu'elle aimaient qu'à elle même.

Elle me gonflait sérieusemen! Ok je suis claqué mais pas con quand même! Je n'allais certaines pas faire étalage de mes sentiments ici et surtout tout dire. Bon ok je n'étais pas comme ça a la base non plus c'est pourquoi j'ai plaqué mes lèvres sur les siennes. Je perdais presque le souffle. Juste ce contact qui dura au plus deux minutes servit à me certifier qu'elle me manquait. Cependant son sourire et l'étincelle dans ses yeux suffit à me garder les yeux dans les siens. Je finis par fermer les yeux et la laisser faire. Ses mains pouvaient être là douceur même où la rage.

Elle termina de me recoudre et en ouvrant les yeux elle posa sa main sur ma joue et me dit d'aller dormir qu'elle allait bien. J'étais presque soulagé en fait qu'ellequ'elle le dise je tombais totalement. Je me levai quand elle me demanda mon téléphone que je lui tendis.

- Au sur ta de ou il tu lui a dit ce que tu avais.... ça m'étonne qu'ils ne soient pas encore à cogner à ma porte.

Je montai me chercher une couverture et deux oreillers et lui en donnai une. Je m'étendis sur l'autre canapé et je pense que je tombais directement dans le sommeil.

Lorsque son père décrocha le téléphone, elle su immédiatement aux voix derrière lui qu'elle appelait juste à temps. Ils devaient être sur le point de partir pour venir la chercher. Elle commença par s'excuser à son père, lui expliquant qu'elle n'était pas tout à fait elle même lors de leur conversation. Puis elle lui demanda de la mettre sur haut parleur. et roulant des yeux, fit ce qu'elle avait à faire pour éviter une guerre entre sa famille et l'homme qu'elle aimait, elle commença par prendre son petit ton de princesse. Coucou mes oncles adorés, je vais bien ne vous inquiétez pas, désoler de ce que j'ai pu dire je n'était pas réellement moi même. Elle écouta se qu'ils lui disaient, fronçant de plus en plus les sourcils sur ce qu'elle entendait. Elle poussa un soupire puis changea de ton, prenant cette fois celui de la princesse de Waco, mais en essayant de ne pas parler trop fort. STOP! Il est hors de question que vous faisiez quoi que ce soit. Je suis bien ici et je ne reviendrai pas, et croyez moi si vous ramenez vos fesses ici pour faire quoi que ce soit contre lui, vous n'avez même pas idée de l'enfer que je vais vous faire vivre... N'oubliez pas que c'est lui qui m'à sortie de là, alors que je m'y était mis moi même. Elle poussa un soupire et repris un ton calme et doux, jetant un coup d'œil à John qui semblait endormi. Si vous lui faites du mal, ses à moi que vous en ferez, vous comprenez? ... Oui papa, je l'aime. ... Non, il ne m'a jamais fait de mal, et il ne m'en fera jamais, croyez moi. ... Oui, je vous avise s'il y a quoi que ce soit et je vous donnes des nouvelles souvent. ... Je vous aimes très fort aussi. Elle raccrocha enfin en soupirant et posa sa tête sur son oreiller.

Elle mit un certain temps à s'endormir repassant dans sa tête cette journée étrange. Elle ne sut pas exactement combien de temps elle dormit paisiblement, mais au bout d'un certain temps les rêves commencèrent à arrivés par vagues accompagné de douleur ne moins en moins supportables, rendant son sommeille agité.

Je m'étais tourner dos à Becky sombrant dans un sommeil que j'espérais réparateur. À peine les yeux fermés que J'entendais la jeune femme parlerais en fait ce n'était que des bribes que je n'enregistrais pas vraiment. Son "stop" me fit ouvrir un oeil en me tournant légèrement mais épuisé comme j'étais je retombai dans le sommeil immédiatement.

La matinée s'écoula lentement ainsi que lapres-midi. J'étais roulé en boule sous la couverture mais ce fut des bruits qui me dérangeais. Je battis des cils cherchant d'où venait le bruit. Je réalisai que c'était la jeune femme qui gémissait et parlait dans son sommeil. Je me redressai difficilement en tapotant le bras doucement.

- Hé, ça va Lutine. Tu es en sécurité là.

Mais les bruits ne cessèrent pas pour autant alors je fini par me lever et aller à la salle de bain. Bon si je veux qu'elle dorme un peu. J'allai la réveillé doucement surtout pour éviter qu'elle aggrave sea blessures.

- Becky? Hé reveille-toI. Tiens des anti-douleurs. Ça va t'aider.

Je pris un verre ou il y avait un vestige de jus et lui tendit

Becky avait tout d'abord dormit d'un sommeille paisible, mais les rêves avaient fini par la gagner, et avec eux étaient arrivé la douleur. Elle rêvait du sourire sadique du chef de la bande qui l'avait torturer, des gars tournent autour d'elle, s'amusant à déchirer ses vêtements histoire d'avoir une meilleur vue et plus de peau à torturer. De son père et du club voulant la peau de John. Puis son imagination embarqua, comme si la réalité n'était pas assez effrayante. Elle était à nouveau ligoté et blessée, cependant à son réveil elle voyait sa famille encerclant John et voulant l'exécuter. Elle voulait hurler, mais n'arrivait à rien. Son père hurlait à John que tout était ca faute et que sa princesse était morte à cause de lui. Elle tentait de bouger de crier afin de leur faire comprendre qu'elle était encore vivante, mais rien ne sortait. Puis comme ils l'exécutait, elle ouvrit les yeux sur un John bien vivant.

Le soupire de soulagement qu'elle lâchât se termina en gémissement lorsque la douleur la frappa cette fois de plein fouet. Il n'y avait vraiment plus aucune trace de drogue maintenant et ;a douleur en profitait pleinement. Elle regarda ensuite les anti-douleurs avec un mélange de soulagement et de crainte. Elle se connaissait assez bien pour savoir qu'elle devenait vite accroc à ce genre de médicaments, mais d'un autre côté elle ne tiendrait pas longtemps avec cette douleur. Elle céda donc facilement, trop facilement peut être, ce disant qu'elle gèrerait le moment venue. Après avoir avaler les pilules elle regarda John. Désolé de t'avoir réveillé. Elle tentait d'oublier ce qu'elle avait vu dans son rêve, mais repensa à la conversation avec son père et le club. Ils avaient fini par céder à ses demandes, comme d'habitude. Lui laissant même un message pour John. Au fait le club te remercie de prendre soin de leur princesse. Elle avait dit le dernier mot en grimassent. Lorsque John l'avait appeler ainsi un peut plus tôt, elle avait eux plusieurs émotions en même temps face à se surnom, mais par le club c'était totalement autre chose.

- Ça va t'inquiète. Allez.

Je me doutais que de lui donner des cachets pour la douleur était peut-être la tenter sur une ancienne vie qu'elle avait quittée mais je ne pouvais pas la laisser souffrir ainsi non plus j'étais froid mais pas totalement sans-coeur non plus. Mais comme elle savait que je n'endurais aucune drogue quelques formes que se soit, je savais qu'elle reprendrait sa vie en main quand elle irait mieux. Elle redeviendrait cette femme folle d'entraînement, celle qui me confrnnjnjhonté et qui me tiens tête. Oui j'avais confiance en elle.

Elle me fit hausser un sourcil quand je la vis grimacer au mot princesse. Qu'est-ce qui c'était passé pour qu'elle l'ai autant en horreur présentement.

- Qu'est-ce qui c'est passé pour tu n'aime pas qu'on t'appelle Princesse?

Lorsque John posa sa question, Becky baissa les yeux en frissonnant. Les souvenir revenant. Sans vraiment s'en rendre compte, elle marmonna. Désolé princesse, mais sa risque de faire mal. Elle ravala ce que se souvenir lui procurait et releva le regard le plantant dans celui de John. Il m'appelait princesse... Elle avala difficilement sa salive en se rappelant cet homme abjecte. Il ne l'avait pas que torturé physiquement, sans le savoir il lui avait laissé une belle cicatrice psychologique, au nombre de personne qui l'appelait ainsi, elle devrait trouver un moyen de ne pas souffrir à chaque fois qu'elle l'entendait. Il a trouvé le moyen de me faire du mal psychologiquement, et ne ses pas gêné pour le faire. Tout le monde ou presque m'appelle comme ça, pour des raisons et à des occasions différentes, mais il n'en est pas moins que se surnom revient toujours pour moi. Il ne m'a pas qu'atteint physiquement et ses se qui m'énerve le plus. Elle ressentait le besoin de hurler, de raconter tous se dont elle se souvenait, de se défouler et d'oublier une fois pour toute, mais elle ne voulait pas faire subir ça à John, aussi respira t-elle profondément et se força à sourire. Mais bon, je suis solide, je vais m'en remettre et tout reviendra à la normal.

Assis à ses côtés elle me marmonna un phrase que j'entendis en fronçant les sourcils. N'osant pas comprendre qu'ils avaient utiliser ça comme torture. Malheureusement pour moi elle me le confirma. Je sentis l'air quitter mes poumons en même temps qu'une vague de colère minter en moi. OuI même amoché j'arrivais à me foutre en rogne.

- Les salopards de...

M'emporter ne me servirais à rien puis bon... il étaient morts alors plus besoin de m'inquiéter. Elle m'expliqua justement que ce connard l'utilisait avec plaisir. Pour lui faire mal physiquement en la torturant psychologiquement. J'étais agacé moi je l'utilisais pour la.provoquer pour son entraînement ou... enfin une certaine nuit pour démontrer tout mon affection pour elle. Maintenant c'était fini. Ça ne la torturait pas qu'elle mais moi aussi. Je ne savais pas quoi faire mais j'avais cette colère qui grondait en moi, qui vibrait et qui ne demandait qu'à sortir mais avec une cote cassée... Cependant elle coupa court à mes sombres pensées en me disant qu'elle irait mieux, celle d'avant.

- Oui bien en attendant tu dois guérir. Ensuite tu pourras te défouler.

Je la réinstallai confortablement en remontant ça couverture. Je restai un moment immobile voulant lui dire que si elle voulait elle ouvrit me parler mais je me co tentai simplement de retourner sur mon propre canapé et tentaient et de dormir. Cependant je n'y arrivais pas. Elle tomba avant que moi. En fait j'étais totalement éveillé. Je n'étais pas stupide il devait dire ça juste avant de la torturer, la blesser... merde!

Je fini par me lever et aller à la cuisine et préparer un truc solide à manger et tiens pourquoi pas un café simplement pour la chaleur que ça pouvait procurer? J'étais loin dans mes pensées fouettant avec vigueur ou coupant avec colère. Ils l'avaient brisé, ils me l'avaient détruite. Je devais la ramener, la sortir de cette tempête. Bon la elle était trop fragile mais si elle se complaisait dans cet état je devrais la fouetter.

Je jetais un oeil une fois de temps en temps et se fut quand je vis une jambe dépasser de la couverture que jejee rendit compte qu'elle n'avait pas ses vêtements. Je poussai un soupir en fermant les yeux. Merde... aller lui en acheter? Putin moi qui détestait magasiner en plus!

les blessures physique étaient beaucoup plus facile à guérir que celles psychologique, c'était quelque chose que Becky connaissait bien. Cependant elle ne savait pas trop ce que ça allait donné cette fois. Elle était confiante de s'en sortir, ce connaissant assez bien pour se savoir assez forte pour sa, mais elle savait aussi qu'elle ne pourrait jamais redevenir exactement la Becky d'avant. Elle avait une certaine peur d'où toute cette histoire la mènerait. Lorsque John la réinstalla, les cachets commençaient à faire effet, pour le plus grand bonheur de Becky. Il sembla vouloir lui dire quelque chose, mais sembla changer d'idée et retourna dormir.

Becky ne mit pas longtemps avant de retomber dans le sommeille, mais cette fois il fut sans rêve. Ce qui la réveilla fut sa jambe en dehors de la couverture, exposant quelques une des cicatrices recouvrent son corps. Elle ce dépêcha de la recouvrir, enfin le plus vite que son corps endolorie lui permis, en ce disant que des vêtements autre qu'un simple t-short ne serait pas de refus. Elle pensa à ceux resté à l'hôtel, mais c'était des camisoles et des t-shirt, ses pantalon était serrés, elle ne se voyait plus vraiment porter ça. Soupirant, elle se dit qu'elle devrait demander à John, elle se retint cependant de rire en l'imaginant lui magasiner ses sous-vêtements. Elle ne savait pas il était quelle heure n'y depuis combien de temps elle dormait, mais John n'était plus sur le canapé près d'elle et une bonne odeur lui venait au nez. En as tu fait assez pour deux?


Elle aurait aimé tenter de se lever, elle qui ne restait jamais tranquille plus de quelques minutes, mais ce dit que ce serait plus prudent d'attendre que John soit près d'elle au cas ou. Ce serait stupide de se blesser encore plus qu'elle ne l'était déjà. Elle devait de nouveau aller à la salle de bain, mais n'avais pas plus envi que sa de revoir ses blessures. Sachant que ça ne servait à rien d'attendre qu'elle devrait y aller tôt ou tard elle retira la couverture. John, tu peux venir me donner un coup de main?

J'étais à faire cuire du bacon quand sa voix me fit sursauter m'arrachant un grognement de douleur. Merde! Elle voulait me tuer ou quoi? Je pris un moment avant de répondre peut-être sèchement mais la douleur me vrillait le corps.

- Qu'est-ce que tu en pense?

Ah bah génial le caïd! Elle est déjà pas assez secouée comme ça! Je poussai un soupir en fermant les yeux. Je pris des couverts pour quand serait prêt et ainsi manger comme il faut pour reprendre des forces. Même maintenant ça faisait bizarre de faire à manger pour deux et surtout en-dehors des heures normales auxquelles je mangeais d'habitude. Mais bon... disons que j'avais une bonne excuse. Je sorti les tranches prêtes et en mit de nouvelles quand elle me demanda d'aller l'aider. Je m'avançai et en la prenant contre moi encore une fois, malgré mon mal de côtes, je l'apportai à la salle de bain et la déposai lentement.

- Euh... tu me dis si tu as besoin de quelque chose.

Becky eu un léger sourire en l'entendant lui répondre sèchement, elle était habitué à ce genre de réponse de sa part donc ce n'était pas se qui l'affectait le plus et elle savait très bien que bientôt ce serait de ce John là dont elle aurait besoin. Lorsqu'elle aurait à réapprendre à marcher sur sa cheville et lorsqu'elle reprendrait l'entrainement elle allait avoir besoin de lui. Tout le long du chemin jusqu'à la salle de bain elle ne baissa pas son regard de sur son visage. Elle ne voulait plus voir les blessures recouvrant son corps. Une fois déposé, elle rie à moitié en entendant ce qu'il lui dit. Tu veux une liste... Elle voulu baisser les yeux, mais les remonta aussi vite ne voulant rien voir d'elle. D'une voix douce, elle le chassa. Allez ouste, je devrais me débrouiller. Une fois qu'elle eu fait ce qu'elle avait à faire, elle ce rendit jusqu'au lavabo sans regarder dans le miroir, elle ce passa un peut d'eau dans le visage. Elle ce dit que finalement c'était une chance que le club ne l'ai pas vue ainsi, ils auraient été trop gentil avec elle après sa. Elle ne voulait qu'une seul chose, que tout revienne à la normal, mais pour cela, elle devait être patiente. Temps qu'elle aurait son plâtre, rien ne pourrait être normal. Elle tenta de se rendre jusqu'à la porte, elle avait besoin de bouger, et ça serait déjà un bon début. La porte n'était pas loin, mais elle du s'adosser au mur à un moment épuisé en endolorie dans tout le corps. Elle rageait intérieurement. Allez merde! Elle avait marmonner espérant que John ne soit pas trop près pour l'entendre, avant de reprendre son pénible trajet.

Je lui avais signifié que si elle avait besoin qu'elle demande. Enfin, formule de politesse car comme elle était elle ne courait pas le marathon non plus. Quand elle me dit si je voulais une liste j'haussai un sourcils. Bah... tout comptes fait je pensais pas trop non. Je la regardai franchement.

- C'est toi si tu veux te balader à moitié nue.

Sachant que la présentement, mis à part le.chandail elle avait rien d'autre. Quand elle me chassa je retournaI à la cuisine et ce fut une fumée sur la cuisinière qui m'accueilli et pour couronner le tout le détecteur de fumée en plus.

- BORDEL DE MERDE!

D'une claque je fis voler le détecteur dans le couloir pour retourner aux tranches de bacon carbonisées. Je grognai en voyant que c'était très très noir dans ma poêle. Heureusement que c'était les dernière. En rage je pris la poêle et la balançai dans la poubelle avant de poser les yeux sur la porte.

- Ça va Becky?

La si elle pleurais encore...

Elle entendit John jurer et le détecteur crier, et soupira, ce disant qu'il pouvait lui dire s'il n'avait pas le temps elle pouvait attendre aussi, après tout elle n'était pas une princesse. Elle était presque arrivé à la porte lorsqu'elle du s'adosser à nouveau au mur. Ça va! Elle avait répondu en serrant les dents. Elle voulait réussir, sachant qu'il devait souffrir à chaque fois qu'il la prenait dans ses bras. Serrant les dents encore plus fort et ne lâchant pas la porte des yeux, elle recommença à avancer. Elle fini par atteindre la porte et l'ouvrit, s'adossant au mur. OUI! Elle s'adossa au mur en riant. Elle était en sueur et à bout de souffle par l'effort. Elle se laissa glisser sur le mur afin de s'asseoir doucement. Son regard tomba sur ses jambes et elle grimaça. L'idée que toute ses marques lui laisseraient une cicatrice la fit frissonner. Par chance, la douleur était encore tolérable, même si elle craignait le moment ou elle ne pourrait plus supporter. Elle ce dit que si elle prenait des anti-douleurs un peu plus tôt elle n'aurait pas à endurer la douleur... John, je crois que je vais avoir besoin d'aide... Elle attendit de le voir apparaitre et ce dépêcha de parler. S'il était redevenue grognon il n'allait certainement pas aimer la trouver là. Peux-tu juste m'aider à marcher un peu? Comme ça sa éviterait d'aggraver ta blessure.

J'entendis son "ça va" alors que je savais très bien qu'elle faisait l'orgueilleuse. Bon bin soit alors, fait comme tu veux. Je terminai donc le petit repas. Je disposai les assiettes au comptoir lunch et commençai à disposer café, rôties, fruits et fromage quand son exclamation me fit remonter le regard. Elle était vraent têtue c'était pas possible!

Je poussai un soupir mais en même temps si elle ne faisait pas d'effort elle ne se rétablirais jamais. Puis avec un plâtre elle ne pouvait pas faire pire. Ce fût sa demande qui me fit rouler des yeux. Mais bon je ne dis rien et allai la voir et allaivant que j'ouvre la bouche elle se mit allaivant parler rapidement soit disant pour éviter d'aggraver ma blessure. Ben déjà faudrait que ça arrête de lanciner.

- T'étonne pas si ça prend du temps à guérir si tu continue.

Non je ne pouvais pas juste me la fermer. Je l'apportai lentement au comptoir lunch et l'aidai à s'asseoir. Je lui servi deux oeufs et du bacon avant de me servir à mon tour. Je m'assied et je ne pus retenir une grimace en m'asseyant.

- Allez mange si tu veux reprendre des forces.

Elle sera les dents en entendant ses paroles, c'était justement pour lui laisser une chance de guérir qu'elle voulait marcher. Elle réussi à ravaler la réplique qui lui brûlait les lèvres pour une fois, ne voulant pas se prendre la tête avec lui. Elle ne mangea pas son repas, elle le dévora. Elle ne pouvait même pas se rappeler quand elle avait mangé un vrai repas. Elle mangeait des petits trucs ici et là, mais n'avait plus l'appétit pour des vrai repas. Elle avait d'ailleurs perdu beaucoup de poids. Elle fit un sourire timide à John alors qu'elle se reprenait des fruits. Elle ne pouvait même pas se souvenir la dernière fois qu'elle avait autant mangé. Quand tu sortiras, pourrais-tu passer à mon hôtel chercher mes choses, et au centre commercial me chercher des vêtements moi serré... et à manche longue s'il te plait? Assise comme sa au comptoir la mettait mal à l'aise, elle ne pouvait se cacher sous sa couverture, et on pouvait voir ses blessures sur ses bras et ses jambes. Elle se forçait à regarder soit son assiette soit John. Elle redoutait le moment ou elle aurait à aller se laver...

Elle mangea de bon appétit et sérieusement ça me rassurait en fait. Elle mangea son assiette, vida le fromage et reprenait des fruits. Ce fût son sourire timide qui me fit froncer les sourcils. Sa demande me fit figer la dernière bouchée de bacon que j'avais dans la bouche. Non... tout mais pas ça! J'avalai lentement ma bouchée ennla fixant.

- Dis-moi que tu te fous de moi là?

Mais bon je ne pouvais pas la laisser se balader comme ça non plus. Je poussai un soupir devant l'évidence. Je fini par hocher de la tête mais je me rappelai que je ne pouvais pas la laisser seule non plus.

- Je peux pas te laisser seule Lutine!

A son regard je compris. Non!Non! Pas lui! Putin de merde! Moi qui tentais d'avoir le moins de contact avec lui la il.fallait que j'aille lui demander de l'aide! C'est pas vrai merde!

- Pour cette fois.

Je ramassait les assiettes et agacé je montai me changer. Un jean et une chemise bien simple. C'est en redescendant que je la vis encore à la table. Quel con mère! Je l'installai confortablement avant de lui dire de se renier tranquille. J'allais ensuite tiquer à la porte du voisin et se fut les jappements du chien qui m'accueilli.

- Monsieur John! Que me vais l'honneur?

- J'aurais besoin que vous alliez veiller sur Becky le temps que j'aille faire quelques courses. Elle a eu un accident vous comprenez.

- Oh... mais pas de problème monsieur John. J'y vais tout de suite.

Je remerciai d'un signées de tête et tournai les talons.

- Oh! Vous permettez que j'apporte Princesse? Becky l'aime bien.

Je restai immobile quelques secondes en fermant les yeux. Je pris une inspiration avant de lui répondre.

- Assurez-vous qu'il ne fasse aucun dégâts.

Je partis donc en espérant que tout irais bien

Elle avait été mal à l'aise de faire cette demande à John consciente qu'il était lui aussi salement amoché. Et bien à moins que tu n'aimes me voir me balader en t-shirt dans la maison non je ne me fou pas de toi. Elle avait répondu avec un petit ton moqueur, tentant de caché son malaise. Lorsqu'il émis le problème de la laisser seul, une idée lui vint et automatiquement elle lui fit des yeux doux et un petit sourire suppliant. Elle savait qu'il détesterait, mais ils n'avaient pas vraiment le choix et personnellement elle ne voyait pas ce qu'il avait à le détester. Merci. Lorsqu'il monta en haut se changer, elle le regarda disparaitre un sourcil levé. Il rigolait là, il la laissait vraiment assise la toute seule. Elle soupira et attendit qu'il revienne, le regardant descendre les marches du reproche dans le regard. Il l'installa donc confortablement sur le canapé puis se dirigea vers la porte. Un accident de moto. Elle savait qu'il comprendrait. Ce serait bête de dire chacun quelque chose de différent. M. Carter arriva quelque minutes plus tard et Becky eu de la difficulté à croire que John avait accepté qu'il apporte la chienne. Elle s'installa au côté de Becky et n'y bougea pas tout le long que le voisin resta. Elle flattait distraitement princesse tout en discutant avec M. Carter de tout et de rien en tentant d'oublier la douleur, les cachets ne faisant plus du tout effets. N'y elle, n'y John n'avait penser que la douleur reviendrait pendant ce temps. Lorsque John revint la petite chienne n'aboya même pas, restant collé contre Becky. Elle jeta un regard à John qui devait en dire long sur sa douleur, mais n'osait parler devant M. Carter.

Ça me faisait vraiment chier d'avoir demander à mon voisin. Mais bon je ne pouvais pas là mettre dans ma voiture sinon ça éveillerait des soupçons et la laisser seule pas question! Cependant de savoir ce stupide chien dans ma maison m'agaçait. J'arrivai donc à l'hôtel et après discussion je pus récupérer les effets de Becky. Direction le centre commercial. En me stationnant je poussai un soupir, j'avais oublié de demander la grandeur des vêtements.

- Putin... c'est pas vrai...

J'ouvris donc son sac et vérifiai la grandeur des pantalons, chandail et même les sous-vêtements. J'entrai donc et pris des vêtements un peu pèle mêle. Ample, confortable qu'elle m'avait demandée. Ce fût plus ardu quand je dus acheter des soutien-gorge. Bordel mais j'avais l'air de quoi? J'en pris quelques-uns sans vraiment regarder les modèles. Quand j'eus tout je payai et me promis de ne jamais revenir dans ce magasin.

J'arrivai chez-moi rassurer que je pourrais le foutre dehors lui et son stupide chien. J'entrai les mains pleines de sacs que je déposai sur la table.

- Oh vous avez été rapide monsieur John!

- J'aime pas magasiner.

- Hum... je vois mais comme c'est pour cette jolie demoiselle on est près à tout non?

- C'est surtout parce que j'ai pas le choix.

Je captais le regard de Becky et surtout vit le chien sur le canapé et je dus me retenir de ne pas le foutre dehors par la fenêtre. Mais je ne dis rien et tournai les talon pour aller chercher les cachets. Heureusement quand je revint le voisin avait repris son chien et s'apprêtait à quitter.

- Si vous avez besoin monsieur John je peux vous aider.

- On se débrouillera... merci.

J'attendis qu'il soit parti et donnai les cachets à Becky avant d'aller chercher les sacs.

- Je pense que tu as tout.

Cette fois, Becky n'eu aucune hésitation à prendre les cachets. La douleur était beaucoup trop forte pour qu'elle ne pense qu'à hésiter. Serrant les dents, elle patientait que les cachets fassent leur effet, essayant de contrôler sa respiration. Avant même de regarder dans les sacs, elle regarda John. Elle savait que sa avait du être très difficile pour lui de faire tous sa. Il était aller lui magasiner des vêtements avec une côté cassé et avait en plus demander au voisin de venir au chevet de Becky, en plus de permette au chien d'entrer dans la maison. Merci John, j'apprécie vraiment... Elle lui sourit puis jeta un coup d'œil dans le sac. Lorsqu'elle vit les sous-vêtements, elle rougie un peu. Il y en avait plusieurs modèles, mais pour la plupart, ils étaient pas mal tous... sexy. Les vêtements étaient grands et amples, donc confortable et ils cacheraient les blessures. Elle voulait se changer, mais t'en que les cachets ne feraient pas effet, elle ne voulait pas bouger. Elle aurait aussi aimé de laver, mais à voir l'état de John, elle ne voulait pas lui demander plus que ce qui était essentiel. Elle serra donc les dents et les point en fermant les yeux en attendant que la douleur diminue.

Je voyais bien que son corps n'était que douleur c'est pour cette raison que je n'avais pas hésiter à aller lui chercher. Et de son côté elle n'a pas pris deux secondes pour les prendre. Je m'avachis dans le canapé en fermant les yeux. Ces emplettes bien que courtes m'avait épuisé. Pour la côte ça allait la douleur était la mais Becky n'était pas la seule à piger dans les cachets. Quand elle me remercia j'ouvris les yeux et la regardai.

- Tu semblais pas à l'aise de te balader comme ça alors...

Je la vis serrer les dents et les poings attendant que les médicaments fassent effet. Je fronçai les sourcils en la voyant.

- Respire. C'est pas facile mais en te tendant non plus.

Je me redressai lentement et me mords la lèvre. Je pris sa main crispée et la regardai vraiment mal de la voir souffrir ainsi.

- Je te proposerais bien un bain et de la mousses mais... j'ai pas de mousse. Puis avec ton pied...