Je n’aime pas le travail, nul ne l’aime ; mais j’aime ce qui est dans le travail l’occasion de se découvrir soi-même

Luna Seaver ∞ Colin Keagan

Il était dans les alentours de huit heures quand je me réveilla , restant un moment à contemplé ma chambre dans un long et profond soupire las , quelques peu fatigué de cette longue nuit de travaille, alors que nous bossions sur une affaire, qui devenait au fils des jours une véritable impasse...Nos indices ramassés sur la scènes de crime ou dans les relevés téléphoniques et bancaires de nos principaux suspects ,nous menant nul part. Certes ce n'était pas la première fois que nous revenions au point zéro, mais je prenais cet échec beaucoup trop à cœur pour la simple et bonne raison que ma vie tout entière semblait s’être remise à la case départ....Sortant enfin de mon lit, je pris machinalement le chemin de ma douche , sans m'éterniser non plus, alors que cette journée de repos s'annonçait déjà des plus chargé pour moi . Pour commencé, j'allais préparer ma voiture pour une petite virer à l'extérieur de la ville, dans un lieu suffisamment calme et reculé ou je pourrais enfin faire le point et surtout me ressourcer. Je crois qu'il ne se passe pas une seconde ou l'Irlande ne me manque pas et pourtant, si j'ai finis par accepter cette mutation à New York, c'est pour la simple et bonne raison que ce pays me rendait fou, plus précisément l'affaire du meurtre de mes parents, ou je m'appliquai beaucoup trop de façon émotionnelle … [….]
Fin prêt à prendre la route avant que le soleil ne quitte l'horizon, c'est avec nostalgie que mon regard s’arrêta sur l'un des pub, me rappelant d'une rencontre , d' un souvenir que je tenais à oublier , bien que pour le moment cela me semblait tout bonnement impossible....C'est pourquoi j'avais choisis de me retirer aussi de cette affaire. Ma voiture prenant la direction du Queens, une zone plutôt mal-fréquenté dont je ne comptes plus les interventions de la police, c'est au cœur même de ce nid a gang , que je fus forcé de m’arrêter alors que le moteur ronronnait beaucoup trop fort....J'avoue n'avoir jamais changer de voiture depuis mon adolescence, d'ailleurs à mon arrivé sur New York, je n'avais même pas pris la peine de retirer l'autocollant de ce trèfle symbolique à mon coffre. « Hummm bonjour a ce que je vois vous êtes tomber en panne?? Ca vous embête pas que je jette a coup d'œil a votre moteur ou autre chose je suis Letty Ortiz je suis mécanicienne je tiens un garage pas loin de la ou vous êtes tomber en panne » Fis soudainement une voix féminine a mon dos, alors que je m’apprêtais à ouvrir son capot, sans même m'y connaître. C'est le ciel qui vous envois alors parce que je ne m'y connais pas vraiment en mécanique. Enchanter moi c'est Colin. Répondis-je des lors en lui cédant la place, considérant des l'ouverture du capot , une étrange fumée qui prévoyait rien de bon. « Humm vous avez le temps de passer au garage il est même pas a 5 minutes de la ou on est car la je vais avoir besoin de tous mes instruments pour la réparer ... » Renchérit Letty, alors que je commençais à perdre légèrement mon sang froid...Cette voiture me tenait tellement à cœur et pourtant, comme tout elle n'est et sera éternelle. Je me suis arrêter uniquement a cause de son bruit, donc oui....Elle peut roulé jusqu'à votre garage sans problème. C'est donc sans perdre une minute de plus que je me remis à son volant, m'assurant de ne pas aller trop vite jusqu'au garage de cette inconnue dont le charisme ne m'avait pas échapper.
 

Je n’aime pas le travail, nul ne l’aime ; mais j’aime ce qui est dans le travail l’occasion de se découvrir soi-même

Letty Ortizr ∞ Colin Keagan

« Honnêtement pour vous dire vous êtes pas le premier homme que je rencontre en panne de voiture et qui me dis que je m'y connais pas en mécanique malgré que je suis une femme je touche tout ce qui est bricolage et mécanique surtout ça fait 5 ans que je travaille déjà dans la mécanique donc voila !!! » me déclara-t-elle, bien que je n’avais aucun a priori a ce que se soit une femme qui touche à ma voiture.  C'est alors que, sous sa demande je l’emmenai au garage le plus proche qui était donc le sien, roulant à la vitesse d'une tortue pour évité bien-sur qu'elle me lâche pour de bon e n chemin.  Une fois arrivé, c'est en tenue  de mécanicienne  que je rencontrai de nouveau Letty Ortiz , cette dernière , attendant que je sorte du véhicule , pour se glisser en dessous. Mon regard vagabondant dans les lieux,  je ne tardai pas a quitter ma position, ma présence ne servant à rien de toute évidence, c'est alors que machinalement je songeai à cette affaire que je n'avais sus bouclé, a celle que j'avais dut renoncé et puis celle en cours dont pour le moment les indices restaient insuffisantes . Je me demandai bien si j'étais un bon flic, à croire qu'à mon arriver a New York j'avais perdu mon talent d'inspecteur. Letty , sortant de sous la voiture, je détournai vivement mon regard bleus sur elle,  attendant des nouvelles de cette panne qui j'espère n'était pas très grave . De nouveau, penché pour vérifier le moteur,  je ne pus que prendre mon mal en patience et de m’asseoir quelque part le temps que Letty trouve l'origine de cette étrange ronronnement que j'avais entendu en conduisant, en tout cas il faut bien l'admettre , qu'elle si connaissait plutôt bien , plus que je ne serais un jour. « Humm elle n'as rien de trop grave si ca peux vous rassurer déjà, j'ai juste changer quelques joints de culaces car ils étaient un peux foutue et je vais voir ce qui ne va pas dans le capot, en attendant vous pouvez prendre un café au distributeur . «  Me rassura-t-elle bien que l'intervention sur « titine » allait prendre plus de temps encore.  Je suis ravis de l'apprendre. Répondis-je en me relevant, plutôt tenter par un autre café, alors que le précédant ne m'avait pas totalement réveillé. Vous en voulez un ? Après tout je ne serais la remercier d'avoir pris mon véhicule sur son temps de repos.