Le Satan's Whiskers est un bar à cocktail, enfin, c'est que certains disent de l'endroit, mais dernièrement, il eut beaucoup de bruit venant de cet endroit, mais jamais vraiment de preuve ou de témoin. Le jour Halloween, un homme avait été retrouvé a quelque pas du bar poignarder a mort et comme par hasard aucun témoins ! Oui cela aurais été trop beau qu'une personne se présente, c'est plutôt l'histoire des trois singes : ne pas voir le mal, ne pas entendre le mal, ne pas dire le mal. Mais surtout chacun protège ses fesses et on la boucle ! Miller connaissait trop bien ce genre de chose, et d'avoir une affaire aussi vieille a traiter il savait trop bien qu'elle ne sera pas résolu au grand damne de la famille. Mais avant de clôturer ce dossier, il décidait de s'y rendre de lui-même afin de se faire une réelle idée de l'endroit.

C'est en tant que simple client qu'Alec se rendait au Satan's. Traversant la longue allée sombre de Whitechapel, certains endroits était éclairer de façon colorée pour rappeler a certain que les fêtes de fin d’année était proche. C'est sous la pluie froide qu'Alec cherchait l'endroit avant d'y arriver. Devant la porte, quelques personnes regrouper autour d'un chauffage de terrasse entrain de fumer leur cigarette. En poussant la porte, c'est une bouffée de chaleur qui lui arrivait au visage, c'est sûr qu'il fessait beaucoup plus chaud à l'intérieur qu'à l’extérieur. Alec cherchait une place libre puis prit place seul a une table. Rapidement, une serveuse arrivait lui demandant ce qu'il désirait, commandant une bière la jeune femme repartait chercher sa commande.

En attendant d'être servi, Alec regardait autour de lui discrètement curieux par l'endroit où il avait jamais mis les pieds. Au milieu des diction des clients, Alec s’arrêtait sur une demoiselle qui chantait et cela était dommage qu'avec toute ces discutions, on pouvait à peine l'entendre. Quand il fut servi, il prit son verre et en bus une gorgée tout en continuant d'observer discrètement le lieu.

Miller ne pourrait pas dire ce que racontait la musique. Il n'avait pas prêté attention aux paroles, mais la mélodie et le son de la guitare avait été plaisant. Cela changeait des bars qui diffusaient de la musique a l'aide d'une radio ou juke-box même si cela n'est plus vraiment d'époque. Se levant pour laisser sa table à un couple, il était parti prendre place au bar et avait commander une nouvelle bière. D'une oreille, il écoutait la musique et de l'autre, il se perdait dans ses pensées, se demandant s'il devait retourner à Sandbrook pour les fêtes de fin d'année afin de retrouver sa femme et sa fille ou s'il était mieux pour lui de rester a Londres. Une question qui valait mieux y réfléchir plus tard puis qu'une jeune femme s'adressait à lui en le remerciant pour l'avoir écouté. Ce remercient, Miller ne s'y attendait pas, mais le fit tout de même sourire. Cela est rare d'entendre une belle voix dans un bar qui soit réelle et non sorti d'un poste radio. Dit-il en lui adressant un sourire et fessant un signe a la serveuse derrière le bar. Que désirez-vous boire ? Demandait-il afin de lui offrir un verre.

Laissant une place à la demoiselle pour qu'elle puisse s’asseoir, celle-ci lui parlait sur le fait que la radio était impersonnelle et elle avait raison. Mais à présent, le plus souvent, ce sont les musique lounge qui se font entendre dans les bars ou d'autre musique assez... spéciale. Miller n'était pas vraiment amateur de musique, il ne pourrait même pas dire qui est l’artiste au top 50 en ce moment. La culture musicale chez lui, c'est un zéro ! Le plus souvent dans les bars, les gens viennent pour draguer ou raconté leur vie à qui bon veut l'entendre. Répondit-il en lui adressant un sourire. Laissant la demoiselle commander sa boisson, celle-ci lui parlait de musique rock et lui demandant s'il aimait cela, Miller fut prit au dépourvu. La musique rock ? Et bien... Les Beatles cela était bien du rock ? Demandait-il, bon, vous l'avez compris Miller est un vieux dinosaure.  

Miller n'était pas un habituer des bars, d'ailleurs, il se demandait comment les gens pouvaient trouver le plaisir de draguer dans des lieus pareils tout en déballant leur vie à de parfaits inconnus. Cela n'était pas étonné qu'après on en trouvait un ou une égorger dans un fossé ou le coin d'une rue. 

En confirmant que les Beatles jouaient du rock mais pas que, Miller lui fit un signe positif. Alors qu'elle lui demandait quel était son job, Miller laissait la serveuse déposer leur boisson et regardait devant eux à les observer. Vous avez besoin d'autre chose ? Lançait Miller en fixant la jeune femme qui partit vexer d'avoir été remballé de la sorte. Une fois éloigné, il put enfin répondre à la jeune chanteuse. Je suis de la police, de la crim'. J'essaye de comprendre ce qui s'est passé le soir d'Halloween. Mais les gens ne sont guère bavards. Sur ce coup, il aurait pu mentir, mais bon a quoi bon cela lui servirait puis que tôt ou tard, on apprendra qu'il fait partie de la police.