Et si le dénouement de la Seconde Guerre mondiale n'était pas celui que l'on connaissait ? Que Hitler avait gagner la guerre... Bienvenu à Germania, la capitale mondiale. La race aryenne tant espérée par le Führer domine le monde et toutes les autres ethnies ont été éradiquées de la planète. Tout jeunes et anciens ont été élevée dans le moule de la race pure et ne connaît que ce mode de vie. Pourtant, il y a encore dans certain coin retiré des villes, caché loin des yeux de la population certaines personnes que la société souhaiterait voir disparaître.

En septembre 2020, Friedhelm était un jeune officier qui fessait parti de Reichssicherheitshauptamt autrement dit l'Office central de la sûreté. Son but était le maintien de l'ordre mais surtout éliminé les indésirables. Quelque fois des coups de téléphone anonyme ou des lettres arrivaient sur son bureau et le jeune homme devait aller vérifier les soit-disant rumeur.

Aujourd’hui il était content de quitter Paris. Même si la ville était toujours aussi magnifique, il avait hâte de rentré chez lui a Berlin pour retrouver son épouse qu'il n'avait pas vu depuis 6 mois Mais surtout pour les festivité des 70 années  de Germania. Sa valise à la mains, Friedhelm arrivait à la gare qui était constituée d'un seul bâtiment rectangulaire situé sur une vaste place et qui était deux fois plus grande que le terminal de New York. Composé de quatre niveaux, les façades sont composées de grands panneaux vitrés, de forme carrée, alternant avec des colonnes massives. Les autres pans de la façade sont vitrés ; en avant de la façade, s'élève une série de colonnes doriques.

Prenant un taxi, le véhicule traversait la longue avenue avant de braquer pour se rendre dans un quartier résidentiel là où Friedhelm vivait depuis deux année. Une maison offerte part le parti une fois qu'il fut nommé officier.

Friedhelm × Victoria

Victoria était sa perle. Certains de ses amis le décourageait que il ne pourrait jamais avoir une fille comme elle dans sa vie. Après tout elle était la fille dite parfaite de la génération d'aryen présent. Une magnifique blonde intelligente et même si il y avait des garçons blond aux yeux bleu qui fessaient craquer toutes les filles et bien c'est Friedhelm que elle avait choisi. Mais ils faut dire aussi que la rencontre entre les deux familles avant que les deux jeunes de décide de franchir le pas de l'amitié avait bien aider a nourrir leur relation. Les seules chose que Friedhelm connaissait sur leur pays c'est ce qu'il avait apprit lors de ses études mais aussi sont éducation reçu par ses parents. Pour tout les Allemand, Hitler était un héro et chaque année on célébrait la fête national le jour de son anniversaire. A présent à la tête du parti était son petit fils Reinhard qui dirigeait le pays d'une main de fer.

Arriver à la maison, Friedhelm déposait sa valise dans un coin. Il enlevait sa veste ainsi que son képi puis il sorti sur la terrasse. Voyant Victoria allonger il eut un sourire et venant par derrière elle, il penchait sa tête au-dessus de celle de sa chérie la regardant a l'envers.

Bonjour !

Lançait-il en lui souriant.

Friedhelm × Victoria

Pencher au-dessus de sa chérie, Friedhelm souriant quand elle fut surprise.

Te tuer ? C'est bien la dernière chose qui me viendrais a l'esprit.

Dit-il avant de l'embrasser tendrement. Se redressant, il entrait dans la maison. Allant à la cuisine il ouvrit le réfrigérateur et se prit une bière avant de rejoindre à nouveau Victoria sur la terrasse et prit place sur une chaise de jardin.

Ça fait du bien d'être a nouveau chez soit !

Friedhelm × Victoria

Ça c'est vrai que je serais bien embêter.

Dit-il en lui fessant un clin d’œil. Revenant, il laissait le transat à sa chérie et préférait s’installer a l’ombre sur sa chaise. Buvant une gorgée de sa bière, il la posait sur la table et défit les lacets de ses chaussures en écoutant Victoria.

Ça s'est bien passer. Mais normalement je ne vais pas repartir avant l'année prochaine voir peu être pas du tout.

Dit-il en se levant et fessant un clin d’œil à Victoria. Prenant ses chaussures il les déposaient dans un coin et prit ses vieilles pantoufles avant de revenir vers Victoria et de se placer debout près d'elle.

Samedi nous avons les festivité pour les 70 années et normalement...

Il eut un sourire.

Ton p'tit mari va monté en grade. En tant que Unterofficer, j'aurais a former la cadet. Donc, plus obliger d'être poster à l'étranger.

Friedhelm × Victoria

C'est vrai que il serait bien triste si il n'aurait plus sa petite Victoria dans sa vie. Mais il ne préférait pas y penser. Expliquant à sa chérie ce qui se passera prochainement il eut un sourire quand elle parlait d'aller danser.

Oui bien sure après la cérémonie.

Dit-il en lui souriant. Il posait les mains sur ces hanches en la regardant.

Cela fait un moment que je l'attends. C'est bien d'être ailleurs mais... Et je suis content de ce changement comme ça je pourrais rester auprès de toi.

Friedhelm × Victoria

Parlant de venir la chercher après la cérémonie il la renardait surprit.

Vic, tu sais que tout le monde doit y assister.

Il sait que son épouse préférerait rester à la maison et si il n'aurais pas été officier il l'aurait laisser chez eux mais vu sa position il valait mieux que elle soit présente pour éviter certaine critique.

Oui c'est vrai que je l'aurait préférer plus tôt cette promotion. En fait, je préférais même rester à travailler sur Berlin ou un autre land mais toujours resté en Allemagne et non pas être envoyer ailleurs. Je préfère rentré chaque soir et être auprès de toi que coucher tout seul dans un grand lit froid.

Friedhelm × Victoria

Il eut un sourire quand elle parlait d'avoir essayer.

La cérémonie commence a 16 heurs. Le plus important c'est que je restes à tes côtés tout simplement.

Dit-il en lui souriant avant de l'embrasser. Il quittait les lèvres de sa chérie quand ils entendaient sonner à la porte.

J'y vais.

Allant ouvrir, il fut surprit de voir son père.

Papa ? Qu'est ce que tu fais ici ?

J'ai appris que tu étais de retour.

Dit-il en entrant dans la maison. Friedhelm le laissait faire même si il aurai préférer passer le reste de la journée tranquille avec sa chérie.

Bonjour chère belle-fille.

Lançait-il en embrassant Victoria.

Friedhelm × Victoria

Parlant d'être prête pour 14h Friedhelm lui fit un signe positif.

Ça sera parfait !

Dit-il en lui souriant avant d'aller ouvrir. Friedhelm aimait bien sa famille mais depuis 6 mois il n'avait pas vu son épouse donc logiquement il aurait préférer rester avec elle en tête a tête.

Tu sais, tu tombes un peu mal. Nous allons partir en ville pour acheter une robe à Victoria.

Ah oui ? Et tu as déposer ton rapport ?

Mon rapport ? J'viens de rentré, je le déposerait demain.

Mais oui bien sure, si c'est comme cela que tu comptes monté en grade continu ainsi.

Lançait-il de façon piquante.

Mais si Victoria veut aller en ville je peux la déposer.

Non ça va aller. Je vais aller la déposer et aller en même temps y laisser mon rapport.

Dit-il en allant rechercher ses chaussures pour les remettre.

Friedhelm × Victoria

En plus d'être son père il est aussi son supérieur mais heureusement ils ne travaille pas dans la même division. Et puis depuis quelque temps Friedhelm et son père sont en froid même si ils ne le font pas paraître. Il faut dire que le jeune homme a difficile d'accepter que son père ait quitter sa mère après 35 ans de mariage pour une fille qui pourrait être sa sœur. Oui, sont père est un coureur de jupon et Friedhelm n'a jamais voulu laisser son épouse seul avec son père même si il savait que Victoria ne se laisserait pas faire. En écoutant son épouse, Friedhelm lui fit un sourire.

Je peux faire ce rapport tout seul, je n'ai nullement besoin que l'on surveille mon travail.

Dit-il avant de passer un bras à sa taille.

C’est une idée qui me plaît bien.

Lançait-il en lui souriant. Après avoir faire comprendre à son père de partir, Friedhelm embrassait sa chérie puis il quittait la maison a pied pour se rendre à l'Oberfeldkommandantur qui n'était pas très loin avec le tram. Passant devant sa secrétaire, celle-ci fut surprise de le voir aujourd’hui. Poussant la porte de son bureau, il lançait son képi sur son meuble puis s'asseyait sur son siège en cuir en poussant un soupire.

Friedhelm × Victoria

Friedhelm dans son bureau remplissait rapidement son rapport. Il faut dire que il avait pas beaucoup a retranscrire puis que il avait fait tout le travail à Paris. Pivotant son siège vers le mur, il regardait le tableau accrocher à celui-ci. Un Claude Monet intitulé « Les Nymphéas » l'une des 1500 œuvres de maîtres du 20e siècle volé par le régime nazi dans les différent musés des pays occupé. A elle seule, elle valait 39 millions de Reichmark mais malheureusement elle n'appartenait pas à Friedhelm mais au parti. Et d'ailleurs rare personne était au courant que ces œuvres étaient ici. Ceux qui le savaient était tenu au secret. Une parti des œuvrent avaient été voler dans les musés et les autre avaient été dérober dans les  famille juifs avant de les envoyer à la mort. Se levant de son siège, Friedhelm attrapait le dossier puis il sorti de son bureau en fermant la porte a clé derrière lui. Déposant le dossier à la secrétaire, il descendit le vaste hall de l'entré en plaçant son képi sur sa tête et saluant différente personne sur son passage. Il arrivait à la sorti quand un homme gradé l’interpellait et lui fit signe de le rejoindre. Il lançait un soupire discret avant d’emboîter le pas et le rejoindre dans son bureau puis de refermer la porte derrière lui.

Karl Haas est mort.

Lançait l'homme avant de se laisser tomber sur son siège. Friedhelm fut surprit par cette annonce et serait debout devant la table qui les séparaient.

Comment ?

Il semblerait que se soit un meurtre. Mais en plus huit tableaux ont été dérobés. Écoute, je ne vais pas aller par quatre chemin il faut que tu ailles a New York pour récupéré la marchandise.

New York ? Et... les festivités ?

Il eut un sourire aux coins des lèvres.

Je penses que elles pourront de dérouler sans toi. Lançait-il avant de regarder Friedhelm quelque seconde et de sourire. Quoi ? Tu t'attendais à quelque chose comme monté en grade ? Tu n'es qu'un gamin ! Lançait-il en riant. Va à New York et récupère ce que tu peux d'accord ?

Friedhelm fit un signe positif de la tête avant de se diriger vers la sorti.

Hey Weimer ! Fait toi discret. On veut pas que les américains foutent leur nez dans nos affaires.

Je sais...

Dit-il en quittant le bureau. Sortant du bâtiment, il prit le tram puis sorti a l’arrêt le plus proche de chez lui. Voyant la voiture, Victoria était déjà à la maison. Rentrant, Friedhelm déposait son képi puis montait directement à l'étage croisant son épouse.

Range ta robe on ne va plus aux festivités !

Lançait-il en ouvrant son armoire. Attrapant sa valise il là lançait sur leur lit puis prit quelque vêtements.

J'dois partir pour New York.

Friedhelm × Victoria

Quand Victoria annonçait sa surprise, Friedhelm lui répondre sèchement.

Oui je sais ! Mais ce sont les ordres !

Lançait-il en regardant sa chérie avant de s'excuser de lui avoir répondu ainsi lui qui d'habitude ne s'emportait jamais contre son épouse.

Excuse moi chérie...

Dit-il en s'avançant vers elle et prenant sa main dans la sienne.

Désole c'est juste que... je pensais aussi resté avec toi et d'apprendre que encore cette fois-ci je n'aurais pas cette promotion cela m'as... perturber.

Dit-il en lui souriant faiblement.

Pour eux je ne suis...

Allait-il dire « gamin » ? Non quand même pas ! Cela serait presque se rabaisser devant son épouse.

… que une personne sans assez d’expérience. Je vais aller a New York puis cela sera le dernier voyage. J'essayerais de trouver une place ou je pourrais resté sur Berlin.

Friedhelm × Victoria

Cela longtemps que Friedhelm voulait changer de poste, rester auprès de Victoria et non pas envoyer a gauche et a droite. Mais a chaque fois que il avait effectuer des demandes on lui répondait que il y avait pas de place de libre, que il devait attendre la fin du mois... Et tout deux savaient que cela était difficile pour tout les deux mais a son retour Friedhelm comptait bien prendre le taureau par les cornes quitte à quitter son travail.

Encore des mots toujours des mots, les mêmes mot... Oui Victoria avait raison, Friedhelm commençait à se répéter comme un vieux CD railler mais malheureusement il ne pouvait pas faire autrement.. Déposant un baiser à Victoria, il lâchait sa main pour poursuivre sa valise puis la bouclait. Prenant son téléphone, il demandait à un taxi de passer le chercher après avoir vérifie les voles vers les États-Unis. Entendant le taxi klaxonner devant la porte, Friedhelm donnait sa valise puis se tournait vers sa chérie.

Je t’appelles dès que j'arrive.

Dit-il avant de l'embrasser tendrement.

Je t'aime.

Dit-il avant de rejoindre le taxi.

Friedhelm × Victoria

Friedhelm voyait bien que son épouse était fâchée. D'ailleurs il aurait fallut être sourd et aveugle pour ne pas le remarquer. Cela lui fessait mal de partir ainsi et son travail pour lui n'était pas le plus important dans la vie mais Victoria était sa priorité. Mais cela était grâce a son travail aussi que ils avaient cette belle maison et le reste. Sans cette place, comme beaucoup il se retrouveraient dans les petits quartiers le la base société germanique. Demandant au taxi de rejoindre son bureau, Friedhelm  demandait a celui-ci de l’attendre et rejoignit un homme dans un bureau qui ressemblait à une immense bibliothèque.

Voila votre passeport, il est au nom de Albrecht Stein. Vous avez un accès sur le territoire américain deux semaines. Votre billet d'avion, est pour Philadelphie place 10A. Vous aurez directement une place dans un bus qui vous amènera à New York. Un de nos contactes vous attendras au Port Authority Bus Terminal. Vous avez le droit à un coup de téléphone à votre épouse une fois arriver à New York. Des questions ?

Non c'est bon.

Friedhelm posait sa signature sur le document puis quittait le bâtiment rejoindre le taxi direction l'aéroport. Arriver à celui-ci, Friedhelm qui a présent s'appelait Albrecht Stein prit son avion en direction de Philadelphie. Arriver sur place, la neige tombait a gros flocon il fessait -1°c c'est avec difficulté que  Friedhelm trouvait son bus qui allait le conduire à New York. Assit dans le bus, il entendit une conversation entre deux personnes qui parlait d'un avion Allemand en direction de New York qui s'était écraser en mer. Friedhelm espérait que cela ne soit pas celui que il était sensé prendre... Mais durant le chemin, le bus glisse sur une plaque de verglas et fini sa course dans un fossé tuant et blessant une bonne parti des passagers.

Nous avons 35 passagers, 12 morts les autres son blesser légèrement avec des coupure et d'autre on été brûler a cause de l'explosion de l'autobus. Celui-là, il a été brûler mais aucun papier identifiée. On va attendre que il sort du coma pour savoir qui il est. Si il en sort un jour....

Pour l'Oberfeldkommandantur, Friedhelm avait disparu en mer avec les 250 passagers qui étaient dans l'avion. Il aurait voulu donner une toute autre réponse à Victoria mais ils avaient perdu sa trace une fois arriver à  Philadelphie.

6 mois étaient passer depuis l'accident. Ouvrant un œil,  Friedhelm vit une jeune femme inconnu qui s'occupait de son baxter. Voulant dire quelque chose, il ne savait pas parler et de sa main libre il tirait sur sa blouse de la jeune femme pour attiré son attention.