La guerre, c’est la guerre des hommes ; la paix, c’est la guerre des idées

Il a des yeux c'est pour s'en servir non ? C'est vrai que au bout de ces 7 années jamais Sebastian avait tenter quoi que ce soit avec Elena même si elle était une fille très belle. Alors qu'elle fut surprise qu'il là regarder il se senti gêner surtout quand elle le grondait. Annonçant que elle allait chercher de l'eau il fit un signe positif puis une fois que elle fut sorti rapidement il enlevait ses vêtements se mettant un pyjama et se glissait sous la couverture en se traitant d'idiot. Quand Elena revenait, Sebastian préférait rester silencieux lisant a moitié son livre puis que cela fessait trois fois que il lisait la même phrase.

Codage par Libella sur Graphiorum

Il à des yeux pour s'en servir, mais pas pour mater Elena en cachette. Si déjà il voulait la voir nue, il n'avait qu'à lui dire. Peut être qu'elle lui aurait montrer ou peut être qu'elle lui aurait mis une baffe pour avoir de pareilles pensées envers elle. Elena se rend dans la partie cuisine et remplit une cruche d'eau fraîche. Elle prend aussi deux verres et réfléchit un instant. C'est vrai qu'avec ses 7 années, il ne faut pas mentir, Sebastian lui plait bien aussi. Mais ils sont pratiquement frère et sœur depuis le temps elle ne veut pas que ça mette une mauvaise ambiance dans leur famille si ils venaient à y avoir quelque chose entre eux mais que ça ne marchait pas. Elle revient dans la chambre au bout de quelques minutes et vient déposer les verres et la cruche sur la commode. Voilà je laisse la cruche et les verres ici. Une fois ceci dit, elle va dans sa partie chambre et s'allonge dans le lit. Seb ? Tu m'en veux ?

 ×  

La guerre, c’est la guerre des hommes ; la paix, c’est la guerre des idées

Levant les yeux de son livre, Sebastian regardait la cruche poser sur la commode et fit un signe positif  en la remerciant. Il voulait continuer sa lecture mais il y arrivait pas. Fermant son livre il prit les mot croiser que son père lui avait donner et commençait à remplir quelque grille quand Elena s'adressait a lui. A sa question, il ne savait que dire puis posait le magasine sur ses jambes.

Non pourquoi ? C'est moi qui m'es... mal comporter.

Codage par Libella sur Graphiorum

Allongée dans son lit, elle éteint la lumière de son côté et reste sur le dos, les bras derrière la tête, elle réfléchit un instant avant de poser sa question à Sebastian. Je ne sais pas. Tu as à peine lever les yeux quand j'ai rapporter la cruche et les verres. Elle sourit. Non, ne t'inquiète pas Sebastian, tu ne t'es pas mal comporté. C'est moi qui ai agit un peu trop violemment. C'est ma faute aussi, j'aurais du veiller à ne pas trop m'exposer. Merci au faite pour ton compliment, ça fais plaisir de savoir qu'on à un corps agréable à regarder.   Elle finit par se redresser et s'asseoir dans son lit.

 ×  

La guerre, c’est la guerre des hommes ; la paix, c’est la guerre des idées

Son oreiller coller contre le mur derrière lui, Sebastian adosser regardait Elena qui lui parlait. La situation avait été peu être un peu gênante mais cela était bien d'en parler comme ils le fessaient quand il y avait quelque chose qui n'allait pas. Alors que elle s'excusait il eut un sourire a cela et parlant de son corps il fit un signe positif.

C'est vrai que tu es... très agréable a regarder.

Dit-il en lui souriant.

Codage par Libella sur Graphiorum

Assise dans son lit, elle tourne la tête vers le côté de Sebastian et le regarde, même si elle ne voit que son ombre. Et ainsi dans le noir de son côté, c'est plus facile de parler entre eux. Maintenant qu'il n'y à plus de gêne ils peuvent discuter comme avant, comme si rien ne s'était passé. Dis donc, t'essayerais pas de me charmer là en me complimentant ? Dit elle en rigolant. Mais merci, j'avoue que dans ton genre tu es plutôt mignon aussi. Elle secoue la tête. Cette proximité nous rend fou je crois. On est entrain de se faire des films. Vivement que tout cela s'arrête qu'on puissent retrouver une vie normale. Elle, ça l'as rend folle en tout cas, elle s'imagine des choses, elle ne peut pas sortir, vivre sa vie de femme, se mettre à la recherche de son futur mari.

 ×  

La guerre, c’est la guerre des hommes ; la paix, c’est la guerre des idées

Il est vrai que dans la pénombre il est plus facile de parler ainsi on ne remarque pas les réactions de la personne. Alors que Elena parlait de la charmée il souriait avant de rire avec elle.

Non je ne dis que la vérité.

Parlant que l était pas mal dans son genre le fit sourire.

Merci...

Cette proximité la rendait folle peu être mais cela leur avait permit de mieux se comprendre.

Je penses que c'est un mal pour un bien. Cela nous a permis de plus nous parler et nous comprendre.

Dit-il en lui souriant.

Maintenant dodo... bonne nuit !

Lançait-il avant de se coucher. Le lendemain au petit déjeuner il y avait plus grand chose a manger. La famille attendait impatiemment l'arriver de la femme ou l'homme qui les hébergeaient mais ceux-ci ne venait pas et la réserve commençait à s'épuiser. Pourtant le magasin était pas loin juste un étage plus bas mais personne voulait prendre le risque de descendre. Ne pouvant plus attendre, Sebastian prit un sac dans sa poche puis descendit le petit escalier. Il collait l’oreille a la porte et n'entendant aucun bruit il l'ouvrit puis poussait le meuble avant de descendre dans le magasin plonger dans le noir. Le dimanche la propriétaire n’ouvrait pas a boutique donc libre pour Sebastian de faire son petit marché. Prenant de quoi manger pour chacun il fit un bon quand il entendit du bruit et se retournait il fut rassurer de voire que s'était Elena.

Tu m'a fais peur bon sang ! Tu veux du chocolat ?

Dit-il en lui lançant une tablette en lui souriant.

Codage par Libella sur Graphiorum

Heureusement que tu dis la vérité et pas que tu me fais marcher, sinon je le prendrais mal. Elle sourit. Oui, mais dorénavant, évite de me mater quand je m'habille ou me déshabille, sinon la prochaine fois j'irais te surprendre sous la douche tu verras. Voilà c'est une menace. Bonne nuit Seb. Et elle s'endort elle aussi. Le lendemain matin, quand elle se lève elle prend soin que Sebastian ne l'as voit pas s'habiller et sort de la chambre rejoindre la cuisine et la salle à manger pour le maigre petit déjeuner. C'est vraiment limite ce qu'ils mangeant mais bon, ils font avec et Elena ne se voit pas descendre chercher de quoi se ravitailler, elle n'est pas assez courageuse pour ça. Quand Sebastian décide d'y allez, elle finit par le rejoindre quelques minutes après. Elle fait le moins de bruit possible et se dépêche de le rejoindre quand elle reçoit une tablette de chocolat, elle sourit. Merci, maintenant reviens avec moi, si on se fait choper, on risque de se faire expulser. On ne peux pas mettre nos parents en danger. Dépêche toi. Elle lui tend la main.

 ×  

La guerre, c’est la guerre des hommes ; la paix, c’est la guerre des idées

Sebastian prit encore deux trois choses pour la famille comme de la confiture et des croissants. Il allait rejoindre Elena quand la porte de l'entré du magasin s'ouvrit. Attrapant la main d'Elsa il la fit glisser sous le comptoir de la caisse et vu le peu de place se retrouvait au-dessus de la demoiselle. Les deux personnes qui étaient entré était deux allemands, ceux-ci se prit une bouteille de vin et du saucisson et discutait entre eux en riant. Le corps de Elena contre le siens Sebastian pouvait sentir son cœur battre la chamade. Les deux hommes quittait le magasin en fermant la porte derrière eux Sebastian attendit le silence puis se redressant il vit que il y avait personne. Il prit la main d'Elena l'aidant à se relever et rapidement ils partaient en direction de leur cachette après avoir dissimuler leur cache et bien renfermer la porte. Montant le petit escalier qui les menaient a la cuisine leur parents les attendaient et leur passait un savon même si il savaient que ils avaient cela uniquement pour le bien de tout le monde. Sebastian allait dans sa chambre après avoir été engueuler par son père.

Codage par Libella sur Graphiorum

Elena ne tarde pas à rejoindre Sebastian et lui demander de remonter avec elle. Elle ne veut pas qu'ils se fassent choper, ni que les proprios décide de virer tout le monde à cause d'eux. Quand la porte s'ouvre, elle devient livide, mais Sebastian l'attrape à temps pour la cacher, elle reste au sol avec Sebastian au dessus d'elle et même si la position est spéciale, elle est trop affolée pour penser à autre chose qu'à sa peur. Heureusement la présence de Sebastian l'as rassure un peu et quand ils sont partis, elle prend sa main et remonte rapidement chez eux. Evidemment quand ils remontent, ils n'échappent pas à l'engueulade comme si ils avaient 5 ans et qu'ils avaient fait une bêtise. Mais c'est vrai qu'ils ont pris un risque. Elena reste un peu avec ses parents et va rejoindre Sebastian dans la chambre, elle pose sa main sur son épaule.

 ×  

La guerre, c’est la guerre des hommes ; la paix, c’est la guerre des idées

Sebastian savait que il avait prit un risque mais il ne restait que une tranche de pain pour 8 personnes et une seul boite a conserve pour le repas du soir non il ne pouvait plus attendre l'arriver des propriétaires surtout que pour avoir leur argent ils étaient plus rapidement là que leur amener a manger. C'est vrai que ils prenait des risques en les cachant que il risquait même la peine de mort mais alors que ils amènent plus de ravitaillement que de petit sac de temps en temps.

Assit sur son lit, Sebastian restait silencieux même si il acceptait de s’être fait passer in savon. Alors que Elena le rejoignit et posait sa main sur son épaule, Sebastian posait la main sur la sienne et penchait la tête en la regardant. Souriant à Elena, il la regardait quelque seconde avant de s'avancer pour déposer ses lèvres sur les siennes.

Codage par Libella sur Graphiorum

Un gros risque, mais Elena comprend les raisons de Sebastian. Il à fait ça pour eux mais c'est vrai que ça peut poser des problèmes à tout le monde et ça elle ne veut pas. Même si ils ont faim c'est vrai qu'elle à souvent son estomac qui gronde mais bon c'est comme ça. Dans la chambre, Elena pose sa main sur l'épaule de Sebastian et sourit aussi. Quand il pose sa main sur la sienne, elle le laisse faire et de sa seconde main, elle lui caresse la joue. C'est vrai qu'ils se regardent et Elena essaie de trouver ce qu'elle peut dire. Mais pour le coup, elle ne trouve rien à dire. Quoi que si, elle veut lui demander si ça va et au moment où elle commence à vouloir parler, Sebastian vient l'embrasser. Elle hésite un moment à répondre à son baiser, elle à envie de le repousser mais de l'autre côté, ce baiser, elle en avait envie aussi elle décide de le prolonger.

 ×  

La guerre, c’est la guerre des hommes ; la paix, c’est la guerre des idées

Cela fait longtemps que Sebastian voulait embrasser Elena mais il avait peur que cela casse le lien entre eux. Mais il ne voulait pas être simplement le bon copain ou celui que elle considérait comme un frère. Non il avait des sentiments pour elle des sentiments très fort et il se demandait si ceux-ci était réciproque ou si Elena ne voyait en lui que un très bon ami. Alors que elle ne le repoussait pas lors de ce baiser, Sebastian le prolongeait en glissant une de ses main à sa taille.  

Codage par Libella sur Graphiorum

Au début Elena considérait Sebastian comme un ami, puis comme un frère. Mais à force de vivre si près de lui, de le voir tout les jours, de partager la même chambre que lui et cette proximité. Malgré la différence d'âge, Elena aussi commençait à ressentir des sentiments pour lui. Même si elle ne disait rien, comme dit, elle ne voulait pas mettre de mauvaise ambiance dans la famille si ils venaient à se mettre ensemble et à se séparer par la suite. Quand il l'embrasse, elle ne le repousse pas, non elle prolonge encore son baiser et se blottie contre lui quand il passe son bras autour d'elle, elle fait de même et l'enlace.

 ×  

La guerre, c’est la guerre des hommes ; la paix, c’est la guerre des idées

Sebastian passait ses mains à la tailles de Elena. Son corps contre le liens il prolongeait le baiser et la fit doucement basculer sur son lit avant de rependre le baiser quelque seconde. Quittant les lèvres de Elena, Sebastian se levait et fermait le verrou de la porte non pas pour empêcher Elena de s'enfuir mais pour éviter que toute personne entre dans la chambre. S'avançant vers elle, il caressait son visage et l'embrassait a nouveau avant de s'allonger sur son lit avec elle.  

Codage par Libella sur Graphiorum

Continuant se baiser, elle se retrouve sur le lit, mais quand il stoppe le baiser et se lève, elle ne comprend pas, avant de voir qu'il ferme le verrou ce qui l'as fait rire. C'est sur que si les parents étaient rentrés à ce moment là, ça aurait fais encore des histoires. Et puis si Elena veut s'enfuir, verrou ou pas, elle sait ouvrir la porte quand même. Quand il revient près d'elle, elle se pousse pour lui faire de la place dans le lit et reprend ce baiser tendrement, posant ses mains dans son dos. .

 ×  

La guerre, c’est la guerre des hommes ; la paix, c’est la guerre des idées

Continuant d'embrasser Elena, les mains de Sebastian se glissait sur le corps de la demoiselle alors que ces mains à elle passait dans son dos une sensation particulièrement agréable. Avant cet instant, Sebastian avait eut que une copine et avec elle il n'avait pas été plus loin que le baiser et bien entendu ce n'est pas au lycée que on apprends les choses de la vie. Mais comme tout jeunes de son age il achetait des magasines érotique afin de se faire une idée du comment était les demoiselles sous leur uniforme. Il avait 17 ans quand il est arriver dans la vie d'Elena et jamais encore il avait couché avec une fille. Mais même si il avait pas encore passer cette étape, cela ne devait pas être aussi compliquer que cela non ? Alors que son corps était coller à celui de la demoiselle, une de ses mains trouvait une entré sous son haut et la fit glisser doucement sur son ventre et sa poitrine.

Codage par Libella sur Graphiorum

Leur baiser ne se stoppe pas, il continue d'être prolongé, comme si ils rattrapaient des années de baisers. Contrairement à Sebastian, Elena à déjà eu plusieurs hommes dans sa vie et dans son lit. Son ex copain qui lui faisait miroiter un mariage, un autre avec qui elle est sortie peut de temps après. Et deux trois autres avec qui elle pensait pouvoir crée une relation, mais non, son cœur n'y était pas. Elle ne voulait pas s'avouer que celui avec qui elle voulait avoir son histoire d'amour partageait sa vie et son appartement depuis des années. Mais malgré qu'ils soient proche, elle ignore totalement que Sebastian n'as jamais de relations. Surtout vu la façon dont il caresse Elena, il à l'air de s'y connaître. Les mains d'Elena reste dans le dos de Sebastian qu'elle continue de caresser, mais comme il fait connaissance avec sa peau, elle va faire de même en glissant une main sous son haut pour toucher la peau de son dos.

 ×  

La guerre, c’est la guerre des hommes ; la paix, c’est la guerre des idées

Un frisson parcouru le corps de Sebastian quand Elena passait sa main sous sa chemise. Sentant sa main sur son dos, il quittait les lèvres de la demoiselle quelque seconde le temps de reprendre leur respiration. Enlevant la main de sous le haut d'Elena, Sebastian commençait a lui déboutonner puis quand il fut ouvert il l'embrassait a nouveau avant de faire glisser ses lèvres le long de son cou et sur le haut de sa poitrine.

Codage par Libella sur Graphiorum

En le sentant frisonner, elle sourit intérieurement et continue de le caresser, elle vient même avec sa seconde main qu'elle fait glisser le long de sa colonne vertébrale. Quand leurs lèvres se séparent, elle reprend son souffle et lui sourit. Vu qu'il retire sa main, elle se dit que ce moment est finit entre eux. Mais non, il commence à la déshabiller. Elle le laisse ouvrir son chemisier et l'aide à le retirer, le posant à côté d'eux avant de reprendre un baiser qui s'arrête assez rapidement et de laisser Sebastian qui glisse ses lèvres sur le haut de son corps. Elle se mordille légèrement la lèvre.

 ×  

La guerre, c’est la guerre des hommes ; la paix, c’est la guerre des idées

Alors que ses lèvres descendirent le long du torse d'Elena, ses mains se déposèrent sur sa taille avant de remonté vers les lèvres d'Elena. L'embrassant, il déboutonnait à son tour sa chemise puis enlevait son pantalon avant de faire glisser la jupe d'Elena le long de ces jambes et la déposait sur le côté. Reprenant place au-dessus d'Elena il reprit ses baiser et ses caresses. Cet instant était nouveau pour Sebastian mais pourtant il se débrouillait parfaitement bien comme si il avait déjà fait cela plusieurs fois, sans doute parce qu'il était bien guider par Elena. Alors que il furent tout deux sans vêtements ils purent commencer les choses sérieuses, un moment particulièrement agréable et sensuel et intense profitant de chaque moment.

Allonger dans son lit, Sebastian le dos contre son oreiller caressait le corps nus d'Elena qui était blotti contre lui en restant silencieux voulant juste profité de cet instant. Mais celui-ci fut arrêter quand on frappait a la porte de leur chambre. Se redressant assit, la mère d'Elena annonçait que le repas était servit. Annonçant que ils arrivaient, Sebastian sorti du lit puis ramassait ses vêtements commençant à se rhabiller.

Codage par Libella sur Graphiorum

Sebastian se débrouille bien, tellement bien qu'Elena ne se rend même compte tout de suite qu'il en est à sa première fois. Même pas avec ses baisers ou ses caresses quelques fois timide. Non au contraire, on pourrait croire qu'il à déjà pratiquer et ce plus d'une fois. D'ailleurs quand ils se retrouvent tout nus et tous les deux dans les bonnes conditions, il est temps pour eux de commencer leur moment intime, en essayant d'être discret. Il serait mal venu que les parents d'Elena ou ceux de Sebastian les entendent. Et après quelques années à vivre ici, Dieu sait qu'Elena avait grandement besoin d'un moment comme ça. A la fin de leur ébats, elle reste blottie contre lui en se demandant maintenant ce qu'il va se passer. Elle n'as plus trop le temps d'y réfléchir quand elle entend sa mère frapper à la porte. Elle laisse Sebastian répondre et sort aussi du lit, elle se rhabille et se recoiffe sans un mot.

 ×  

La guerre, c’est la guerre des hommes ; la paix, c’est la guerre des idées

Le moment avec Elena avait été plus que agréable et Sebastian se voyait mal de dire a Elena que cela avait été très bien. Alors que il s'habillait, il regardait Elena faire de même et se coiffer. S'avançant vers elle, il hésitait un instant et passait ses mains à sa taille l’embrassant dans le cou avant de la regarder dans le petit miroir en face d'eux en lui adressant un sourire.

Tu crois que toi et moi ça pourrait marché ?

Demandait-il alors que on les appelaient une seconde fois.  

Codage par Libella sur Graphiorum

Devant son petit miroir, Elena coiffe ses cheveux avant de les attacher et de remonter la fermeture éclaire de sa robe. Quand Sebastian se rapproche d'elle, elle commence à se pousser pour lui laisser la place devant le miroir, mais non, il préfère l'enlacer elle. Elle pose les mains sur les siennes et le regarde à travers le petit miroir. Elle allait lui répondre quand elle entend qu'on les appelle une seconde fois, elle tourne la tête vers la porte. On arrive maman. Dit elle avant de reporter son attention sur Sebastian et de lui sourire. Ca vaut peut être le coup de tenter non ?

 ×  

La guerre, c’est la guerre des hommes ; la paix, c’est la guerre des idées

Tournant la tête vers la porte il restait silencieux laissant Elena répondre puis quand elle répondit à sa question il eut un sourire. Oui Elena était prête a tenter quelque chose entre eux alors autant essayer. L'embrassant une dernière fois, ensemble ils quittaient la chambre puis s'installait à la table pour prendre leur déjeuner. Assit l'un en face de l'autre, Sebastian restait silencieux essayant de caché un sourire quand il sentait la jambe d'Elena contre la sienne. Écoutant la conversation d'une oreille il répondit de temps en temps quand on lui posait une question mais bon les sujets n'était guère intéressant.  

Codage par Libella sur Graphiorum